Le supplice de Le Drian
Alors que Macron lui a finalement préféré Jean Castex pour Matignon, JeanYves Le Drian a quand même dû, en tant que n° 2 du gouvernement, lire, le 15 juillet, devant les sénateurs, le discours de politique générale que le Premier ministre prononçait au même moment devant les députés. « Le Drian a fait ventriloque. Le prendre lui pour lire le discours de Castex, c’était quand même le supplice de Tantale, la double peine ! » taquine un sénateur.