Le Publicateur Libre

Elle aurait aimé rencontrer Bérégovoy

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Le peuple doit-il être cohérent en donnant une majorité au nouveau président ?

« Je pose la question autrement : le nouveau président est-il élu par défaut ou par sa jeunesse et son expérience et sa brillante carrière politique ? ».

Pour qui avez-vous voté le 23 avril et le 7 mai ?

« Au 1er tour, j’ai voté pour Nicolas Dupont-Aignan, au 2e tour je n’ai pas voté pour M. Macron ».

Pourquoi vous faire confiance ?

« Je n’ai pas encore compris que certaines personnes puissent avoir le droit de proclamer dans la presse leur soutien à un candidat avant les élections et que nous devions nous isoler le jour des votes. Cela ressemble à de l’influence et du privilège.

Durant ces 40 dernières années, le peuple a fait confiance à diverses personnali­tés connues… pour quel résultat ?

Je suis combattant­e et déterminée dans mes engagement­s, dans ma vie personnell­e autant que j’ai été dans ma vie profession­nelle et dans mes responsabi­lités syndicales et associativ­es. Je suis actuelleme­nt conseillèr­e prud’homale ».

Un adversaire politique que vous respectez ? Pas de réponse. Quelle personne aimeriezvo­us (ou auriez-vous aimé, si elle est décédée) rencontrer ? Pourquoi ?

« Pierre Bérégovoy pour son parcours, sa vie, son humanité et le respect qu’il inspirait ». Votre devise ? « Il faut savoir vivre le présent pour préparer l’avenir sans oublier le passé. L’enfer est pavé de bonnes intentions ».

Combien coûte votre campagne ?

« Aucune idée mais elle ne coûtera rien aux contribuab­les ».

« La cohérence dans la démocratie est subjective… Si elle ne l’était pas le peuple n’aurait jamais voté pour Macron. Le peuple peut lui donner la majorité, mais en aucune façon il n’a l’obligation de «devoir». Le suffrage universel est un employeur très capricieux »

Pour qui avez-vous voté le 23 avril et le 7 mai ?

« Comme c’est un secret je dirai simplement que j’ai voté pour… une femme blonde ».

Pourquoi vous faire confiance ?

« Parce que le Front National n’a jamais vendu son âme pour

Un adversaire politique que vous respectez ?

« Quand on est démocrate on n’a pas d’adversaire politique,

« Le «Franc»… parler… chez moi, c’est monnaie courante… Plus sérieuseme­nt : « un vrai combattant ne perd jamais, il gagne ou il apprend» et à partir de là « mieux vaut rater sa vie que ne rien en faire «.

Combien coûte votre campagne ?

« 3 500 € environ. Si je disais qu’elle est financée par les banques, vous devriez avoir du mal à me croire ».

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