Le Réveil Normand (Eure / Eure-et-Loir)
La belle mobilisation des bénévoles a payé de nouveau
Une nouvelle fois, les bénévoles des associations locales ont fait preuve d’un bel élan de solidarité en se mobilisant au profit du Téléthon.
Le montant de la collecte, samedi soir, est de « 5 400 € » annonce Cécile Aguinet, trésorière de l’organisation du Téléthon. Ce chiffre n’est pas définitif. D’autres sommes viendront s’y ajouter. Le montant devrait être similaire, voire dépasser celui de 2022 (5613,44 €). Une bonne surprise pour les organisateurs, au regard de la conjoncture.
Cette 37e édition particulièrement bien arrosée n’a pas empêché les bonnes volontés d’être au rendez-vous comme ces représentants de l’UNA des Vallées d’Auge et du Merlerault (des secteurs de Vimoutiers, Gacé Le Merlerault).
Première participation de l’UNA
L’association d’aides à domicile participait pour la première fois. « Toute la semaine, du 4 au 8 décembre, nous avons comptabilisé le nombre de kilomètres réalisés à pied et à vélo par nos aides à domicile, soit 60 km 600. Nous l’avons arrondi à 61 km, à raison de 5 € du kilomètre, ce qui fait une somme de 305 € à verser au Téléthon » commente la présidente, Catherine Avenel bien emmitouflée ce samedi 9 décembre au matin, sur le stand tenu place Mackau, où avec des membres de son équipe, elle s’affairait à vendre du café et de la teurgoule. Des ventes qui viennent s’ajouter aux 305 €.
« La soupe du Téléthon a réuni dans les 70 participants contre une centaine l’an passé et le repas tripes a bien fonctionné avec 140 personnes. Ça a tellement bien marché que les bénévoles de Vimoutiers animation ont dû s’acheter une pizza pour manger », relate Jacques Lemaire, responsable de l’organisation du Téléthon.
Appel à un bénévole pour la communication
Lui-même, à bord de sa Dyane, lors de la parade du Téléthon qui a vu défiler une trentaine de véhicules, dont une dizaine de tracteurs, est tombé en panne au 3e tour, « devant la MJC. Ma voiture a eu un coup de pompe. On a rechargé la batterie. Elle a pu rentrer au garage », sourit-il.
Avec Cécile Aguinet, ils étudient déjà des pistes pour l’année prochaine. Avec un point essentiel pour Jacques Lemaire, «la communication. Il nous faut quelqu’un qui ait la compétence. Il s’agit de nous épauler un mois avant, afin de travailler à la promotion de toutes les actions proposées ».
L’autre nouveauté, la soirée dansante clôturant l’édition, animée par le DJ de Sono animation, Anthony Burel, n’a pas remporté le succès escompté. Mais l’initiative était bien présente. «Nous n’avons jamais manqué de bénévoles », souligne Jacques Lemaire. Un grand bravo à tous !