Le Réveil Normand (Eure / Eure-et-Loir)
Le Rêve de l’escargot sur scène à la salle Bernard-Renault le 1er mai
Envie d’évasion et d’ondes positives ? Vous serez servi en allant voir Le Rêve de l’escargot. Le spectacle musical de Willy et les Conquérants trace sa route et marque son empreinte à chacune de ses étapes.
Il fera d’ailleurs une halte à la salle Bernard-Renault, à Crouttes, mercredi 1er mai,à 15 h.
« Nous avons fait des répétitions l’an dernier dans cette salle. L’Amicale des Gars de Crouttes nous fait la gentillesse de nous accueillir, à l’occasion de son vide-greniers » indique Willy Bird.
« C’est vachement bien et très joyeux »
Depuis le début de son voyage Le Rêve de l’escargot, une création originale de Willy et les Conquérants, avec à l’écriture Willy Bird et Henry Steimen, s’est affiné. « Il a évolué. Musicalement, il est plus pêchu. On a inclus à notre duo un batteur virtuel. On a aussi resserré l’écriture. Nous proposons une heure trente de spectacle » explique Willy qui envisage aussi de créer une version de 40 minutes «à destination des scolaires notamment ». Car Le Rêve de l’escargot est tout public.
Il relate l’histoire d’un groupe qui s’interroge, « comment faire du régional à l’international ? ». C’est à Camembert village, pour reprendre le titre de l’hymne dédié par Willy et les Conquérants à ce village normand au nom ô combien emblématique, connu à travers le monde, et où demeure Willy Bird, que Le Rêve de l’escargot a vu le jour. Et où il a été rôdé, durant l’été dernier.
Les commentaires des spectateurs étaient d’ailleurs élogieux. Du style « ça marche à tous les âges » à « c’est vachement bien et c’est très joyeux. »
Dans la veine du music-hall
Le Rêve de l’escargot c’est en effet de la bonne musique, de bonnes chansons, de bons textes et un bon jeu de ces deux musiciens qui révèlent des talents de comédiens, faisant de ce rendez-vous un divertissement bien agréable, empreint de références et d’humour décalé.
Plusieurs représentations sont inscrites à l’agenda du groupe qui poursuit néanmoins sa quête de nouvelles étapes. « Nous intervenons dans le cadre de l’association Maj’land. Nous répondons à toutes demandes, et nous nous adaptons en fonction du partenariat souhaité. À Crouttes par exemple, l’Amicale nous met à disposition la salle et elle a décidé de nous laisser la billetterie. La buvette lui revient. Le tarif est attractif afin de rendre la culture accessible à tous ».
Car ce spectacle « s’inscrit dans la veine du music-hall. Avec Jack, nous prenons beaucoup de plaisir à le jouer sur scène ». Un plaisir communicatif, qu’ils partagent à leur public.
■ Pratique
Mercredi 1er mai à 15 h, salle Bernard-Renault, Le Rêve de l’escargot, tarif 8 €, gratuit pour les moins de 12 ans. Réservations au 06 13 99 58 78. Pour tout contact avec
Willy et les Conquérants au 06 67 10 67 51. Site internet www.willylesconquerants. com
armoire détruite, à titre indicatif, « c’est un coût de 100 000 € ».
Pour Alain Renou « le bocage peut changer de physionomie rapidement dans ces conditions… ». Le déploiement de la fibre en milieu rural devrait s’achever dans les mois à venir « avec une couverture de 100 % des Ornais ».
Les deux intervenants rappellent que c’est aux gens de se mettre en relation avec l’opérateur de leur choix pour raccorder leur habitation à la fibre. « Ils peuvent savoir s’ils sont éligibles en se connectant sur le site internet www.ornedepartementthd.fr ».
« Ca marche quand même assez bien »
Pour l’heure, les raccordements depuis le domaine public au domicile sont offerts par les opérateurs. Il est conseillé de prévoir en amont de la venue du technicien, l’endroit dans la maison où l’on souhaite que la prise soit installée. Pour ceux qui ont la ligne en souterrain, de faire vérifier par un professionnel l’état du fourreau.
Au terme de la réunion, Monique Trinité, maire de Croisilles salue l’initiative, « c’est bien, ça nous a informés ». Nicole Brasseur, maire du Bosc-Renoult indique que « cela m’a permis d’apprendre plusieurs choses mais surtout d’avoir des contacts et des interlocuteurs car c’est un casse-tête pour les maires entre l’élagage et les poteaux qui font leur retour. Tout cela nous retombe dessus ».
Néanmoins, la maire précise que « dans ma commune 86 % des logements sont éligibles. Ça marche quand même assez bien. En revanche, quand il y a un incident on se rend compte que c’est compliqué ».