Six parcelles à vendre et une réserve foncière près de l’église
Samedi après-midi, la municipalité a présenté ses voeux à la population, en présence de Joël Brunet, maire et de son conseil municipal. Les nouveaux habitants ont été accueillis ainsi que le nouveau boucher, Antony Béchet arrivé en 2023.
« Pour cette année 2024, nous allons améliorer le patrimoine historique et immobilier. Le plan local d’urbanisme intercommunal arrivera à son terme dans le courant de l’année, c’est un outil incontournable qui permettra une harmonie et une cohésion dans les projets privés et publics. Les terrains se vendent bien, il y en a déjà six vendus, deux maisons en construction et quatre permis de construire délivrés. L’objectif
est de développer la commune, pérenniser l’école et nos commerces » a expliqué le maire.
Sur les 12 terrains à bâtir rue du chemin de fer, il en reste donc la moitié disponibles à la vente à 34 € le m2. La commune a fait l’acquisition de deux terrains situés entre le salon de coiffure et l’église, soit 13 500 m² au prix de 135 000 € mais sans projet immédiat pour leur devenir. Il est aussi prévu de restaurer le mausolée Guillemare au cimetière, pour un montant de 19 273 €.
Neuf cases seront installées au columbarium, ajoutées aux six cases existantes, pour un montant TTC de 10 100 € et il est prévu d’acheter quatre cavurnes pour 2 000 € TTC.
Ce que va autoriser le PLUi
Concernant le plan local d’urbanisme intercommunal, il a été validé par la Cdc et doit être validé par les 35 communes pour le 31 janvier. Suivra une enquête publique pour une validation en fin d’année. Les constructions seront possibles dans le bourg et dans les hameaux de plus de 20 maisons.
Le maire a rappelé que les dépôts sauvages d’ordures près des conteneurs sont sanctionnés à hauteur de 150 €.
Une boîte à livres de 2,30 m de haut et représentant une cheminée torsadée devrait être installée dans le bourg, pour un montant de 2 986 €.
Il est prévu la réfection de la chaussée à la Jarcière et à la Grossière.
Pour les frelons asiatiques, il faut déclarer le nid et la destruction est prise en charge à 100 % par le Conseil départemental et la commune.
Une subvention de 200 € est attribuée aux jeunes de la commune pour obtenir leur BAFA.