Quatorze logements de la cité Emile-René seront rénovés
Randonnai a souhaité maintenir chaque année sa propre cérémonie des voeux et celle-ci a été animée par le maire délégué, Jean-Jacques Bouttier, en présence de Franck Poirier, maire de Tourouvre-au-Perche.
Le chantier face à l’agence postale est en cours pour la construction de quatre logements, mais aussi de la très attendue boulangerie. « Nous avons connu quelques difficultés lors du terrassement avec d’énormes blocs de béton qui ont été mis à jour, vestiges du soubassement de l’ancienne voie ferrée. Cela ne met aucunement en cause cette construction qui sera légèrement retardée » a expliqué Jean-Jacques Bouttier.
Pompe à chaleur à Emile-René
Le maire délégué s’est félicité de l’ouverture de l’épicerie « le Mistral », de la reprise du restaurant O’Randonnai, de l’installation d’un kinésithérapeute et de l’ouverture d’un commerce de pneus.
En concertation avec le bailleur social Logissia, il a été décidé de rénover les 14 logements de la cité Emile-René avec un nouveau mode de chauffage (pompe à chaleur), isolation des murs par l’extérieur, nouvel aménagement des salles de bain et cuisines pour faire de ce parc locatif, un ensemble de logements dit basse consommation.
Deux points wi-fi ont été installés place de l’église et au stade Emile René. La commune est désormais éligible à la fibre sauf quelques rares lieux. La première tranche de l’éclairage public a été modernisée avec le remplacement de l’éclairage par du led. les trois tranches suivantes seront bientôt réalisées, pour un coût de 80 000 €. Le changement de plusieurs jeux du jardin d’enfants est prévu dans le cadre de la mise aux normes sécuritaires.
Au deuxième semestre 2024, Eaux de Normandie et le SIAEP engageront des travaux sur les réseaux d’eau potable qui fuit en plusieurs endroits, au niveau des Généhaudières et à la cité Emile René, pour un montant de 232 000 €.
A quand un giratoire sur la D918 ?
La mobilité est un sujet stratégique de la commune. La départementale 918 coupe la commune en deux et pose un problème majeur de sécurité, notamment pour les élèves habitant à l’Est de cette route. « C’est une des raisons principales qui font que le giratoire envisagé depuis quelques années au carrefour devient indispensable. Les feux tricolores étant obsolètes et hors d’usage, il est plus qu’urgent de travailler sur ce sujet et de faire avancer ce projet sécuritaire. Chaque jour, plus de 3 000 véhicules empruntent cette route. Cet ouvrage devra donc marquer fortement l’entrée sur notre territoire et ce projet devra inclure la réfection de la rue du centrebourg qui se trouve dans un état déplorable ».