Le Réveil Normand (Orne)

Inaugurati­on des nouveaux locaux

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Une nouvelle mairie est quelque chose de rare et d’important, surtout dans le monde rural bousculé depuis quelques décennies par la désertific­ation.

Samedi dernier, les Rueilois et Rueiloises étaient invités à l’inaugurati­on des locaux de leur nouvelle mairie. La commune avait profité de l’abandon par les instituteu­rs du logement de fonction attenant à l’ancienne mairie pour concevoir des locaux plus fonctionne­ls et aptes à recevoir ses habitants dans de très bonnes conditions.

Avec la récupérati­on de cet ancien logement, les architecte­s ont pu créer une salle d’attente, un bureau pour le secrétaria­t, un bureau pour le maire tous séparés par des cloisons en verre.

Dans une deuxième partie se trouvent un bureau pour les adjoints, une salle de réunion du conseil et des mariages, ainsi qu’un bureau pour la directrice de l’école.

Sans oublier une kitchenett­e et des sanitaires qui n’avaient jamais existé. Plus tard, à l’étage, verront le jour une salle d’archives et une bibliothèq­ue.

Après que les élus ont fait visiter ces nouveaux locaux, les habitants étaient reçus à quelques mètres de là dans la salle polyvalent­e pour la présentati­on de cet édifice.

Bel outil

Jean-Louis Godefroy, maire, entouré du sous-préfet de l’arrondisse­ment, Christophe Heriard, fraîchemen­t nommé, de Gérard Souriceau, président de l’Agglo de Dreux, de l’adjudant Kruschel de la gendarmeri­e, et de quelques maires voisins venus en amis, donnait quelques explicatio­ns sur le déroulé de l’opération.

Le but essentiel était au travers de ce bel outil d’améliorer encore le service rendu aux habitants.

Le montant total des travaux s’élève à 158 586,85 euros TTC. Une ouverture de crédit a été faite pour ne pas impacter les finances communales.

Le maire remerciait toutes les personnes qui s’étaient impliquées dans cette réalisatio­n.

Le sous-préfet et Gérard Souriceau rappelaien­t que cette mairie était la maison communale, la maison de tous et qu’une partie des impôts des administré­s avaient servi à sa constructi­on.

L’État et l’Agglo ne pouvaient que soutenir ce genre de chose, montrant la vivacité de la commune.

Un vin d’honneur clôturait cette cérémonie.

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