Les Grands Dossiers de Diplomatie
Notes
(1) www.agenceecofin.com/investissement/2003-45852-ide-les-investissements(NdlR) (2) Voir Diplomatie no 86, mai-juin 2017, rubrique « Géoéconomie » (NdlR). (3) Dans les années 1970, la construction de la ligne ferroviaire entre la Tanzanie et la Zambie (TANZAM) avait symbolisé la première étape de la contribution de la Chine à l’aide au développement en Afrique. (4) http://abonnes.lemonde.fr/afrique/article/2017/04/24/l-afrique-au-c-urde(NdlR) (5) Trois banques de développement ont été créées en 1994 : la CDB (Banque chinoise de développement), l’Exim Bank (banque d’import-export) et la Banque chinoise de développement agricole. Ces entités représentent les principaux outils de financement des entreprises chinoises pour les projets de coopération menés à l’étranger, notamment les projets de construction. Elles proposent alors plusieurs produits répondant à des critères commerciaux. (6) Xavier Richet, « L’internationalisation des firmes chinoises : croissance, motivations, stratégies », mars 2013 (disponible sur : https://halshs.archivesouvertes.fr/FMSH-WP/halshs-00796197). (7) Irene Yuan Sun, Kartik Jayaram et Omid Kassiri, « Dance of the lions and dragons: How are Africa and China engaging, and how will the partnership evolve? », McKinsey, juin 2017 (disponible sur : http://urlz.fr/6ZyW). (8) Si, depuis l’effondrement des prix du pétrole, plusieurs projets ont été suspendus ou annulés en Algérie, la Chine demeure son premier fournisseur, et les entreprises chinoisent remportent encore plusieurs grands projets tels que l’élargissement de l’aéroport d’Alger par la CSCEC (2014) ou la construction du grand port centre d’El-Hamdania (2017). La présence chinoise en Algérie reste donc représentative des activités chinoises sur le continent. (9) Sources Douanes algériennes (http://www.douane.gov.dz/pdf/r_periodique/ANNEE%202013.pdf), p. 17, [NdlR]. (10) Ce sommet afro-asiatique a vu l’adoption d’une résolution reconnaissant à l’Algérie le droit à l’autodétermination. Notons que cette conférence a été suivie de cinq autres conférences afro-asiatiques qui se sont tenues en Afrique : Le Caire (1957), Accra (1958), Conakry (1960), Mogadiscio (1963) et Winneba (1965). (11) Les relations entre les deux pays ont été renforcées à la suite de la tournée africaine du Premier ministre Zhou Enlai, entre décembre 1963 et février 1964, au cours de laquelle les principes de l’aide chinoise ont été énoncés et placés sous le signe de « la solidarité sino-africaine se construisant contre l’impérialisme ». Outre l’Algérie, il avait alors rendu visite à l’Égypte, au Maroc, au Soudan, à la Guinée, au Ghana, au Mali, à l’Éthiopie, à la Somalie et à la Tunisie. (12) Abderrezak Adel, Thierry Pairault, Fatiha Talahite, La Chine en Algérie, Approches socio-économiques, Paris, MA Éditions, 2017, p. 50-55. Et T. Pairault, « L’investissement direct chinois en Afrique », Revue Outre-Terre (numéro spécial Chine-Afrique), vol. 4, no 30, 2011, p. 89-114. (13) Citons l’exemple de la Henan Zhongyuan Mine Sarl, une entreprise spécialisée dans la prospection et l’exploitation minière. Elle a obtenu en 2006 le droit de réhabiliter la mine de zinc de plomb d’El Abed près de Tlemcen à l’ouest du pays. (14) Ainsi, la China State Construction Engineering Corporation (CSCEC) était inscrite sur une liste noire par la Banque mondiale entre 2009 et 2015. Elle était accusée d’encourager la corruption dans les pays où elle candidatait. (15) Hong Liang Liu, « L’ouverture de la Chine et ses impacts sur l’économie chinoise, Économies et finances », thèse en sciences économiques, Elie Sadigh (Éd.), Bourgogne, Université de Bourgogne, 2012. (16) http://www.ameslay.com/taux-de-chomage-algerie-hausse-2017jeunes-plus-concernes/