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Le 9 juillet 2018, la police japonaise arrive pour nettoyer les débris éparpillés dans une rue d’une zone inondée à Kumano, dans la préfecture d’Hiroshima, après un épisode de pluies dévastatrices qui ont causé la mort de

225 personnes, soit le bilan le plus meurtrier pour un phénomène météorologique au Japon depuis 1982. Alors que près de 70 % du territoire japonais est constitué de montagnes et de collines, et que de nombreuses habitations sont construites sur des pentes abruptes ou des plaines inondables, les autorités japonaises s’inquiètent de « la fréquence à laquelle les catastrophes météorologiques ont lieu », dans un monde « où les règles apprises par l’expérience passée ne peuvent plus être appliquées ». (© AFP/ Martin Bureau)