Fait halte à Dieppe

Vincent Chatelain et l’équipe d’Histoire de se balader sur France 3 ont fait halte jeudi et vendredi dernier à Dieppe. Ils présentent les liens entre la ville et la mer.

« Je suis vraiment tombé sous le charme de Dieppe » , lance Vincent Chatelain, l’animateur du magazine Histoire de se balader de France 3 Normandie. Jeudi et vendredi dernier, celui dont le visage et l’enthousiasme ne sont pas inconnus pour les fans de l’émission de France 5 On n’est pas que des cobayes, était dans la cité d’Ango.

Sur France 3 le 26 mars

Avec les équipes de France 3 et de Média-TV production, il est venu tourner un nouveau numéro de son émission. « Le concept est de brosser le portrait d’une ville, au travers des personnes passionnées par leur métier. Nous avons décidé désormais de le faire au fil d’une thématique. Par exemple, pour Cabourg nous sommes partis sur les traces de Marcel Proust. Ici, nous avons choisi le thème de Dieppe et la mer » , raconte Vincent Chatelain.

Le 26 mars prochain (date à laquelle l’émission est programmée pour le moment), le public pourra ainsi découvrir Dieppe à travers une partie de pêche. L’équipe est allée en mer pour cela avec Alban Le Gardien.

Les téléspectateurs pourront aussi en apprendre plus sur la coquille Saint-Jacques grâce à une rencontre avec Michel Mouny, grand Maistre de la confrérie du hareng et de la coquille Saint- Jacques. Ou voir la cité d’Ango à travers les yeux du photographe Vivien Voilot. Sans oublier la rencontre avec Marie-Dominique Fouchault, directrice du syndicat mixte du port de Dieppe, l’une des seules femmes à la tête d’une telle structure en France.

L’esprit qu’a souhaité insuffler Vincent Chatelain dans son programme : une émission avec de l’info mais avec un animateur qui ne se prend pas au sérieux. Devant la caméra comme lorsqu’elle est éteinte, c’est la bonne humeur qui domine.

Vincent Chatelain en a fait sa carte de visite. Lui qui jouait les casse-cou dans sa précédente émission, est le boute-en-train de ce magazine. La bonne ambiance règne sur le tour- nage et dans l’émission. Entre deux prises, le voilà en train de se lancer dans un concert d’air guitare avec la perche du preneur de son, ou de faire celui qui escalade l’une des grues du port de commerce.

« Là, je suis moi-même » , lance- t- il refusant d’être un « animateur formaté » . Et visiblement, les téléspectateurs apprécient : l’émission a doublé son audience en moins d’un an.

Ne pas être « un animateur formaté »