Lorsqu’elle lance sa ligne de pinceaux en 2008, les makeup artists ne jurent que par l’application au doigt, plus instinctive pour un effet bouche mordue ou un halo sur la paupière. Pourtant, rien ne vaut un kabuki pour lustrer le teint, un petit format plat afin de jouer avec les ombres, un rond pour corriger… « Plus précis, les pinceaux permettent également d’utiliser peu de texture », jure la trentenaire. Le succès aidant, sa marque, Zoeva, propose désormais une cinquantaine d’accessoires (chez Sephora) et s’enrichit de palettes et de fards faciles à utiliser.