Décryptage : business modèles.

Cette année, dans le Luberon, là où on va se marier en septembre. On aime bien aller dans un endroit isolé pour être tranquilles. le sport le matin (yoga ou équitation). Sinon, j’aime ne pas avoir d’horaires : ni pour le déjeuner ni pour une séance de cinéma. et je ne le consulte qu’une heure par jour, le midi et le soir. J’ai découvert cette technique quand j’ai fait le GR 20, sans batterie ni réseau. Ça force à prioriser les messages urgents. Sinon, je mange beaucoup de glaces à l’eau : c’est mon plaisir sucré de la journée.

J’ai un camp de base : une maison en Provence qu’on est en train de transformer en exploitation agricole. C’est la seule chose que je prévois, car je nous laisse toujours l’opportunité d’être très réactifs et de changer de programme à la dernière minute. Mon petit luxe par rapport à l’agenda très chargé le reste de l’année.

Mon téléphone passe plus de temps dans la maison… sans moi ! Et mon petit réflexe quand j’arrive, c’est d’enfiler mes bottes et d’aller faire un tour pour voir les plantations.

Je fais du Pilates deux ou trois fois par semaine dans l’année pour décompresser et garder mon équilibre. Cela demande de la concentration et me permet de me recentrer. J’essaie de le maintenir, même en vacances.

J’apprécie cette idée de savoir que je suis libre d’improviser une escapade, par exemple. Donc pas de programme, et c’est d’autant plus possible avec de grands enfants.

Habituellement adepte des Rencontres d’Arles, j’en profite souvent pour déjeuner ou dîner à La Chassagnette.

J’aime bien la rentrée depuis que je suis petite. Pour moi, cela va de pair avec le retour à Paris, en étant bronzée et en forme… Mais sinon, je prolonge les vacances en cuisinant des salades et des plats méditerranéens.

J’ai la chance de partager mon temps entre Chamonix et la ria d’Étel, en Bretagne. Résultat, tous les week-ends, je vis déjà dans un environnement de vacances. Comme je voyage beaucoup pour le travail, j’en profite pour faire des pauses sur place pour le plaisir.

Le personnel et le professionnel restent toujours très mêlés chez moi, mais ce n’est pas un problème car j’adore ce que je fais et je rencontre beaucoup de gens passionnants. Quand je suis en Bretagne, il n’y a ni réseau ni électricité : on fonctionne avec des panneaux solaires, donc cela limite l’usage de l’ordinateur.

Le sport ! Ski ou paddle, selon l’endroit où je suis, mais je suis tout le temps très active.

J’aimerais enfin faire l’ascension du mont Blanc. Mais ce que je préfère, c’est planifier du temps avec ma famille et mes amis, en gardant la liberté d’improviser.

En Bretagne, j’aime manger au restaurant Les Algues Marines en profitant de la superbe vue. À Chamonix, La Crémerie du Glacier et la buvette de La Floria ou du Glacier des Bossons sont des lieux parfaits pour m’échapper.

J’essaie de prendre du plaisir, de faire du sport et de dormir sept heures par nuit. Et surtout d’être toujours émerveillée en me levant.

Je vais devoir rester à Hongkong… Mais d’habitude, je profite du sud de la France et de ma famille.

Idéalement, elles riment avec soleil, mer et lecture. J’emporte un minimum : une valise cabine remplie d’essentiels.

Demander à mes équipes qu’elles oublient de m’envoyer des e-mails ! Je leur promets de la disponibilité sur WhatsApp, mais pour des sujets urgents uniquement.

Repos ! Je trouve les premiers jours épuisants avec toute la tension nerveuse qui s’efface et le corps qui se relâche. En général, j’en profite pour faire une grosse cure de lâcher-prise : grasses matinées, siestes au soleil et un minimum d’activités.

Le restaurant L’Oursinado, au Pradet, pour déguster des poissons fraîchement pêchés, tout comme Le Mas du Langoustier, un hôtel au charme suranné, isolé sur l’île de Porquerolles. Et enfin, la brocante Le Jas des Robert, sous les pins de Cogolin, pour mettre la main sur des trésors.

J’ai la chance de vivre à Hongkong, où le climat de septembre à janvier est tout simplement incroyable. Déjeuners sur le du bureau, balades dans la nature le week-end, journées sur des jonques… Même si je travaille, le feeling des vacances est bien là !