Une question qui divise
Le rapport issu des débats organisés en France fait état d’opinions très variées. Certains rejettent la GPA en ce qu’elle participe de la commercialisation du corps des femmes et ignore les liens tissés avec l’enfant. D’autres reconnaissent qu’il peut exister une GPA «éthique» si elle est réalisée dans un pays où elle est encadrée, n’est pas rémunérée et établit une relation entre les parents d’intention et la gestatrice. D’autres ne se prononcent pas et réclament l’ouverture d’un débat serein.