DESIGN ET DURABLE
PRÉFÉRER LES CHOSES QUI DURENT, IMAGINER DES OBJETS QUI ACCOMPAGNENT LE QUOTIDIEN AUTANT QUE L’AVENIR, RESPECTER L’ENVIRONNEMENT, INNOVER POUR UN MONDE DURABLE… MIELE, LA MARQUE D’ÉLECTROMÉNAGER FIABLE, INDÉMODABLE, A TOUJOURS MISÉ SUR LE TEMPS LONG. LES
À la recherche du temps long. Le temps n’a pas d’emprise sur l’électroménager Miele. De la conception à la fabrication, l’exigence est au coeur de sa recherche d’innovation. L’intemporalité du design permet à chaque produit de trouver sa place dans l’agencement d’aujourd’hui et de demain. Une philosophie en adéquation avec le choix de fabriquer ses propres composants, et qui va jusqu’à concevoir les machines qui fabriquent les machines. Combinant l’excellence artisanale et la précision industrielle, Miele consacre un tiers du temps du développement des produits à les tester, parfois jusqu’à 10000 heures. La durée de vie d’un appareil vise les vingt ans et les pièces détachées sont disponibles pendant au moins quinze ans. Le droit à la réparabilité et le recyclage appartiennent aux fondamentaux de la marque, et le métal des anciens appareils sert aux nouveaux.
Cuisson nouvelle génération. Intelligents, les appareils de cuisson Miele sont conçus pour fonctionner les uns avec les autres. Les tables de cuisson à induction FlexControl associent deux technologies exclusives: PowerFlex Plus et TempControl. Modulables, les trois zones de cuisson permettent flexibilité d’utilisation et montée en température rapide. Les récipients, jusqu’à cinq casseroles, poêles ou plats à rôtir, sont automatiquement détectés. Sur l’écran tactile, on peut visualiser leur position et les zones activées. Il orchestre températures, puissances et timers, et propose 23 programmes d’assistance culinaire en affichant les instructions de préparation. De même, les huit zones TempControl offrent la possibilité de choisir la température précise diffusée dans le récipient. Autre nouveauté, les tables de cuisson 2-en-1 avec hotte intégrée, à fleur de plan. Grâce à la fonction Con@ctivity, la table KMDA 7476 et la hotte communiquent entre elles. La puissance d’aspiration et les durées se sélectionnent rapidement et intuitivement. La commande ComfortSelect Plus permet d’agir sur toutes les zones de cuisson ainsi que sur la hotte, alors que la technologie TwinBooster, une exclusivité Miele, permet de réduire considérablement les temps d’ébullition. Côté entretien, la table de cuisson 2-en-1 est dotée d’un filtre à graisse métallique lavable au lavevaisselle. Une technologie en cohérence avec l’époque.
Quel personnage fascinant, quelle vie trépidante eut Christian Bérard ! Né dans un milieu bourgeois parisien en 1902, formé à l’académie Ranson sous la direction des peintres nabis Édouard Vuillard et Maurice Denis, « Bébé » comme on le surnommera rêvait de se consacrer à la peinture, mais les contraintes financières entraînèrent ses multiples dons vers le théâtre, la danse, la mode, la décoration ou l’illustration. « Tout son travail, même le plus futile, est touché par une lueur de son génie », s’extasiait le britannique Cecil Beaton. Tourmenté, sombre et mélancolique dans ses huiles et autoportraits, «Bébé» court, en même temps, cocktails et bals costumés du Tout-Paris, mi-sauvage au look de clochard, mi-mondain façon dandy, ne dédaignant pas l’opium. Jean Cocteau lui confie décors et costumes de La Voix humaine, des Monstres sacrés... ou de La Belle et la Bête au cinéma, et c’est à lui qu’il dédicacera son film Orphée en 1950. Louis Jouvet fait appel à lui, entre autres pièces, pour Dom Juan, Les Bonnes, L’École des femmes dont Vogue relèvera « la fantaisie subtile et le sens harmonieux des couleurs ». L’artiste est également sollicité par Jean-Louis Barrault, Pierre Fresnay, Pierre Dux, les chorégraphes Serge Lifar, George Balanchine, Roland Petit ou encore le Harper’s Bazaar, Vogue, son ami Christian Dior, Coco Chanel, Nina Ricci ou Elsa Schiaparelli. Avec l’architecte d’intérieur Art déco Jean-Michel Frank, Bérard décore les appartements des Noailles, Polignac ou Rochas, ensemble ils lancent l’Institut Guerlain sur les Champs-Élysées en 1939. Illustrateur de couvertures d’ouvrages de Julien Green, Colette, Joseph Kessel..., de programmes pour Erik Satie, directeur artistique du Théâtre de la Mode en 1945 avec son compagnon, le librettiste Boris Kochno, « Bébé » s’éteint brutalement à 46 ans, au terme d’une répétition des Fourberies de Scapin au théâtre Marigny, et repose au Père-Lachaise. Il nous laisse une peinture encensée par beaucoup, à la façon du galeriste Pierre Colle : « Un art uniquement préoccupé de la vie, du sentiment, de l’âme. »