LE BIEN- ÊTRE PAR LA MER
FORT D’UNE EXPÉRIENCE DE PLUS DE QUARANTE ANS, PHYTOMER DÉVELOPPE DES SOINS DE HAUTE QUALITÉ, REVITALISANTS ET ÉCO- RESPONSABLES. UNE COSMÉTIQUE MARINE PERFORMANTE À DÉCOUVRIR DANS LES PLUS BEAUX SPAS DU MONDE ENTIER. MASSAGES, SOINS DU VISAGE, RELAXATION
Près des Champs-Élysées, le spa de deux cent cinquante mètres carrés a été pensé par Dominique Tosiani, designer du Phytomer Spa Émeraude de Saint-Malo, comme une invitation au voyage vers le littoral breton. Pierre, bois et bleu marine s’inscrivent dans un contexte parisien, porté par des moulures, une tapisserie baroque et des accessoires en laiton. Une atmosphère élégante entre un salon de détente et sept cabines de soin spacieuses où les Parisiens pourront bénéficier d’une expérience de soin sur mesure. Du « soin Visage Citadine », idéal pour les peaux déshydratées et agressées par la pollution, au « Rituel d’Exception Étoile », qui marie soin du visage anti- âge et massage réénergisant, le spa propose une carte ciblée sur les problématiques citadines.
Deuxième spa parisien, cette bulle de sérénité de cent vingt-cinq mètres carrés s’articule sur deux niveaux et quatre cabines de soin intimistes, et offre aussi un grand espace de conseil où découvrir les produits Phytomer. Rénové également par Dominique Tosiani, l’espace réinterprète les codes naturels et l’ancrage breton chers à Phytomer. Sa façade, bleu intense, invite à s’échapper vers le large, loin de l’effervescence de la ville. Le design intérieur reprend le même imaginaire marin, propice à la déconnexion. Saint
Malo, Dinard, Cancale, Cézembre…
Chacune des quatre cabines aux noms emblématiques de la Côte d’Émeraude conjugue équipements de pointe, atmosphère naturelle et une carte de soins ciblée, dédiée à la revitalisation de la peau et à la relaxation.
fibre chineuse ! » Isabelle et sa comparse Caroline, Suédoise habitant aussi la région, ont poussé la porte d’une cinquantaine de brocantes, rencontré des figures du métier, glané nombre d’astuces, secrets de pros, de collectionneurs ou de particuliers aux maisons meublées en chine, une activité à laquelle bien souvent ils consacrent leurs week-ends. Si les lecteurs de Côté Ouest y retrouveront avec bonheur des noms présentés dans nos pages tels Olivier Premoli, Marie du Sordet, Laurence Fockedey et Arnaud de Saint- Martin, Valérie Smilenko, Stéphanie Mayeux, Christiane Delvincourt, Sylvain Chériau, Monteloup..., ils en découvriront d’autres encore, et si l’on aurait aimé y trouver aussi un Jean-Pierre Mavit, premier du Perche à avoir créé des luminaires en objets de récupération, ou l’épatante Gasoline à Condé-sur-Huisne – « Inaugurée juste quand se finissait le livre ! Nous ne prétendons pas être exhaustives, nous abordons des angles, ouvrons l’éventail d’un univers » –, on se réjouit d’en apprendre plus sur les astuces, les matières, les outils des broc’. « Nous avons reçu un accueil très chaleureux, chacun nous envoyant vers un autre, une chaîne solide de passionnés . » Place est donnée aux ressourceries solidaires, aux ventes aux enchères, aux itinéraires ponctués de belles adresses, au bon vocabulaire du chineur averti ou à la différence, parfois ténue, entre brocanteur et antiquaire. Quant aux videgreniers qui, dès le printemps, envahissent bourgs et villages, chacun les attend impatiemment, dates en poche. Pas tant pour le trésor à une poignée d’euros qu’il ou elle y dégotera peut-être que pour l’ambiance unique, au petit matin, dans les rires des copains. Pour peu que le soleil s’en mêle...