Réhausser le taux Vibratoire de l’habitat pour un maximum de bien-être
Faire vibrer l’homme et son habitat à l’unisson. Telle est la tâche
du géobiologue Christophe Petit. Il nous explique comment.
Harmoniser l’habitat, que cela veut-il dire pour le géobiologue que vous êtes? Tout part de la mesure du taux vibratoire. Celui-ci est mesuré en unité Bovis. Actuellement, la radiovitalité d’un organisme humain en bonne santé se situerait entre 12 000 et 14 000 UB. Pour qu’il y ait une harmonie, il faut que le taux vibratoire de l’habitat soit plus élevé que celui de l’habitant. Cela permet au lieu de donner de l’énergie à celui qui l’occupe. Dans le cas contraire, on a affaire à une habitation en mauvaise santé, donc un possible état de stress et de fatigue chez l’habitant. L’harmonisation va donc consister à corriger cela en élevant le taux vibratoire de l’habitat.
Comment fait-on pour y parvenir ?
Cela dépend de la configuration de différents éléments comme les rivières souterraines, les réseaux telluriques, les failles. Après évaluation, on peut arriver à diminuer les nuisances ce qui, mécaniquement, peut rehausser le taux vibratoire de l’habitat. Concrètement, différentes méthodes existent en géobiologie pour parvenir au résultat voulu. Par exemple, en plaçant sur un endroit bien précis des pierres, des fers à bétons pour un rééquilibrage, telle une acupuncture terrestre.
Quelles sont les méthodes que vous utilisez ?
Quand je me déplace, j’utilise les méthodes citées précédemment, mais je travaille également à distance sur plan en utilisant la méthode radionique. Tout objet possède une forme qui crée des ondes. On peut s’en servir pour intervenir en envoyant par intention précise et à l’aide d’un pendule émetteur, un certain nombre d’éléments qui vont venir corriger la situation et bénéficier à l’habitat et au final, au bien–être de l’habitant des lieux.
Intervient-on de la même manière en milieu rural et en milieu urbain ?
Ce sont deux modes d’approche différents. Par exemple, en raison de la densité de population et de la proximité des habitations, l’intervention dans les villes est un peu plus délicate. Pour autant, ma clientèle est constituée à la fois de citadins et de ruraux. J’interviens, aujourd’hui, dans tous les milieux.