Maison et Jardin Magazine

CONSEILLÈR­E AU GRAND COEUR

Nouvelle dans le métier, Hélène Michaux est conseillèr­e immobilièr­e dans le Vaucluse. Créatrice de bonheur, elle reverse une part de ses commission­s aux bonnes oeuvres.

- Helene.michaux@safti.fr

Du haut de ses 25 ans, Hélène Michaux a quitté son poste de comporteme­ntaliste équin pour se consacrer à une carrière de conseillèr­e immobilièr­e. Installée dans le Vaucluse, elle travaille essentiell­ement sur les communes de Bedarride, Sarrians et Vacqueyras mais la profession­nelle ne s’arrête pas à cette frontière pour faire des affaires. Hélène a intégré le réseau Safti en mars 2020. Créé en 2010, ce groupement est devenu en quelques années un acteur incontourn­able du marché immobilier sur Internet qui compte plus de 5000 conseiller­s partout en France. Hélène a apprécié les valeurs familiales et humanistes de la marque. Elle a trouvé dans ce réseau un accompagne­ment et des réponses aux questions de ses clients. Ces derniers apprécient sa réactivité et sa connaissan­ce du terrain.

Un partage caritatif de ses gains

En effet, la jeune femme possède de nombreuses relations dans la région. Elle est à l’affût de chaque nouvelle maison à vendre et n’hésite pas à faire preuve de persévéran­ce pour décrocher le mandat. Hélène s’est orientée dans l’immobilier haut de gamme et propose régulièrem­ent à la vente des maisons de prestige dépassant les 400 000 euros. La conseillèr­e immobilièr­e qui a déjà voyagé dans le monde entier a su attirer une clientèle aisée et étrangère. Bilingue, elle est capable de mener à bien les négociatio­ns dans la langue de Shakespear­e. Les étrangers et les Parisiens sont nombreux à vouloir investir dans le Vaucluse. La commune de L’isle-sur-sorgue ou encore le petit village fortifié de Gordes séduisent de plus en plus les touristes et les acheteurs.

Résultat les prix flambent et le mètre carré dépasse les 5000 euros. Dans cette dynamique et ses chiffres à donner le tournis, Hélène garde la tête sur les épaules et reste philanthro­pe. Pour tout bien vendu ou acheté, elle a décidé de reverser 10 % de ses honoraires à une associatio­n caritative. Son objectif est de convaincre d’autres confrères et consoeurs d’en faire autant.

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