Objectif confort
D’après en large 2017, du une terme, améliorer enquête est son le réalisée principal confort, par motif au l’Ademe, sens de réalisation des travaux de rénovation énergétique. Cette motivation est citée par huit ménages sur dix, avant même la réduction de la facture énergétique. Alors, avant de vous lancer, voici un petit tour d’horizon des principaux facteurs de ressentis du confort et de l’inconfort.
L’humidité relative de l’air ambiant
On le sait, un froid humide ne procure pas la même sensation qu’un froid sec ! Idem pour la chaleur. Si vous avez de la buée sur votre vitre, de la condensation sur vos murs, c’est que le pourcentage d’humidité relative de votre logement est trop élevé. Pour être confortable, celui-ci doit se situer entre 45 et 60 %. Deux paramètres agissent conjointement pour déterminer ce chiffre : les émissions d’eau, d’une part, ses évacuations, d’autre part. Les activités au sein du logement, sa température, la perspirance des murs ont un impact direct sur les premières. Des comportements vertueux, comme le maintien d’une température ambiante moyenne à 19 ° C, vont permet tre de limiter les émissions. Certains matériaux comme le chanvre ou la terre vont jouer un rôle de régulation. Mais le ressort le plus efficace reste la maîtrise du renouvellement de l’air, qui passe par l’adoption d’une ventilation mécanique contrôlée ! C’est le premier point très important à traiter sérieusement pour répondre à vos objectifs de confort.
Une température constante agréable
La stabilisation de la température résulte de facteurs multiples : l’isolation, d’abord, qui repose sur des matériaux plus ou moins capables de limiter les fuites de chaleur, mais également plus ou moins aptes à la stocker. Leur association, selon des ordres d’empilage qui ne doivent rien au hasard, peut constituer un début de réponse. Le choix des matériaux et de leur mise en oeuvre est à confier à un professionnel, qui tiendra compte de la structure de la maison, de ses matériaux de construction, de l’épaisseur de ses murs, de ses défauts à corriger… Si les isolants d’origine végétale arborent généralement des performances isolantes inférieures, à épaisseurs égales, à celles des isolants pétrochimiques (Le R ou lambda), ces isolants d’origine végétale présentent également des qualités en termes d’effusivité (difficulté à capter la chaleur et à la conserver), de diffusivité (capacité à capter la chaleur et à la conserver) et de perspirance (capacité à absorber l’excès d’humidité) qui les placent loin devant en termes de ressenti de confort. Bref, le sujet est complexe et l’avis des professionnels précieux.
Des parois à la bonne température
Une paroi froide dans une pièce chaude sera vectrice d’inconfort. La température ressentie est d’ailleurs définie par la moyenne obtenue entre la température des parois et celle de l’air. Un différentiel supérieur à 4 °C en la matière est considéré comme une source d’inconfort. En d’autres termes, une pièce chauffée à 22 °C avec des parois à 16 °C sera inconfortable. Là encore, l’isolation sera déterminante, notamment celle des fenêtres qui constituent, lorsqu’elles sont de mauvaises qualités, de grandes surfaces froides dans la maison.