Agnès Webster,
“J’aime ma maison provençale qui appartenait à mon père. C’est un havre dans cette tourmente. Pour moi, le confinement n’en est pas un, tous les jours je vais à l’usine. Le soir, quand je rentre enfin chez moi, je retrouve les rires de mes enfants et les rosiers grimpants de cette maison que j’aime.”