Marie Claire

CONTRIBUTE­URS

Ils écrivent, sont photograph­es, stylistes… Chaque mois nous vous présentons celles et ceux qui fabriquent et font aussi Marie Claire.

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Benjamin Schmuck photograph­e

C’est à cet oeil que nous devons la mise en images de notre sujet beauté « Quoi de neuf au printemps ? ». D’où venez-vous ? J’ai grandi à Montreuil et je vis aujourd’hui à Paris. Ce qui vous a le plus marqué pendant ce shooting ? Le calme qui régnait sur le plateau. Votre plus grande émotion profession­nelle ? Sans doute la découverte du nord du Bengale, dans le cadre d’un reportage. Un mot pour vous définir ?

Passionné.

Nikki Pauls styliste

Cette rédactrice de mode aux origines allemandes et polonaises signe notre série « Bohème libre ». D’où venez-vous ? De Stuttgart, mais je me partage entre Berlin et Paris. Ce qui vous a le plus marquée pendant ce shooting ? La connexion avec la modèle Tandi Dahl, une fille intelligen­te, cool et fraîche. Sa beauté inspirante et sa manière d’être, très boyish, ont donné un twist intéressan­t à un sujet très féminin. Votre plus grande émotion profession­nelle ? Je ne peux répondre à cette question. Ou il me faudrait des pages. Un mot pour vous définir ? Benz.

Diana Markosian photograph­e

Cette photograph­e de l’agence Magnum a accompagné en Allemagne notre rédactrice en chef magazine Elsa Guiol, au bord d’une piscine où les enfants de migrants tentent de surmonter le traumatism­e de leur traversée. D’où venez-vous ? De Russie, mais je vis à Los Angeles. Ce qui vous a le plus marquée pendant ce reportage ? La volonté de chaque enfant de surmonter un épisode traumatiqu­e de son existence. Votre plus grande émotion profession­nelle ? A chaque fois que je suis intimement connectée à mes sujets, bien au-delà du fait de photograph­ier quelqu’un. Un mot pour vous définir ? Humble.

Nacho Alegre photograph­e

C’est à ce photograph­e espagnol que nous devons notre série sur les accessoire­s. D’où venez-vous ? De Barcelone, où je vis et travaille. Ce qui vous a le plus marqué pendant ce shooting ? A quel point tout a été fluide. Avec une équipe pro, tout se déroule vite et bien. Votre plus grande émotion profession­nelle ? Tous les gens restés proches, au bout de dix ans de carrière, et comment nous avons progressé de concert, en harmonie. C’est un sentiment très agréable, surtout dans un milieu parfois trop concurrent­iel. Un mot pour vous définir ? Je n’aime pas l’idée d’être réduit à un seul mot.

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