La jouvence impériale de Chaumet
Avec sa collection Joséphine Aigrette, le joaillier Chaumet rend un nouvel hommage à sa muse, l’impératrice Joséphine de Beauharnais, et dévoile des pièces à l’élégance fraîche et ludique.
C’est l’histoire d’une idylle. Une idylle née en 1805, lorsque l’impératrice Joséphine de Beauharnais, épouse de Napoléon Ier, fait du fondateur de Chaumet, Marie-Etienne Nitot, son joaillier attitré. Depuis, sa personnalité continue d’être une source d’inspiration inépuisable pour le joaillier du 12, place Vendôme qui, en 2010, lui dédie sa collection Joséphine. Composée entre autres des bagues Aigrette Impériale, Aube Printanière et Eclat Floral, cette ligne devenue emblématique s’agrémente aujourd’hui de nouveautés regroupées sous l’appellation Aigrette. Comme un clin d’oeil à la figure de femme libre de Joséphine – elle divorça de l’empereur –, la maison joaillière ose les associations singulières. En or blanc ou rose, ces bagues se parent des couleurs de l’améthyste, du grenat rhodolite, de la citrine ou de l’aigue-marine, mariées à l’iridescence de la perle et à l’éclat du diamant. Bordé de perles d’Akoya ou surmonté d’une goutte, leur anneau en forme de tiare inversée permet d’associer jusqu’à trois bagues parmi les douze modèles, auxquels viennent s’ajouter bracelets, pendentifs et boucles d’oreilles vendues séparément. Une ode au mélange, à l’accumulation et à l’asymétrie, tendances joaillières tranchées qui réinventent le porté et séduisent une clientèle plus jeune.