Contributeurs·rices
Cet artiste britannique, spécialisé dans les collages, a mis en scène pour nous, de manière pop, les plus beaux accessoires de la saison.
D’OÙ VENEZ-VOUS?
Je suis né à Preston, dans le nord de l’Angleterre, dans une famille de quatre enfants. Mes parents nous emmenaient souvent visiter Londres. C’est pourquoi j’ai eu ensuite l’idée de m’y installer pour étudier le graphisme.
POURQUOI FAITES-VOUS CE MÉTIER?
Je suis un artiste qui fait des collages car je suis tombé amoureux de ce médium il y a cinq ans. C’est devenu mon principal champ créatif.
VOTRE MOMENT PRÉFÉRÉ PENDANT VOTRE TRAVAIL POUR MARIE CLAIRE?
Mon meilleur moment du projet, ça a été d’expérimenter des compositions et des palettes de couleur pour m’assurer que les séries de collages fonctionnaient ensemble.
VOTRE FEMME PRÉFÉRÉE?
Ma femme, Helen, qui m’a toujours encouragé dans ma créativité, et m’a soutenu quand je me suis lancé en free-lance. Photographe maintes fois récompensé, spécialiste de l’Ukraine et compagnon de route de Marie Claire depuis plusieurs années, il a photographié pour nous l’une des dernières forêts primaires d’Europe, en Roumanie.
D’OÙ VENEZ-VOUS?
D’un immeuble avec une vue sur l’autoroute A4.
POURQUOI FAITES-VOUS CE MÉTIER?
Pour témoigner, rencontrer l’autre et essayer de comprendre ce monde.
VOTRE MOMENT PRÉFÉRÉ PENDANT CE REPORTAGE EN ROUMANIE?
Marcher dans les montagnes, croiser des ours bruns au bord de la route et voir des femmes danser avec les arbres.
VOTRE FEMME PRÉFÉRÉE? La statue de la Liberté. Ses photos sont aussi sensibles que ses textes : la photographe au parcours atypique, diplômée notamment en sociologie, s’est immergée pour nous dans un « espace à selfies ». Elle y a saisi, avec finesse, des adolescentes en quête de glamour mais surtout d’elles-mêmes.
D’OÙ VENEZ-VOUS?
J’ai grandi à Sète, avec une mère lingère, un père commercial autodidacte, entourée de nombreux cousins… dans une ambiance populaire, méditerranéenne et joviale !
POURQUOI FAITES-VOUS CE MÉTIER?
Pour faire se rencontrer des mondes. Pour faire changer les regards et les représentations. Pour montrer la beauté et la force là où on ne les attend pas.
VOTRE MOMENT PRÉFÉRÉ PENDANT VOTRE ENQUÊTE (TEXTE ET PHOTO) SUR LA SELFIE FACTORY ?
Ce moment où Victoria, une jeune fille sans bras, s’est illuminée en posant entre deux ailes d’ange peintes sur le mur.
VOTRE FEMME PRÉFÉRÉE? Elles sont si nombreuses… Toutes celles, illustres et inconnues, que le parcours de vie a menées là où elles n’étaient pas destinées à aller de par leurs conditions de départ. Ce photographe talentueux a shooté pour nous la flamboyante Virginie Efira. Il a aussi fait le portrait de toutes les personnalités qui se sont engagées, à notre demande, pour soutenir l’association Ruban Rose.
D’OÙ VENEZ-VOUS?
Né à Paris, élevé à Paris, travaillant à Paris et supportant le Paris Saint-Germain, j’ai peur d’être la définition parfaite du Parigot…
POURQUOI FAITES-VOUS CE MÉTIER?
J’ai toujours été dans l’image, après avoir été directeur artistique pendant quelques années, j’ai décidé de me consacrer uniquement à ma passion première qui était la photographie. Ce background de DA m’aide beaucoup dans la réalisation de mes images.
VOTRE MOMENT PRÉFÉRÉ PENDANT CES DEUX SHOOTINGS? J’ai été ravi d’avoir pu travailler avec toutes ces fortes personnalités, mais Virginie est une actrice que j’admire, donc ça a été un moment spécial pour moi de la photographier.
VOTRE FEMME PRÉFÉRÉE? Si je ne dis pas ma mère, ça va mal se passer, surtout qu’elle lit Marie Claire. Bonjour maman!