Contributeur·rices
Sanda Vuckovic, photographe
Elle est allée à la rencontre de celles que la glisse a réunies en communauté à Ericeira.
D’OÙ VENEZ-VOUS?
Je viens d’ex-Yougoslavie.
Je suis issue d’une grande famille remplie de femmes fortes.
POURQUOI FAITES-VOUS CE MÉTIER?
J’ai toujours été attirée par les arts visuels. J’aime capturer des moments, raconter une histoire en images.
VOTRE MOMENT PRÉFÉRÉ PENDANT LE REPORTAGE SUR LES SURFEUSES D’ERICEIRA? J’aime découvrir des histoires de femmes fortes. J’ai apprécié le grand sens de la communauté et du partage de celles que nous avons rencontrées.
VOTRE FEMME PRÉFÉRÉE? J’ai eu le privilège, toute ma vie, d’évoluer dans une famille où les femmes jouent un rôle important. Mais celle qui change mon point de vue sur la vie, c’est ma fille, Hana.
Emmanuelle Dasque, journaliste
Au Portugal, la reporter a suivi ces femmes pour qui surfer est une philosophie de vie et un acte militant.
D’OÙ VENEZ-VOUS?
J’ai grandi dans les Pyrénées, près de la nature, dans une famille plutôt classique. J’ai ensuite vécu plusieurs années aux États-Unis, puis en Angleterre et je suis aujourd’hui installée à Lisbonne. J’ai donc l’impression de venir d’un peu partout !
POURQUOI FAITES-VOUS CE MÉTIER?
À l’âge de 11 ans, je savais que je voulais être journaliste. Par amour des voyages et envie de raconter des histoires.
VOTRE MOMENT PRÉFÉRÉ PENDANT LE SUJET SUR LES SURFEUSES ET SKATEUSES À ERICEIRA?
L’interview avec Annika von Schütz, réalisatrice d’un film sur le surf féminin. Elle dégage une énergie solaire contagieuse et parle du surf avec une immense passion. J’ai hâte de découvrir son film à l’automne.
VOTRE FEMME PRÉFÉRÉE?
Il y en a plusieurs : mes amies, toutes incroyablement inspirantes !
Benni Valsson, photographe
Il a sublimé les corps non-normés des témoins de notre grande enquête beauté sur les retombées du mouvement « body positive ».
D’OÙ VENEZ-VOUS?
Je suis né et j’ai grandi dans Ia ville du soleil de minuit.
POURQUOI FAITES-VOUS CE MÉTIER?
Je ne me suis jamais posé cette question et je ne vois pas d’intérêt à y trouver une réponse. Et d’ailleurs, je crois que je n’en parle jamais comme d’un «métier»…
VOTRE MOMENT PRÉFÉRÉ PENDANT LE SHOOTING AVEC LES FEMMES DU SUJET BEAUTÉ « BODY POSITIVE » ?
Le meilleur moment de chaque shooting est le moment où la tension tombe et qu’il est temps de passer à l’apéro.
VOTRE FEMME PRÉFÉRÉE? Celle par qui tout a commencé pour moi, quand elle avait à peine
19 ans et qui est malheureusement partie beaucoup trop tôt.
Joy Pinto, journaliste
Tous les mois, cette journaliste beauté saisit l’air du temps en décryptant un phénomène. Elle signe dans ce numéro l’enquête «Le mouvement body positive a-t-il mis fin à nos complexes ? »
D’OÙ VENEZ-VOUS?
De Paris. Je suis née ici et j’aime tellement ma ville que je suis sidérée de voir tous ceux et celles qui veulent la quitter – même après trois confinements !
POURQUOI FAITES-VOUS CE MÉTIER?
Pour avoir la chance de pouvoir légitimement appeler tous les gens qui m’intéressent pour leur poser des questions.
VOTRE MOMENT PRÉFÉRÉ PENDANT L’ENQUÊTE SUR LE SUJET «BODY POSITIVE»? Quand j’ai enfin réuni le bon casting d’intervenants pour ce sujet sensible.
VOTRE FEMME PRÉFÉRÉE? Mes deux filles, Georgia et Gemma.