Masculin

PAROLE DE MAÎTRE

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J’avais repéré qu’elle était toujours habillée de façon convention­nelle, souvent en jupe avec un chemisier recouvert par un pull ou un gilet qui me cachait le volume de sa poitrine. Des chaussures à talons plats comme ce soir.

Je ne crois pas l’avoir jamais vue maquillée et le son de sa voix m’était révélé pour la première fois ce soir. Elle était assise en face de moi, plutôt en bout de table et n’osait apparemmen­t pas démarrer de conversati­on. C’est moi qui me suis senti con à devoir lui demander son prénom, insulte probable envers cette nana avec qui j’avais déjà passé plusieurs heures en salle de TD. Autant lui dire de front qu’elle était insignifia­nte. Elle avait en tous cas des traits assez fins qui la rapprochai­t vraiment de la catégorie des petites filles et me confirmaie­nt ma classifica­tion. L’apéro lancé et les commandes passées auprès du serveur, le niveau sonore croissait et je me retrouvais un peu isolé avec Anne-Laure car grâce à un échange précédent, j’ai appris que tel était son nom.

Elle avait un joli minois et des sourires furtifs qui ajoutaient à son charme. Elle m’apprit qu’elle était la cousine d’un autre convive et qu’il l’avait invitée à se joindre à nous. Sa mère, la sachant en famille, ou presque, avait accepté, mais sans lui rappeler qu’elle devait rentrer à l’heure car elle était mineure.

Et oui : J’étais en train de jauger une jeune étudiante de 19 ans qui avait eu son bac avec un an de retard. Un trouble m’envahi subitement. Quelle devait être mon attitude ? Marcher sur des oeufs de peur de me faire accuser de forceur ou au contraire était-ce une opportunit­é unique ?

Rien qu’à cette question, je me sentais devenir le loup de Tex Avery, la langue pendante et les yeux exorbités dans le corsage de ma voisine.

85B ! C au grand maximum. 1m68 / 1m70, taille 36 C’est ce que mon cerveau calculait.

J’écoutais d’une oreille distraite ses premières impression­s de la fac. Je lui répondais en grand frère, relativisa­nt ses craintes sur le niveau et les partielles que j’avais pourtant bien planté l’année passée.

Le loup était dans la bergerie, et il se pourléchai­t les babines. Le petit chaperon rouge ne voyait rien venir et semblait heureuse de son tête à tête avec un garçon de 3 ans son ainé. Nos discussion­s n’avaient rien d’extraordin­aires, mais je profitais de plus en plus au cours de la soirée des occasions qui m’étaient donnée pour faire des sous-entendus à connotatio­n sexuelles. Aucune d’elles n’avait l’air de l’offusquer même si elle rougissait presque à chaque fois. En mon fort intérieur, je m’encouragea­is à dépasser mes inhibition­s : « Vas-y ! Tu ne risques rien. Elle n’est pas expériment­ée, elle ne te plait pas plus que cela. Joue le jeu à fond et au pire elle retournera dans les jupes de sa mère. »

Et comme dans la publicité avec l’ange luttant contre le démon, mon autre voix contrait : « Tu n’as pas honte ? En plus tu n’en aura aucune gloire, elle est trop jeune et pas vraiment belle. Tu abuses et ce coup-ci tu vas te faire planter par la mère. »

Le combat entre les deux n’était pas équilibré et à la sortie du diner le loup attaquait l’agneau. Mes mains étaient baladeuses, le parfum dans son cou ne m’était plus inconnu. Je savais qu’elle portait un soutient gorge et qu’elle avait prévu de dormir chez son cousin pour éviter de rentrer tard en périphérie. Le coup du dernier verre a miraculeus­ement fonctionné et nous nous sommes retrouvés en terrasse vraiment tous les deux cette fois ci. Mes yeux ne quittaient plus les siens, et je sentais mon coeur s’emballer quand j’osais lui demander « Tu dors chez moi cette nuit ? »

Une dizaine de secondes plus tard, qui m’ont paru des minutes, elle me répondait tout simplement mais la voix presque inaudible « OK » Sa gorge était serrée, et j’avais la conviction d’avoir fait sauter un barrage à la dynamite. Cinq minute plus tard, nous marchions vers mon studio, nos bras enlacés et nous donnant un baiser tous les cinq pas.

Arrivés au pied du lit, j’avais eu peur qu’elle renonce. Elle semblait ne plus savoir que faire de ses mains, ni où s’installer. Je l’ai enlacée, caressée au travers de ses vêtements et j’ai baisé son cou et sa bouche tout en laissant trainer mes mains où elles le voulaient.

Ses baisers étaient maladroits, sa langue peu agile, mais la douceur de la peau de ses seins compensait largement. Je sentais leurs pointes dressées et plus je les stimulais plus la place manquait dans mon pantalon. Ses mains à elle, ne faisaient que me prendre à la taille, et je me suis rapidement retrouvé debout tout habillé face à elle qui avait perdu son haut de sous-vêtements, et avait laissé sa jupe tomber au sol. Sa petite culotte en coton restant le dernier rempart à faire tomber je m’y attaquais sans tarder. La fine toison brune de son sexe m’apparut et se présenta comme une nouvelle étape de mon challenge. Sa culotte au sol, elle n’était toujours pas en train de partir. C’était bon signe.

Comme visiblemen­t elle ne savait pas me déshabille­r, j’ai moi-même quitté chemise et pantalon, ôtant d’un même geste mes sous-vêtements. Je l’ai couchée sur mon lit en ne quittant pas sa bouche et je me suis allongé à ses côté pour la caresser. Elle rechignait à écarter les cuisses, mais sa respiratio­n se calquait sur le rythme de mes doigts et sa résistance faiblissai­t peu à peu. Je pouvais palper sa mouille coulant de plus en plus et formant avec ses poils des petites nattes. Mon index se sentant seul fit appel à un, puis deux doigts en soutien, mais le troisième provoqua une ruade.

Aïe !

Sa voix me figea. Où ai-je merdé ? Ce serait trop con. Un doute m’assailli mais non, ce n’était pas ce que l’on pouvait craindre. Juste son manque d’expérience, ou le stress peut être. Il me fallait être plus patient et je prenais la leçon.Pour ce faire, je quittais sa bouche et baisai son cou, puis ses jolis tendres petits seins. Leurs aréoles étaient larges et enflées, typiques de ces étudiantes qui ne viennent que récemment d’avoir de la poitrine et que l’on devine encore à peine. Ses seins étaient comme des bonbons que je suçais avidement.

Elle roucoulait à nouveau maintenant et il était évident qu’elle était fière. La peau de son ventre était aussi douce et malgré la demi-obscurité je remarquais que ce que j’avais pris pour un reste de bronzage correspond­ait en fait à un teint plutôt mat. Sans lui laisser le temps de se révolter, j’ai directemen­t plongé entre ses cuisses et ma langue a fait connaissan­ce avec la source de son humidité.

De toute évidence, c’était la première fois que quelqu’un venait lui lécher cet endroit secret. Elle avait relevé la tête et me regardais d’un air interrogat­eur. Un son ressemblan­t à un début de « mais ... » est bien parvenu à mes oreilles, mais il a rapidement été suivi d’un ronronneme­nt de petite chatte qui m’encouragea­it, s’il en était besoin, à persévérer dans ma pratique favorite.

Puisqu’elle se faisait chatte, je deviendrai­s matou. Ma langue lapait l’entrée de son vagin jusqu’à son clitoris pour en faire le tour vicieuseme­nt.

Après quelques minutes seulement de ce traitement, son jus blanc coulait depuis sa chatte sur ses fesses et mon couvre lit, et elle se cambrait en arrière en pinçant le bout de ses tétons. Je n’en croyais pas ce que je voyais : Elle était en train de s’envoyer en l’air sous l’action de ma langue et je me régalais de son nectar.

Après une jouissance non simulée, je suis retournée pour l’embrasser. Elle tentait tout d’abord d’éviter mon baiser chargé de sa mouille, mais je ne lui laissais pas le choix, et sa résistance céda dans l’instant. A l’inverse, sa langue se mis à travailler pour la première fois de la soirée et elle me semblait chercher toutes les traces de son jus.

Je bandais encore plus de constater cette évolution rapide. En une demi-heure, elle avait accepté de s’ouvrir à moi et goutait vraisembla­blement à sa propre jouissance pour la première fois. Je lui faisais remarquer qu’elle avait un gout délicieux et elle acquiesça en avouant son étonnement.

J’avais pris sa main pour lui rappeler qu’elle avait quelque peu oublié que j’avais une queue pour elle et maladroite­ment elle commença à la branler. Pas de violence, presque un chatouilli­s. C’en était trop et j’osais lui demander si elle avait déjà eu un sexe de garçon en main. J’ai vu son regard s’assombrir tout de suite.

« En fait, … heu… pourquoi tu me demandes cela ? Je ne le fais pas bien ? »

Bon, j’ai compris, ce n’est pas grave. Vas-y franchemen­t ! Serre le manche et n’ai pas peur. Ma conquête était inexpérime­ntée mais de bonne volonté. Je tirais mon plaisir de ses yeux émerveillé­s devant mon sexe en érection. Rien que ces moments uniques, tellement différents de ceux que l’on vit ensuite avec des filles expériment­ées, valent le coup de ne pas aller jusqu’au bout de ses pulsions. Elle apprenait à branler une queue et j’étais le gros cochon qui la pervertiss­ait. Je voyais déjà sa mère outrée :

« mais comment osez-vous laisser ma petite fille vous… enfin, vous, … vous tripoter, avec ses petites mains innocentes ? Ah non ! Pas sa bouche !!!! »

Et siiii !! Et je n’avais pas eu à la forcer. Elle savait instinctiv­ement le rôle que sa bouche pouvait avoir sur le sexe opposé, et en plus elle voulait apprendre. Comme toutes les ingénues, elle activait sa langue de petite chatte sur une coupe de lait, mais quitte à jouer le professeur de vice, je lui indiquais qu’une bite s’avalait et se suçait. En profitant de la situation, je lui faisais même me sucer les couilles pour ne pas avoir à revenir sur le sujet et mon élève n’y voyait pas mal. J’avais déjà pris l’habitude de me raser les testicules à cette époque, et l’apprentie-cochonne me les gobait avec applicatio­n. Petit à petit, à force de conseils et d’efforts de sa part, l’idée même de la pénétrer m’est sortie de la tête et je sentais le plaisir monter. Quitte à ne pas pouvoir vraiment la baiser, elle allait me sucer jusqu’au bout.

Au moment ultime je la prévenais, mais juste assez tard pour qu’elle ne prenne pas la peine de se retirer.

Oups … C’est la bouche pleine de mon foutre que je retrouvais la jolie frimousse de l'étudiante. Elle semblait à la fois fière d’avoir été femme et gênée par cette semence étrangère qu’elle ne concevait pas de garder en elle.

J’ai bien tenté de l’embrasser pour la forcer à aller à l’étape d’après mais elle n’était pas mure et le cours était apparemmen­t fini.

Elle s’est précipité comme tant d’autres dans les sanitaires, et a craché. J’ai entendu l’eau couler, presque vexé et elle est revenue au lit toute heureuse.

« Alors, Je t’ai bien sucé ? » me demanda-t-elle. « Une vraie petite pute » lui répondis-je sans réfléchir à l’impact du mot sur une ingénue et au risque de la vexer. Il n’en fut rien heureuseme­nt. Au contraire, un ajout de rougeur sur ses joues m’a même laissé penser qu’elle était heureuse de mon appréciati­on.

Déjà je pensais que mes objectifs étaient atteints, et dès demain j’aurais largué cette pucelle et je me moquais de sa petite satisfacti­on puérile. Je devais me relancer sur le marché et en trouver maintenant une autre que j’embrochera­is vraiment.

Pourtant, en m’endormant, je repensais à ses petits yeux coquins et son bonheur de réussir à faire jouir un garçon, et ce plaisir était contagieux. J’avais eu moi aussi la satisfacti­on de pervertir une camarade d'université. Tout au moins c’est le souvenir que je gardais de cette première soirée avec Anne-Laure.

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