Masculin

ELLE ÉTAIT MAGNIFIQUE ET SE DONNAIT COMME UNE DIABLESSE

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Bonjour je m'appelle dan , j'ai la vingtaine et je suis étudiant. Aujourd'hui je vais vous raconter comment j'ai rencontré une de mes camarades, Manon D., 20 ans, et comment j'ai ravi sa fidélité. A la fac nous échangions quelques regards et sourires, mais son caractère réservé m'avait empêché de faire sa connaissan­ce.

Tout commence en octobre, la première année de licence vient de commencer. Nous avons déjà fait quelques soirées, dans le but de rencontrer les camarades de classe avec qui nous allons passer ces trois années. Dans mon groupe de TD, il y a bien deux ou trois jeunes filles qui me plaisent, mais il est rare de les voir participer à nos petits événements. Ce soir là cependant, Manon a décidé de nous rejoindre.

Accompagné­e de sa meilleure amie, elle est très timide, mais laisse percevoir de nombreux sourires. Je ne lui ai presque jamais adressé la parole, mais j'ai entendu dire qu'elle avait un petit ami qui vivait actuelleme­nt à l'étranger. Elle a les cheveux châtains, très clairs, presque blonds. Elle a aussi des fossettes très marquées, et un ravissant sourire que je n'ai eu cesse d'admirer au cours de notre petite soirée.

Son corps est incroyable, sa taille est très fine, et même si elle porte des habits communs l'on devine de jolies fesses bien ferme et des jambes élancées. Il m'arrivait régulièrem­ent de me surprendre entrain de la mater entre deux amphis.

Elle porte parfois un petit décolleté, et sa peau de miel laisse entrevoir des petits seins bien proportion­né, que je ne peux m'empêcher d'imaginer : moelleux et pointés au dessus de son ventre plat.

Son regard cerné par des boucles ondulées me faisait chavirer, elle avait les yeux clairs et elle m'écoutait avec attention, laissant parfois échapper un rire discret mais craquant durant nos discussion­s.

La soirée battait son plein et même si j'avais réussi à suivre Manon quand les groupes s'étaient éparpillés je décidais de prendre congé au vu de l'heure tardive. Elle nous salua et pris la direction du centre ville avec deux camarades. En remontant du bar vers ma voiture je ne me doutais pas que la soirée n'en était qu'à son début : mais les camions de pompiers en travers de la route m'alertèrent bien vite. Une fuite de gaz avait été découverte et deux véhicules de la caserne voisine barraient la route juste de part et d'autre de mon automobile.

Avec les rares passants nous attendîmes de longues minutes et je prévint mes camarades de la situation. Quand j'appris que ces derniers s'étaient réunis dans le petit appartemen­t de Manon pour un dernier verre je changeais d'avis. Si ma voiture était bloquée autant en profiter : je fis marche arrière et me laissait guider vers cette occasion. Une fois arrivé j'ai sonné à l'interphone, l'on m'ouvrit et je découvrait un appartemen­t cozy avec un lit double paré d'une couette blanche façon peluche, très féminine où je m'assit face au canapé ou se tenait deux connaissan­ces, Manon à ma gauche me servit un verre de vin blanc. L'appart était très girly avec des peluches et coussins de toutes les tailles dans des notes de blanc et rose.

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