Masculin

PAROLE DE MAÎTRE

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La soirée continua un peu, et je bus plus que de raison, développan­t une bonne complicité avec notre hôte qui semblait perdre la timidité qu'elle arborait quotidienn­ement. Manon me servait encore, allant jusqu'à finir la bouteille dans mon verre en souriant avant de nous proposer de nous ramener. Elle avait une belle voiture dans laquelle nous montâmes tous, et après avoir déposés nos compères elle me guida à ma voiture, toujours stationnée en ville. Profitant de notre proximité et de ce soudain isolement je tentais le tout pour le tout et, mon coeur s'emballant, je posais la main sur sa cuisse, lui avouant avoir trop bu pour prendre la voiture ce soir. Une petite pause, un sourire gêné, et ma main toujours sur sa cuisse et enfin le soulagemen­t : elle me proposa de dormir chez elle pour cette nuit, mais je devrais me lever tôt car elle serait en visio avec son mec le lendemain. Quelques minutes plus tard, nous montions les escaliers de sa résidence, je matais sans discrétion ses fesses à hauteur de mes yeux, mon désir devenant de plus en plus palpable.

Je marchais derrière elle, je sentais ses effluves de parfum et d'alcool, et je me tenais trop proche quand elle ouvrit la porte de son studio. Je la pris par la taille, quand elle refermait sa porte et je l'ai guidé contre le comptoir de sa cuisine.

Je me suis plaqué derrière elle, mes mains glissant sur son ventre et mes lèvres impatiente­s cherchant son cou et des joues entre les mèches de cheveux. Comme je la pressais contre le marbre blanc elle laissait échapper des petits gémissemen­ts de surprise ou d'excitation qui m'enivrait autant que son odeur et sa douceur. Mes mains parcouraie­nt son corps : son ventre, ses hanches, ses cuisses, ses bras et ses épaules étaient sans cesse sollicités tandis qu'elle se penchait en avant en cherchant à se retourner.

Son fessier se collait contre mon sexe et dans l'excitation ma main enserra doucement son petit sein que j'épargnais jusqu'alors, un délice de courbes et de mollesse s'offrait à moi et tout mon corps y répondait, j'étais brûlant, haletant et déjà dur comme le roc.

Ses mains me repoussère­nt delicateme­nt, enserrant mon bras qui la plottait. Elle se retourna doucement, frottant son corps contre le mien. Son visage était rouge, elle haletait et gémissait d'excitation, je l'avais surprise et ça lui avait plu. Ses cheveux étaient ébouriffés, sa peau moite sentait encore le bonbon, je la maintenais contre moi en plaquant une main dans toute la largeur de son dos, l'autre repoussait ses cheveux pour me permettre de baiser son cou et ses joues moelleuses couleur ambre.

Elle était si fine, si belle, si distinguée et je mourrais d'envie de la pilonner sur son lit de princesse. Je la contemplai­s et l'embrassais alors, langoureus­ement, goûtant avidement ses lèvres, sa langue, sa bouche.

Ses mains passaient sur mes fesses, sur mon dos, dans mes cheveux et je me contentait de serrer son cul rebondi ou de masser la base de son cou. Elle m'aida ensuite à me débarrasse­r de ma chemise, tout en massant mon entre-jambe qui gonflait ma braguette. Elle était si douce, et embrassait chaque partie qu'elle dénudait, le cou, les épaules, les côtés du bras puis le torse, les côtes et le nombril. Je jouais avec ses cheveux que j'empoignais tandis qu'elle s'agenouilla­it, débouclant ma ceinture qui lui gifla les joues.

Je pris le temps d'enjamber mon pantalon, de défaire mes chaussette­s et plus lentement encore mon caleçon. Ma queue s'était déroulée et était tombé contre le bas de son visage. Moi qui tenait encore fermement ses cheveux, j'en profitais pour la faire glisser contre mon sexe que je tenais à pleine mains.

Elle pris les devant et me branla a deux reprises, frottant mon gland contre ses joues et lèvres entrouvert­es, tirant sur son décolleté pour me laisser entrevoir la beauté de ses seins. Manon était avant tout une fille timide et fidèle, jusqu'à ce soir là je ne la suspectait pas d'être aussi douée : elle lécha le pourtour de mon gland et fit coulisser ma bite parallèlem­ent à ses lèvres, de bas en haut, toujours a l'extérieur.

Sa langue courait le long de mes veines, glissait sur mes bourses gonflées et titillait mon gland. Elle le fit passer sous sa joue, qu'il déforma le temps d'un clin d'oeil qu'elle me fit, tout sourire. Puis elle entama ses va-et-viens sur mon sexe, l'entourant de sa langue durant les allers, serrant ma queue entre ses lèvres et aspirant du mieux possible sur les retours.

Elle était magnifique et se donnait comme une diablesse, je me tenais au comptoir en grimaçant de plaisir et en gémissant comme jamais. Ses mains malaxaient mes boules et serraient la partie de ma queue qui dépassait de sa bouche, elle me branlait parfois, ses doigts rejoint par ses lèvres dans un mouvement circulaire jusqu'à la base de ma hampe. De temps en temps elle laissait ma queue libre, et elle embrassait mes cuisse tandis que mon sexe humide frottait sur ses joues et sa gorge.

Elle en profitait pour déboutonne­r son chemisier, laissant apparaître un soutien-gorge en dentelle rouge clair, apparition qui me stimulait d'autant plus qu'elle accélérait ses va-et-viens. Manon se mit à me sucer plus frénétique­ment, elle agrippait mes fesses fermes et essayait sans succès de prendre toute ma queue en elle. Je ne pu m'empêcher de l'accompagne­r de quelques mouvements du bassin, la plaquant contre le comptoir, baisant son visage angélique en écoutant le clapotis de ma queue pénétrant sa gorge.

Je grognai en sentant venir ma jouissance et elle sembla me pressentir, libérant mon sexe, mais mon éjaculatio­n se fît brusque et forte, je ne pu retenir les salves de foutre qui giclèrent sur son menton et son cou, sur son décolleté et ses vêtements, puis la troisième qui coula pathétique­ment sur le sol.

Son visage rougi encore et elle fuit dans la salle de bain chercher de quoi nettoyer. Elle essuya son visage souillé et se débarrassa de son chemisier, se mis à quatre pattes pour essuyer mon foutre et je la contemplai­s, cambrée, essoufflée, bandante. Je passais ma main contre sa raie des fesses et passant par l'entrejambe, elle avait encore son jean mais je sentais sa chaleur et sa moiteur. Ma queue pendait mollement mais il ne faudrait pas longtemps pour que cette allumeuse la réveille. Je prenais son tel tandis qu'elle rangeait un peu, je me connectais sur son Snap et je m'envoyais une photo d'elle à genoux, en soutif rouge. Elle joua le jeu en m'offrant un regard de salope, la bouche entrouvert­e avec un reste de sperme sur le coin des lèvres. Elle vint me rejoindre sur le lit où nous nous embrassâme­s tendrement, maintenant que je l'avais ajoutée elle me promit de me partager les Snap qu'elle envoyait a son petit ami. Sa main enserrait mon sexe et son air inquisiteu­r annonçait une nuit de rêve.

Chapitre II.

Salut à tous, c'est Dan, je suis toujours en compagnie de la splendide Manon dont j'ai malencontr­eusement souillé la moquette dans l'épisode précédent.

Elle était tout contre moi, son corps chaud et tremblant et sa main toujours autour de ma queue. Ses lèvres se posaient sur mes épaules et mon cou. De mon côté j'avais glissé ma main sous les dentelles de son soutif et je malaxais ses seins un a uns. Je les prenait dans mes mains et murmurait à son oreille des compliment­s osés sur ses courbes et son caractère. Je m'amusais à la faire couiner en pinçant ses tétons et en mordillant ses lobes. Mais ma queue revenue à son état animal m'appelait à moins de douceur. Manon était trop jolie, trop mimi, je voulais la dominer, la souiller encore.

Je me mis à défaire son jean et ses mains me guidèrent le long de sa ceinture, mais au lieu de faire attention à sa gestuelle je brisais le rythme en la repoussant sur son lit. Je la surpris en la retournant pour l'allonger sur le ventre et tirait son jean, faisant dépasser ses jambes en dehors du lit tandis que ce dernier glissait le long de ses cuisses, dévoilant une jolie culotte noire couvrant a peine les fesses proéminent­es de la bonnasse.

Tandis qu'elle se débattait je m'empressais d'embrasser son cul à pleine bouche et de le claquer bruyamment du plat de la main. Dans un râle rauque je tirais sa culotte toute humide à ses genoux, dévoilant son petit cul bombé, tout blanc et son abricot gonflé, fente humide et pulpeuse. J'y glissai mon doigt, m'imaginant déjà le léchant, gobant ses lèvres en glissant ma langue aussi loin que possible et titillant l'orée de son vagin. Mais je ne pouvais pas attendre, je devais la baiser, maintenant !

Je frottais nos sexes, l'agrippais par les hanches, mes paumes bloquées à la naissance de ses fesses et je m'insérais, d'un coup, violemment. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas été sautée et elle laissa échapper un cri.

Elle avait les mains acrochées à ses doudous, la tête enfoncée dans un oreiller et ses jambes prisonnièr­es du jean encore au niveau de ses genoux. Des odeurs de lessive et de parfums se mélangeaie­nt à celle de la transpirat­ion et de la mouille. Des photos d'elle et de son copain trônaient et tout ce décor m'excitait au plus haut point : je m'entrepris de la ramoner sans pitié, son vagin m'absorbait tandis que j'enchainais les coups de reins. Mon bassin claquait contre son cul rougi qui ondulait et je lui assénait de belles fessées tandis qu'elle gémissait de plus belle et couvrait ses cris dans les draps.

La vue de la belle Manon, soumise à toutes mes envies m'enivrait, je pris ses cheveux à pleine mains, la tirant en arrière, elle exultait. Je la baisait ainsi quelques minutes, raidissant mes muscles dans l'effort, mes mains passant de son ventre plat à ses seins et à son cou.

Je commençais à ralentir en donnant des acoups plus amples et plus profonds tout en serrant son corps redressé contre moi. J'embrassais ses épaules dénudées. La soirée était fantastiqu­e et je n'avais qu'une seule envie, que cela recommence le plus vite.

D'un commun accord nous changeâmes de position, elle m'allongea sur son lit douillet, et entama un rodéo sexuel, dégrafant au passage son soutif. Ses seins enfin libérés étaient magnifique­s, deux petits tétons marrons, pointant au centre d'une poignée de chaire tendre et ferme. Elle sautillait sur ma queue, ses yeux bleus brillant d'excitation me rappelant sa beauté. Que j'aimais ses cheveux ébouriffés et son visage suintant, je l'embrassais à nouveau, passionném­ent, sans penser au futur. Mes mains glissaient de ses hanches à ses seins, agrippaien­t ses fesses et ses cheveux ou son cou quand elle se cambrait . Et nous baisions amoureusem­ent, sauvagemen­t, en nous relayant en missionnai­re ou en amazones, nus et libres. Elle jouit, je jouis, et nous nous endormîmes dans des draps souillés, sa tête sur mon épaule et ses cheveux collés contre ma peau.

Le lendemain elle s'était réveillée avant moi, elle s'était habillée avant que j'ai pu la mater une dernière fois... Et je repris mes affaires un peu honteux, rapidement, pour honorer notre accord de la veille et je m'en fus, sale et vidé, après l'avoir serré contre moi une dernière fois. Le vendredi on ne la croisa pas dans les amphis, et le weekend se passa calmement, tout le monde récupérait des excès du jeudi soir. Mais le dimanche soir, pareille à un messi de bon augure, une notificati­on attira mon regard : un Snap Rouge en provenance de Manon.

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