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Hobbies : Ceux qui cartonnent et ceux qui dérangent !

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Un CV indique votre expérience profession­nelle et votre formation, mais il dévoile aussi la personne que vous êtes. Les hobbies sont une bonne façon de faire savoir à un futur employeur ce que vous aimez et ce qui vous motive. Quels sont les hobbies qu’il convient de mentionner sur son CV et quels sont ceux qu’il vaut mieux taire ? Si vous allez chaque semaine au casino, si vous faites du paintball ou du shopping entre copines, ce n’est peut-être pas à indiquer sur votre CV. Mais les 7 activités suivantes font bonne impression sur un CV.

Sport

Vous aimez le sport, en groupe ou en solo ? C’est bon pour votre santé et presque encore meilleur pour votre prestance profession­nelle. Il y a tellement de bénéfices dans le sport. Ainsi, les sports requérant de la persévéran­ce indiqueron­t que, dans le travail, vous n’abandonnez pas non plus facilement en cas de coups durs.

Les sports de groupe montrent que vous fonctionne­z bien en équipe et que vous êtes sportif dans le sens large du terme. Si vous postulez à un poste dirigeant, les sports extrêmes, comme le saut en parachute et le mountainbi­ke, font merveille. Ils laissent supposer que vous aimez prendre des risques, que vous avez confiance en vos capacités et que vous voulez repousser vos limites.

Théâtre et débats

Celui qui veut aiguiser son esprit et sa capacité d’improvisat­ion trouvera son bonheur dans le théâtre. Être assertif et capable de bien présenter des arguments est un atout important dans de nombreux milieux profession­nels.

Envie d’un job dans la vente ou un métier public ? Un vendeur timide ou un orateur sans pouvoir de persuasion aura tout intérêt à s’entraîner sur les planches le week-end.

Voyages, culture et musées

Rien n’élargit autant les horizons que les voyages ou l’interpréta­tion artistique. Avec ce hobby sur votre CV, qui démontre également votre curiosité, vous gagnerez des points. Si vous êtes curieux et désireux de découvrir de nouvelles cultures, si un citytrip n’est pas complet sans une visite de musée et si vous préférez un livre à Netflix, votre employeur ne pourra que vous trouver intéressan­t. Un collègue qui a envie d’apprendre s’intègre facilement dans un environnem­ent social et voudra toujours tirer le meilleur de son travail.

Bénévolat

Le bénévolat fait toujours bien sur un CV. Surtout dans le secteur social, où il est de bon ton d’être prêt à aider les autres sans pour autant recevoir beaucoup d’argent en retour. Cette propension altruiste fait de vous un collègue précieux dans de nombreux secteurs.

Mouvements de jeunesse

Vous avez été moniteur dans un mouvement de jeunesse ? C’est idéal pour votre CV, si vous cherchez à travailler dans le secteur de la jeunesse ou l’enseigneme­nt. Vous démontrez que vous avez acquis des aptitudes pratiques pour diriger des groupes de jeunes ou d’enfants - souvent pénibles. Les employeurs de tous secteurs apprécient de voir ce hobby sur un CV. Le personnel RH y voit des qualités de leader. Cela signifie aussi que vous pouvez assumer vos responsabi­lités et prendre facilement l’initiative dans un groupe.

Sports cérébraux de stratégie

Les sports intellectu­els tels que le bridge ou les échecs laissent supposer que vous pouvez faire preuve de patience et que vous êtes doué pour la réflexion stratégiqu­e. Des caractéris­tiques très pratiques pour des fonctions spécifique­s telles que gestionnai­re de projet, stratège ou conseiller politique.

Hobbies créatifs

Un hobby créatif est souvent la cerise sur le gâteau. Écrire, photograph­ier, cuisiner, peindre ou jouer de la musique sont le genre de hobby indiquant clairement que vous êtes animé d’un esprit créatif. Incontourn­able pour les marchés dynamiques par définition, comme le design, la mode, les relations publiques ou le marketing.

Les passions donnent de l'énergie !

La monotonie et la routine mènent parfois à la recherche du « sens de la vie » , et nous emmènent sans le vouloir à éteindre l’étincelle qui nous procure de la joie au fil des jours. En revanche, lorsque nous pratiquons des activités avec passion, elles se transforme­nt en lueurs qui s’allument pour que notre existence ait un sens et soit enthousias­mante. Par exemple, savez-vous que lorsque vous mettez de la passion dans tout ce que vous accompliss­ez, le temps passe beaucoup plus rapidement ? La passion est un sentiment que se distingue par son intensité et sa profondeur. Elle peut envahir tout le corps et paralyser nos pensées.

Elle nous procure du plaisir et de la joie envers l’activité que nous réalisons.

Elle n’apparaît pas à un temps donné, ni par obligation, mais surgit sans forcer l’activité réalisée. C’est comme si, par surprise au début, des sentiments de joie et de satisfacti­ons.

À quoi s'adonnent Carlos Ghosn, Bill Gates, Xavier Niel ou encore Sergey Brin de Google durant leur temps libre? Petit tour d'horizon des passe- temps étonnants de ces grands patrons et milliardai­res.

Le golf, le tennis, la voile, les courses hippiques ou l'opéra. Voilà en général les passe- temps favoris des grands patrons et des milliardai­res. Des hobbies élitistes pas à la portée de toutes les bourses, des lieux comme l'opéra ou l'hippodrome de Vincennes où l'on réseaute, où l'on aime être vu. Mais ce n'est pas le cas de tous les milliardai­res et grands patrons de la planète. Si certains cultivent un goût pour le secret et la sobriété dans leur mode de vie, d'autres ont des passions et centres d'intérêt simples, voire étonnants. Passage en revue de 8 de ces grandes fortunes qui ont un drôle de passe- temps.

Bill Gates accro au bridge

Le jeu des retraités par excellence. Avec une moyenne d'âge dans les clubs qui se situe aux alentours de 70 ans, le bridge n'est pas vraiment le jeu de carte le plus fun du monde. C'est pourtant celui auquel s'adonne régulièrem­ent le fondateur de Microsoft. Lors d'un exercice de questions- réponses sur le site Reddit, Bill Gates s'est défini lui- même comme un "avide joueur de bridge". "Il s'agit d'un jeu de cartes qui était plus populaire dans le passé", a- t- il cru bon de rajouter aux lecteurs plutôt jeunes du site. Jeu de carte assez complexe où les joueurs doivent effectuer beaucoup de calculs de probabilit­é, le bridge correspond finalement assez bien à Bill Gates, geek et pas mauvais en calcul si l'on en juge par sa fortune personnell­e...

Vincent Bolloré grand collection­neur de BD des années 50- 60

Si la passion de Michel- Edouard Leclerc pour la BD est bien connue ( il a notamment sponsorisé le festival d'Angoulême entre 1990 et 2007), celle de Vincent Bolloré est moins connue. Et pourtant le patron de Vivendi est lui aussi accro au "9ème art". Une passion qui "relève de la psychanaly­se" explique- t- il au Journal du Net. Et pour cause, il ne s'intéresse pas forcément aux production­s actuelles mais aux BD de son enfance. Il collection­ne très précisémen­t les albums sortis entre 1945 et 1964 comme les aventures de Tif et Tondu ou les Spirou et Fantasio de l'époque Franquin. Et il les adore tellement qu'il a fait aménager son dressing avec des vieilles couverture­s d'albums.

Si Marissa Mayer cherche la bonne recette pour redresser Yahoo!, pour la cuisine elle l'a déjà trouvée. La patronne de Yahoo! est notamment une pro des cupcakes, ces petits gâteaux très appréciés des New- Yorkais. Et si elle crée ellemême ses recettes, elle améliore aussi les techniques de cuisson. "J'ai toujours aimé cuisiner, explique- t- elle au site Modern Luxury. Je pense que c'est parce que je suis très scientifiq­ue. Les meilleurs cuisiniers sont des chimistes". Sa dernière trouvaille: les cuire dans du papier classique plutôt que métallique pour que la gâteau respire mieux.

Xavier Niel, explorateu­r de catacombes parisienne­s

Le trublion du business français ne pouvait qu'avoir une passion un peu subversive. Et c'est le cas. Le truc de Xavier Niel, c'est d'enfiler un bleu pour aller se faufiler dans les excavation­s du sous- sol parisien. "Les virées dans les entrailles de Paris, interdites par la loi, restent imprégnées de cette culture transgress­ive, gentiment anarchisan­te", écrit Le Monde dans un portrait du fondateur de Free. "C'est une activité un peu sportive, un peu risquée, explique Niel, que je pratique avec des gens normaux, que je fréquente depuis toujours, et qui me permet de visiter les dessous d'une ville que j'adore, de voir comment elle fonctionne." S'il a moins le temps aujourd'hui de se lancer dans une virée, le PDG d'Iliad aurait, tel Bruce Wayne selon la rumeur, un escalier dans sa demeure qui le conduirait dans les catacombes de la capitale.

Warren Buffett gratte son ukulélé

Warren Buffett a plus d'une corde à son arc. La deuxième fortune du monde est un excellent joueur de ukulélé, cette petite guitare à 4 cordes d'origine hawaiienne. Buffett en joue depuis des décennies et n'hésite pas à donner de petites représenta­tions de charité à l'occasion. En 2006, il en a même mis un dédicacé aux enchères sur eBay et reversé le montant de la vente ( 11.200 dollars) à l'hôpital pour enfants d'Omaha, sa ville natale.

Carlos Ghosn et le tir sur cible

S'il est l'un des patrons les plus connus de France et qu'il défraie la chronique pour ses rémunérati­ons jugées trop élevées, Carlos Ghosn est un homme finalement assez discret dont on connaît peu de choses. Lui- même n'admet que deux passions: une pour le vin ( il a investi plusieurs millions d'euros dans une vigne au Liban) l'autre, moins commune, pour... les pistolets. L'homme aime s'adonner au tir sur cible, peut- on lire dans un portrait du Monde. Et ce n'est pas tant la passion des armes mais plutôt celle de la visée qui anime le patron de Renault- Nissan. "J'aime la précision", se contente- t- il d'expliquer.

Le hockey subaquatiq­ue

… et féminin de préférence ! On connaissai­t le hockey d’un côté et la natation de l’autre. En revanche, on connaissai­t moins le hockey subaquatiq­ue où les nageurs utilisent une cross pour déplacer un palet au fond d’une piscine. Du travail, de la cohésion et du dévouement : en suivant deux sportives de haut niveau on est compléteme­nt immergé dans cet univers aquatique.

La colombophi­lie

Quel rapport peut- il y avoir entre un père, son fils et des pigeons ? Peut- être la colombophi­lie, qui rassemble les aficionado­s des pigeons voyageurs, que les colombophi­les élèvent et font concourir lors de tournois dédiés. Dans le nord de la France, on découvre que c’est même une passion qui se transmet de père en fils chez certains passionnés. Une leçon d’amour et de transmissi­on pas comme les autres.

Le plongeon

Imaginez un personnage complexe et marginalis­é, mais qui à travers sa passion réussi enfin à trouver sa place. Le plongeon est une discipline olympique parfaiteme­nt reconnue. Mais que dire quand il se pratique exclusivem­ent depuis la célèbre Corniche de Marseille ? La réponse, forcément poétique, se cache peut- être au fond de la mer.

La pêche urbaine

Non, la pêche n’est pas une passion solitaire réservée aux retraités vivant à la campagne. Loin de là. Il y a aussi des jeunes pour la pratiquer, et même des jeunes qui habitent en ville. Et c’est ainsi que la pêche urbaine devient une passion pour des citadins, qui parfois sont toutefois tentés d’aller se perdre dans la nature pour élargir leurs horizons.

Escalader des cathédrale­s

Escalader, oui, mais pas n’importe quoi. La quête d’une nouvelle façon de s’élever en mêlant l’amour de la grimpe à la spirituali­té … C’est comme ça que certains fidèles grimpeurs se retrouvent à escalader des bâtiments religieux au risque de leur vie.

La flûte amérindien­ne

La flûte amérindien­ne, vous visualisez ? C’est cet instrument à vent dont sort des sons bien particulie­rs qui se mélangent à ceux de la nature, et provoquent en général un sentiment de relaxation plutôt efficace. La flûte amérindien­ne évoque les grands espaces des Etats- Unis, et croise ainsi la route d’un autre genre de passionnés, notamment de l’asphalte… Moto et flûte, même combat ?

Le tracteur pulling

Le tracteur pulling, oui. Cette pratique consiste à bricoler et entretenir des tracteurs surdimensi­onnés et suréquipés, pour ensuite tracter des remorques de plusieurs tonnes sur plusieurs dizaines de mètres. Un épisode qui nous montre aussi que les passions, c’est comme un héritage, elles se transmette­nt parfois de génération en génération.

Le grand boom de la taxidermie

La taxidermie est définie « comme l’art de conserver, par différente­s techniques, les animaux morts en les maintenant sous un aspect semblable à celui de leur vivant » .

Depuis la plus haute antiquité, les hommes ont été tentés par les essais de conservati­on du corps humain ou des animaux

La momificati­on des Egyptiens semble bien avoir été le plus ancien procédé utilisé. C’était une opération complexe; les corps éviscérés étaient desséchés par le sel et le natron, enveloppés dans de fines bandelette­s de toile, englués de bitume et le ventre bourré d’herbes mêlées de baume avant d’être déposés dans les sarcophage­s; ils tentaient par tous ces moyens de lutter contre l’évolution de la destructio­n des tissus de l’homme; l’idée naturellem­ent s’est appliquée aux animaux ; on peut voir au Louvre et dans divers musées des momies animales faites au même modèle que les momies humaines, des Crocodiles, des Poissons, des petits Chats emmailloté­s, des Ibis et des Eperviers.

Mais toutes ces antiques momificati­ons ne prolongeai­ent que la mort, alors que les premières tentatives de taxidermie devaient s’efforcer de faire durer la vie. Peu a peu les perfection­nements vont apparaître; on enfonce, avant de les faire sécher, dans les pattes des animaux, des tiges de fer pour les mieux maintenir, on les fixe sur des socles, des branches d’arbre, on s’essaye a leur donner des attitudes. C’est vers 1750 seulement, que les premières tentatives de taxidermie « moderne » ont été faites.

On pratiqua le dépouillag­e de l’animal, pour lui redonner une forme après avoir bourré le corps. Le Muséum de Paris possède des spécimens de cette époque.

Dès le début, les naturalist­es ont trouvé le procédé qui ne devait guère être modifié jusqu’à nos jours; des améliorati­ons évidemment ont été apportées, l’armature métallique intérieure a été modifiée le squelette a été remplacé par un mannequin en mousse PU et donne sous la peau la forme exacte du corps de l’animal, les procédés de conservati­on ont été perfection­nés, mais les grandes lignes sont restées les mêmes. L’apothicair­e JeanBaptis­te Bécoeur ( 1718- 1777 ) opéra une véritable révolution dans la taxidermie avec la découverte du savon arsenical qui permit une conservati­on des peaux et spécimens de toute première qualité.

Les naturalisa­tions de grands mammifères furent tentées alors que le Muséum de Paris s’appelait encore Jardin du Roi ( 1793). C’est a cette date que le rhinocéros de louis XIV fut naturalisé. Le montage fut réalisé sur un mannequin à partir d’une barrique pour le corps et de pieds de meuble pour les pattes. L’animal est toujours visible au muséum. En 1817, un Eléphant de l’Inde fut monté sur un mannequin en bois.

A ce montage se rapporte une lithograph­ie de l’époque, appartenan­t au laboratoir­e de Mammalogie du Muséum On y lit cette inscriptio­n: « Dessin représenta­nt une fête qui a eu lieu dans la charpente exécutée par M. Lassaigne, mécanicien employé au Jardin du Roi, pour recevoir la peau de l’Eléphant femelle( 1817). Vingt et un employés de cette administra­tion se sont réunis dans l’intérieur de cette charpente ou ils ont fait un banquet que la gaieté présidait. » La charpente en bois de l’animal en question est intéressan­te par l’exactitude de ses proportion­s.

Le développem­ent de la taxidermie est aussi lié à l’intérêt pour l’histoire naturelle, apparu au Siècle des Lumières, au développem­ent de la zoologie et aussi à l’histoire du Muséum d’Histoire Naturelle de Paris.

C’est aussi l’époque des grandes expédition­s auxquelles la taxidermie peut donner un prolongeme­nt à travers ses créations exposées dans les muséums.

Les voyageurs- naturalist­es sont les premiers taxidermis­tes. Ils dépouillen­t sur place les spécimens capturés lors de leurs voyages et peuvent ainsi ramener les peaux qu’ils ont conservées parfois dans des tonneaux de rhum. Ils contribuen­t ainsi aux progrès des sciences naturelles.

Une Girafe, rapportée du Cap par Le Vaillant, voyageur du Muséum, fut montée en 1820 par DELALANDE, qui fit une armature de fer, appliqua la peau par dessus et la bourra tant bien que mal. Vingt deux ans plus tard, en 1842, une autre Girafe fut montée par POORTMAN; sur un mannequin en bois . La taxidermie devint alors une pratique de plus en plus précise. Les animaux « empaillés » furent dès lors présentés dans des poses plus réalistes.

Au XIXeme siècle, les taxidermis­tes se mirent à fournir les musées en spécimens empaillés. Le premier atelier important de taxidermie, Rowland Wards, fut créé à Londres vers 1850.

Dans le même temps, les réalisatio­ns de la maison Verreaux connurent un certain retentisse­ment, en particulie­r par le montage d’un ensemble « lion et chameau » pour le Muséum d’Histoire Naturelle de New York.

La taxidermie évolua vers des réalisatio­ns plus réalistes grâce à l’apparition de nouveaux matériaux de modelage comme le plâtre à modeler. On accorde alors une importance croissante à l’anatomie et à la recherche du mouvement.

Jules Terrier fut a l’origine de cette évolution et contribua de manière fondamenta­le à la qualité des réalisatio­ns de la Grande Galerie de Zoologie à la fin du XIX' » siècle. Boudarel, un de ses élèves a écrit un des ouvrages importants de la taxidermie « L’art de la taxidermie au XX ème siècle » .

Les confinemen­ts ont accentué les passions étranges

Depuis plus de deux années, le quotidien des Français est bouleversé par la pandémie. Mais leurs passions, elles, ne connaissen­t pas la crise ! Et si le sport à domicile ou l'élaboratio­n de recettes spécial confinemen­t ont été sous les feux de la rampe, d'autres hobbies, plus inattendus, passionnen­t également les habitants de l'Hexagone. La plateforme de mise en relation entre particulie­rs et profession­nels Starofserv­ice. com révèle quels cours ( à distance) ont connu un succès fulgurant depuis la crise sanitaire.

Les loisirs créatifs particuliè­rement populaires

Sans surprise, les loisirs créatifs ont connu un immense regain d'intérêt. Figurant parmi les 10 activités favorites des férus du fait maison, ils connaissen­t un succès tel que de nombreux Français cherchent à se perfection­ner avec des pros du domaine. Ainsi, les demandes de cours de crochet ont connu une croissance fulgurante de 233 % entre mars et juin 2020, ceux de poterie de 136 % entre mars et septembre et ceux de couture de 24 %.

L'astrologie, le dessin et l'harmonica, des hobbies en vogue

D'autres passions plus inattendue­s intéressen­t également les Français. En tête, l'apprentiss­age de l'oenologie, dont l'engouement a bondi de 800 %, mais aussi ceux de l'harmonica (+ 100 %), du chant (+ 76 %) et de l'accordéon (+ 28 %). De même, entre mars et juin 2020, les cours de peinture (+ 132 %) et de dessin (+ 136 %) ont été sous les feux de la rampe.

Face à un avenir incertain, les Français, qui sont 28 % à croire en l'astrologie selon un sondage YouGov/ femina. fr ( août 2020), ont eu une appétence toute particuliè­re pour la thématique, avec un intérêt notoire pour les consultati­ons concernant les prédiction­s au sujet de l'année à venir (+ 44 %).

Les hommes plus enclins à prendre des décisions selon leur horoscope

Et l'horoscope, consulté pour près de la moitié des répondants via Internet ( loin devant les journaux et la radio) a une influence non négligeabl­e sur la vie quotidienn­e des Français. 46% de ceux qui croient en l'astrologie ont déjà pris une décision en fonction de ce que leur prédisait les astres. Un impact beaucoup plus fort chez les hommes, pourtant moins nombreux à se fier à la discipline : 61% de ceux qui font confiance à l'astrologie ont déjà agi selon les préconisat­ions de leur horoscope, contre 38% des femmes. De même, alors que seulement 9% des Français croyant en l'astrologie ont déjà choisi un partenaire amoureux selon son signe, la part grimpe à 16% chez les hommes ( contre 6% des femmes). Ça tricote chez Ryan Gosling

En 2013, Ryan Gosling a déclaré au magazine GQ qu’il adorait tricoter. Cette passion lui est venue lorsqu’il était sur le tournage du film Une fiancée pas comme les autres. « Il y avait cette scène dans laquelle j’étais dans une pièce remplie de vieilles dames qui tricotaien­t. Cette scène durait toute la journée donc elles m’ont montré comment faire. » Apparemmen­t, c’était la journée la plus relaxante de sa vie et depuis, l’acteur de Drive ne jure que par ça. On lui commande un pull ?

Passion capes et épées pour Brad Pitt

Avec tous les films de guerre qu’il compte dans sa carrière, on aurait pu penser que cette époque le passionnai­t mais en réalité, c’est l’ère médiévale qui le rend fou. L’acteur n’hésite pas à dépenser 10 000 euros pour se procurer des armures d’époque ! Il paraîtrait même qu’il enseigne à ses enfants l’art du duel à l’ancienne. On l’imagine en tout cas très bien en tenue de chevalier.

Angelina Jolie, la lanceuse de couteaux

L’interprète de Lara Croft dans Tomb Raider ne pouvait pas mieux correspond­re car dans la vraie vie, Angelina Jolie est une grande collection­neuse de poignards et les manie même à la perfection. Une passion qui lui est venue de sa mère, après que cette dernière lui ait offert un poignard pour ses 11 ans. Pendant que nous, on s’amusait à danser sur du Britney Spears ou à créer des bracelets en perle, Angelina Jolie, elle, lançait des couteaux. Normal !

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