Masculin

PAROLE DE MAÎTRE

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Sarah se tenait les mains a la rambarde en regardant en contre bas les voitures. L'une d'elle lui fit des appels de phares et elle la salua. Elle avait néanmoins l'esprit ailleurs. La veille, après des semaines d'hésitation, elle s'était connectée sur le site des routiers sous le pseudo "la fille du pont" et avait posté un commentair­e sur la page qui lui était dédiée. Une simple image de son décolleté avec comme commentair­e " bonsoir messieurs ".

Depuis qu'elle avait commencé à s'exhiber elle avait vu sa libido exploser et ses rêves devenir de plus en plus érotiques... Or, ce n'était pas les trois garçons en âge de tenir leur pénis en main du village - dont un qui était son ex - qui allaient la satisfaire... Alors elle s'était lancée sur le site, espérant ne pas se faire expulser par les modos...

Et son approche avait fonctionné. Elle avait reçu en une soirée une dizaine de message privé, souvent accompagné de photo de pénis, lui demandant un rendez-vous.

Sarah, encore un peu romantique malgré sa démarche, avait craqué pour une photo d'un homme, certe nu, mais de pied en cap face à un miroir. Un homme qui avait plus du double de son âge mais dont le sourire en coin l'avait charmé. Et son message " Bonjour jolie fille du pont, je pense que tu te doutes du pourquoi je t'écris mais j'aimerais beaucoup pouvoir te rejoindre demain pour un peu de chaleur humaine. Tu as l'air coquine bien que timide mais je trouve ça fort sexy. Contacte-moi ?" lui avait tapé dans l'oeil elle ne savait pourquoi. Elle avait répondu, poliment, demandant l'heure à laquelle il passerait sous son pont.

Vers 17h. Parfait.

Alors, mue par son désir d'aventure elle lui avait indiqué à quelle sortie il devait tourner et comment la rejoindre. Puis elle avait ajouté qu'elle préférait ne pas discuter et qu'il devait être protégé.

Il n'avait pas répondu mais elle s'était quand même apprêtée d'une petite culotte en dentelle noire et d'une jupe volante ainsi que d'un haut blanc, sans soutien gorge et transparen­t - pour la plaisir de chauffer son voisin marié quand elle sortirait.

Elle salua le camion qui la klaxonna et regarda son téléphone. 17h20. Viendrait-il ? Pour qu'il ne la laisse pas elle lui avait envoyé une photo de sa tenue, et particuliè­rement de son tee shirt un peu petit qui moulait sa poitrine de manière vulgaire. Elle était excitée comme jamais et même la crainte de tomber sur un taré ne l'avait pas calmée. Vu comment elle mouillait, même s'il ne venait pas, elle devrait laver sa culotte plusieurs fois ...

Un bruit de moteur lui fit tourner la tête. Puis un crissement. Son téléphone vibra dans sa main et elle ouvrit le message fébrilemen­t. [ Je suis là. Tu es toujours partante ? ]

[Oui]

[ Bien. Pose tes mains sur le rambarde et cambre tes fesses en arrière ]

Elle posa son téléphone sur le petit tas que formait son tee shirt et obéit fébrilemen­t. Du coin de l'oeil elle le vit approcher mais ne bougea pas de sa position. Elle sentit sa cyprine coulait contre sa cuisse et gemit lorsque le vent frais glissa sur ses tétons durs.

- Bonjour.

Le voix était un peu rauque mais elle ne fut aucun commentair­e alors qu'il posait des mains sur ses hanches.

- Jolie jupe. - merci.

Il se colla dans son dos et Sarah soupira. Elle avait craint que son odeur soit déplaisant­e - après tout l'homme passait ses journées dans son camion.- mais il avait dû se changer ou faire un brin de toilette car il sentait une odeur virile tout à fait plaisante.

Une main se posa sur sa cuisse et elle frissonna. - Je peux te lécher ?

Il avait dû se pencher sur elle pour lui parler, gêné par le bruit d'un klaxon, et ses mots firent haleter Sarah. Oh.... Elle avait imaginé que le mec voudrait directemen­t tirer son coup et non s'occuper d'elle... Mais la propositio­ns était très excitante et elle hocha de la tête.

Un baiser échoua sur son dos et elle se cambra quand l'homme releva sa jupe pour caresser ses fesses à demi cachées sous la dentelle.

Le main était grande, chaude bien qu'un peu caleuse. Elle s'en fichait.

Le chauffeur s'était agenouillé et elle put sentir son souffle contre sa vulve - qu'elle avait entièremen­t épilée pour l'occasion- la faisant haleter.

Le premier coup de langue la fit couiner, les autres le firent chanter de plaisir.

Elle n'avait jamais reçu ce genre de gâterie et l'idée que ce soit un parfait inconnu qui lui faisait découvrir ça l'a rendit toute bouillante.

- Anh ... Monsieur ...

Un claque sur sa fesse la fit couiner et écarter les jambes alors qu'il enfonçait sa langue en elle, la baisant efficaceme­nt. Les doigts épais de l'homme tenaient ses cuisses fermement et l'un d'eux se posa sur son clitoris gonflé. Elle hurla, son cris couvert par le klaxon d'un engin, et se mit a onduler du bassin sur la bouche de l'homme.

L'orgasme lui fit voir des étoiles et elle s'accrocha a la rambarde comme elle put pour ne pas sombrer.

Des étoiles se melèrent aux appels de phares et elle continua de couiner faiblement alors qu'il remplaçait ses lèvres par deux doigts fermes s'enfonçant dans son sexe sensible.

Sarah s'arqua de plus belle. Un étrange son lui fit légèrement tourner la tête mais l'homme lui demanda de regarder la route.

Comment lui refusait ?

Elle comprit, dans la brume de son esprit, que le bruit devait être une ceinture qu'on défait. Elle haleta quand il se colla à nouveau à elle son sexe épais - et oh combien dur - collé à ses fesses.

- Prête ? - Ouiiii

Sa voix aigu fit rire l'homme qui enleva ses doigts d'elle avant de la prendre par les hanches.

Les rares fois où elle avait couché avec son ex, celui ci avait galérer à la pénétrer, y allant un peu n'importe comment et elle avait eut du mal à se détendre.

Mais l'homme dans son dos ne sembla pas vouloir s'inquiéter qu'elle se détende. Sarah sentit son sexe pénétrer en elle d'une longue poussée qui la fit crier de surprise et de plaisir. Était ce du à son orgasme qui avait trempé ses parois ou au lubrifiant du préservati­f ? L'homme la pénétra comme dans du beurre et elle sentit rapidement ses poils pubiens contre ses fesses alors qu'il l'avait pénétrée jusqu'à la garde.

Il gronda quelque chose - Un prénom ? - avant d'attraper sa poitrine dans ses mains tannées par le soleil pour la malaxer lentement et pincer ses tétons durci par le plaisir et le désir.

Un couinement lui échappa et elle cambra les reins.

Son ex était adepte du missionnai­re, position ultime du romantisme selon lui - et elle a l'époque. Ils n'avaient jamais essayé la levrette et elle n'avait jamais osé demander. Pas faute d'avoir fantasmer sur cette position ...

Clac.

Un couinement lui échappa alors qu'elle venait de recevoir une autre fessée. C'était nouveau pour elle mais elle sentait déjà qu'elle adorait Et au vue des contractio­ns de son bas ventre elle espera que ce ne serait pas la dernière !

- Bouge.

La jolie blonde obéit diligemmen­t, s'appuyant sur la rambarde pour onduler du bassin et sentir le sexe en elle - plus profond que le seul qu'elle avait connu.

Un long gémissemen­t lui échappa tandis que le pieu en elle frottait son point G précédemme­nt stimulé par la bouche divine.

- Hmmmm ... Vous aussi !

L'homme dans son dos embrassa sa nuque la faisant frissonner et tira sur son téton droit - Oh mon dieu que c'était bon - avant d'attraper ses hanches pour enfin bouger en elle.

- Ah ! Ah !

Sarah, la culotte de travers, les seins nus et la jupe remontée sur son fessier était loin de l'image de jeune fille sage et timide qu'on lui donnait au village. Très loin. Accrochée à la rambarde elle couinait et gémissait, l'homme la besognant avec ardeur, tenant fermement ses hanches et suçant la peau de son cou et de sa nuque.

Elle percevait à travers ses propres gémissemen­t les grognement de l'homme qui fourrageai­t en elle si délicieuse­ment, écartant son sexe dans un aller retour rapide et puissant qui la rendait folle.

Un klaxon plus fort que les autres la fit sursauter et elle reconnut vaguement un camion qu'elle voyait tous les lundi. Le spectacle semblait lui plaire ! Dans un réflexe acquis depuis des mois elle leva la main pour le saluer mais ne put sourire, sa bouche s'ouvrant sur un cri de plaisir alors que son amant lui pincait le clitoris puis le frictionna­it avec l'index et le majeur.

S'il lui restait la moindre trace de retenue celle ci disparut dans la seconde et elle se mit à bouger sa croupe comme une chienne, le son de leurs peaux claquant couvert par la route.

Il allait et venait en elle, frottant son sexe autant à l'intérieur qu'à l'extérieur avec ses doigts, la faisant couiner, gémir, crier à chaque coup de butoir entre ses lèvres trempées de plaisir. Une voiture rouge attira un instant son regard et elle regarda les warnings s'allumer alors que l'homme mordait son épaule, traversé par l'orgasme. Sarah cria de surprise, de douleur et de plaisir. Elle s'écrasa contre la rambarde, sa poitrine développée amortissan­t le choc alors qu'il venait en elle dans un grondement. Il se serra contre elle, cessant de bouger et elle se sentit flouée, le sexe palpitant de frustratio­n et le ventre tordu de désir. La déception la gagna quand elle le sentit sortir d'elle et il caressa ses fesses avec son sexe redevenu mou.

- Tu es délicieuse.

- Merci...

Elle remua la croupe se retenant de glisser ses doigts entre ses jambes pour se satisfaire.

Il n'allait pas le laisser ainsi... Si ? La main caleuse de l'homme caressa ses fesses un instant et il lui replaça sa culotte.

- Je repasse par là jeudi. Ça te dit de remettre ça ?

- S... Si tu veux.

- Bien. Bonne soirée.

Il lui embrassa le dos et partit, la laissant ainsi la chatte en feu et insatisfai­te. Elle l'entendit démarrer au loin et fit un vague salut à un conducteur. Son téléphone vibra et un peu ailleurs la demoiselle se pencha pour le regarder. Elle avait plusieurs messages sur le site. L'un d'eux attira son regard.

[ Je suis à la sortie xx . Pause obligatoir­e. Je t'ai vu en passant. Rejoins moi ? ] Le message daté d'un quart d'heure. Elle posa ses doigts sur l'écran et répondit. [ Roule vers XXXXXXX. Arrête toi au carrefour où il y a le vieux restaurant. J'arrive. ]

[Ok]

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