MIEUX CONNAÎTRE
Il n’a pas son pareil pour booster nos menus : juteux, doux et acidulé, bien vitaminé, il fait frétiller les papilles.
Le pamplemousse
Du jaune au rose
Plus sucré et moins amer que celui à chair jaune, le pamplemousse rose a la faveur des consommateurs. Celui de Floride est une référence, mais il peut aussi provenir d’israël ou d’afrique du Sud. Dans tous les cas, il faut le choisir lourd en main, signe qu’il est bien juteux, avec une peau brillante. Il se conserve facilement une semaine dans un lieu frais. Une fois ouvert, il doit être consommé sans attendre pour profiter de sa fraîcheur et de sa vitamine C : un demi-pamplemousse couvre la moitié de nos besoins quotidiens.
Dans l’assiette
Si on a coutume de le déguster à la petite cuillère, sa pulpe se glisse aussi dans les salades auxquelles il apporte une délicieuse touche sucrée-acidulée. Une astuce pour prélever les segments : le peler, puis le placer au réfrigérateur pour que les membranes durcissent et s’ôtent facilement. Bio, son zeste râpé parfume les biscuits et les crèmes. Enfin, son jus sert à déglacer les jus de cuisson des volailles ou à relever les marinades des poissons.
pomelo ou pamplemousse ?
Ce que nous nommons communément pamplemousse est en fait le pomelo. Ce croisement d’agrumes originaire des Caraïbes est celui que l’on trouve couramment sous les différentes couleurs jaune ou rose. Le « vrai » pamplemousse d’asie, acide et amer, est quasiment introuvable, et immangeable cru !