L’avis de la psy
Cette histoire, dans ce qu’elle peut avoir de choquant, est un vrai pied de nez à tout ce qu’on raconte sur le « temps de latence » nécessaire après un deuil, une rupture, un grand chagrin.
En fait, tout dépend de chacun, des circonstances, du moment… C’est sans doute parce que c’est « le pire moment de sa vie » que Joëlle est si vivante et que l’amour peut arriver. Elle est disposée à se laisser cueillir.