Maxi

« J’aime l’énergie qui s’en dégage »

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Lorsque j’ai eu besoin de signer en mon nom propre, j’ai griffonné une vingtaine de signatures possibles et me suis arrêtée à la plus rapide et la plus simple à reproduire. Une boucle pour le C et le nom complet. Le début est resté le même mais, au fil du temps, j’ai raccourci pour n’y laisser que mes initiales. Je me souviens très bien de ma première signature en tant que personne responsabl­e : j’avais 18 ans, c’était pour mon permis de conduire, un moment important! Ma signature n’a pas de sens particulie­r pour moi, mais j’aime sa simplicité, l’énergie et le dynamisme qui s’en dégagent. Quand je la trace, c’est une manière de m’engager personnell­ement. Elle peut ressembler parfois à un paraphe « vite fait » : ce n’est pas par désintérêt mais plus par humilité. Dans la vie, je ne désire pas m’imposer ou en imposer. J’espère que ma signature parvient à le refléter !

L’avis de la graphologu­e

Christelle utilise une encre différente, bleue, ce qui dénote d’emblée une certaine sensibilit­é. La rondeur et l’ampleur des boucles soulignent sa féminité, sa générosité, son côté affectueux. C’est comme s’il y avait une personnali­té double : d’un côté, un imaginaire très fécond ; de l’autre une émotivité contenue, une façon rigoureuse d’aborder les choses (raideur, énergie du mouvement). Christelle veut du concret. Peut-être est-elle dans une sorte d’auto-contrôle, de sévérité à l’égard d’elle-même pour obtenir des résultats. Enfin, tout est tracé d’une seule traite : quand Christelle commence quelque chose, elle va jusqu’au bout.

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Christelle,

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