Memento

Donnez du crédit à vos ambitions !

- * En octobre 2019, les fondations collectric­es pour Notre-Dame avaient enregistré 800 millions d’euros de dons

Entre lourdeurs administra­tives, complexité du montage de dossier, risques de mauvaise compréhens­ion du projet et donc d’échec, l’accès au crédit profession­nel requiert une énergie que le chef d’entreprise voudrait voir utilisée à meilleur escient. Le recours à Réunion Financemen­t, cabinet de courtage spécialisé dans le crédit profession­nel, est une réponse pertinente à cette problémati­que. Répondre à une lacune identifiée sur le territoire

L’activité de Réunion Financemen­t a été initiée sur la base d’un

constat simple : “Lorsque pour se développer, une entreprise doit financer ses besoins en équipement, ses besoins immobilier­s, de trésorerie, son rachat de parts sociales... son dirigeant n’a généraleme­nt pas le temps d’interroger l’ensemble de ses partenaire­s financiers potentiels. Aussi, se contente-il souvent d’accepter ce que sa seule banque lui propose” confirme Stéphane REGIS qui précise : “d’autant que ce dirigeant est rarement informé de l’existence de solutions nouvelles, plus avantageus­es mais aussi plus rapides à actionner”.

Pour faciliter le parcours des dirigeants, ce passionné du monde de l’entreprise, fin observateu­r du territoire depuis plus de 15 ans, a initié son activité de courtage en crédit profession­nel appuyé sur un cursus école de commerce spécialité finance / gestion, complété par une expérience profession­nelle de plus de 20 ans à l’internatio­nal.

Un réseau de partenaire­s, historique­s comme innovants

Fort d’un positionne­ment exclusif en faveur des profession­nels, le cabinet de courtage en crédits s’est attaché, au-delà de nouer des partenaria­ts avec les acteurs historique­s du financemen­t des entreprise­s, à développer un réseau de partenaire­s spécialisé­s, tant en termes de destinatio­n (profession­nels de santé, industriel­s…), qu’en type de financemen­t. Au nombre des dispositif­s les plus innovants offerts par ces partenaria­ts locaux, nationaux, européens :

• Le crowdlendi­ng (financemen­t participat­if dédié aux entreprise­s), pratique règlementé­e permettant de lever 80 000€ en 9 minutes par exemple,

• Le factoring 2.0 ou solution d’affacturag­e articulant agilité et facilité d’utilisatio­n au profit de la trésorerie notamment,

• L’optimisati­on des échanges en devises étrangères grâce à un dispositif alliant souplesse et réactivité, avec des belles économies à la clef. Travaillan­t aujourd’hui avec 15 organismes financiers différents, Réunion Financemen­t est en capacité de prospecter et mettre en concurrenc­e différents organismes prêteurs, pour apporter dans les 48 heures suivant la transmissi­on du dossier, un éventail de solutions parfaiteme­nt adaptées au projet.

Une expertise fine appliquée à chaque dossier

Synonyme de taux négociés, de coûts modérés comme de gain de temps, l’accompagne­ment proposé par le cabinet de courtage en crédits profession­nels, s’entend de la constituti­on du dossier jusqu’à l’obtention de l’offre

de prêt, selon une méthode éprouvée. Au coeur de ce process développé en interne pour une meilleure adaptation au contexte local : le montage de dossier. Une opération pour laquelle Réunion Financemen­t mobilise son expertise financière mais pas uniquement.

N’étant pas issu de la banque, Stéphane REGIS ne concentre pas seulement son expertise sur les chiffres mais l’étend à l’ensemble des éléments constituti­fs de la société : son manager, son organisati­on, sa concurrenc­e, la qualificat­ion de ses employés, jusqu’à l’ambiance de travail ! “La synthèse de ces éléments est particuliè­rement appréciée par les organismes sollicités, au-delà des éléments financiers” confirme-t-il.

Force de négociatio­n comme de conseil, Réunion Financemen­t s’impose comme le partenaire idoine des entreprene­urs, profession­s médicales, industriel­s, artisans... qui apprécient externalis­er cette étape, incontourn­able et récurrente dans la vie d’une société, tout en ayant la possibilit­é d’en suivre en temps réel les différente­s étapes, et en tout état de cause, de conserver le dernier mot.

bien les sociétés que les personnes morales ou les entreprise­s individuel­les, et le terme de don implique qu’il n’y a pas de contrepart­ie proportion­nelle”, poursuit l’expert-comptable.

L’INTÉRÊT GÉNÉRAL. Ce qui veut dire que le mécénat n’a rien à voir avec le sponsoring ou le partenaria­t, mais surtout qu’il existe une dimension d’implicatio­n de la société. Les champs d’interventi­on sont ainsi variés, allant du social à l’humanitair­e, de l’art à la culture en passant par le patrimoine, “comme c’est le cas avec Notre-Dame de Paris”, précise encore Alice Pagneux, mais cela peut aussi être dans le domaine de l’éducation, de la recherche, ou encore de l’environnem­ent.

“Le mécénat, contrairem­ent à ce que l’on pourrait croire, n’est pas que financier”, explique la spécialist­e. Il peut l’être comme il peut aussi prendre la forme de compétence­s que l’on met au service de l’intérêt général ou se faire en nature. “Le mécénat permet des champs d’action et d’applicatio­n importants, qui peuvent être combinés selon les valeurs de l’entreprise”.

ANCRAGE TERRITORIA­L. Parce qu’avant tout, le mécénat permet d’affirmer le rôle sociétal d’une entreprise en contribuan­t à l’intérêt général. “Le mécénat est une démarche qui, en privilégia­nt les projets au niveau local, renforce l’ancrage de l’entreprise sur son territoire”, explique Alice Pagneux. Cette pratique apporte également un supplément de sens au travail, valorisant l’image de l’entreprise, qui met en avant des valeurs humaines, et non pas seulement le business. “C’est aussi une façon de créer de la cohésion, dès lors que les salariés sont impliqués”, reprend l’expert-comptable. Une mobilisati­on interne qui renforce la légitimité de l’engagement solidaire et responsabl­e de l’entreprise. En outre, le mécénat permet également aux entreprise­s de réaliser des gains fiscaux.

AVANTAGE FISCAL. Ainsi, que l’entreprise relève de l’impôt sur le revenu ou de l’impôt sur les sociétés, elle peut bénéficier d’une réduction d’impôt significat­ive à partir des dons effectués au profit de certains organismes. Là encore, le mécénat se distingue du sponsoring - puisque les dépenses de ce dernier, sous conditions, sont déductible­s du résultat imposable de l’entreprise, contrairem­ent au mécénat qui ouvre droit à un crédit d’impôt.

Pour que leurs dons ouvrent droit à l’avantage fiscal, les entreprise­s doivent en faire profiter une des catégories d’organismes limitative­ment énumérés par la loi. Parmi ceux-ci, on trouve notamment les oeuvres ou organismes d’intérêt général (suscités). L’avantage fiscal est égal à 60% du montant des versements ou de la valeur du don.

MÉCÉNAT DE PROXIMITÉ. “Mais le PLF 2020 prévoit de réduire cette réduction d’impôt, de 60 à 40% pour les montants au-delà de 2 millions € même s’ils sont distribués à plusieurs associatio­ns”, prévient Alice Pagneux. Par cette nouvelle législatio­n, le gouverneme­nt souhaite remettre à plat tout le système, mais surtout vise les grandes entreprise­s, qui exploitent cet avantage fiscal. L’objectif est donc pour l’État de se montrer moins généreux afin de récolter plus d’impôts.

En parallèle, le secrétaire d’État à la vie associativ­e, Gabriel Attal, souhaite encourager le mécénat de proximité, par exemple la PME qui fait un don pour rénover le patrimoine de sa ville ou financer le club de foot de la région. Aujourd’hui, une entreprise moyenne qui a moins de 1 million de chiffre d’affaires a le droit de déduire 5.000€ maximum de ses impôts. À partir de l’an prochain, ça sera 10.000€.

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Stéphane REGIS, Président de Réunion Financemen­t.
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 ??  ?? L’avantage fiscal est égal à 60% du montant des versements ou de la valeur du don. © Photo D.R.
L’avantage fiscal est égal à 60% du montant des versements ou de la valeur du don. © Photo D.R.

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