Donnez du crédit à vos ambitions !
Entre lourdeurs administratives, complexité du montage de dossier, risques de mauvaise compréhension du projet et donc d’échec, l’accès au crédit professionnel requiert une énergie que le chef d’entreprise voudrait voir utilisée à meilleur escient. Le recours à Réunion Financement, cabinet de courtage spécialisé dans le crédit professionnel, est une réponse pertinente à cette problématique. Répondre à une lacune identifiée sur le territoire
L’activité de Réunion Financement a été initiée sur la base d’un
constat simple : “Lorsque pour se développer, une entreprise doit financer ses besoins en équipement, ses besoins immobiliers, de trésorerie, son rachat de parts sociales... son dirigeant n’a généralement pas le temps d’interroger l’ensemble de ses partenaires financiers potentiels. Aussi, se contente-il souvent d’accepter ce que sa seule banque lui propose” confirme Stéphane REGIS qui précise : “d’autant que ce dirigeant est rarement informé de l’existence de solutions nouvelles, plus avantageuses mais aussi plus rapides à actionner”.
Pour faciliter le parcours des dirigeants, ce passionné du monde de l’entreprise, fin observateur du territoire depuis plus de 15 ans, a initié son activité de courtage en crédit professionnel appuyé sur un cursus école de commerce spécialité finance / gestion, complété par une expérience professionnelle de plus de 20 ans à l’international.
Un réseau de partenaires, historiques comme innovants
Fort d’un positionnement exclusif en faveur des professionnels, le cabinet de courtage en crédits s’est attaché, au-delà de nouer des partenariats avec les acteurs historiques du financement des entreprises, à développer un réseau de partenaires spécialisés, tant en termes de destination (professionnels de santé, industriels…), qu’en type de financement. Au nombre des dispositifs les plus innovants offerts par ces partenariats locaux, nationaux, européens :
• Le crowdlending (financement participatif dédié aux entreprises), pratique règlementée permettant de lever 80 000€ en 9 minutes par exemple,
• Le factoring 2.0 ou solution d’affacturage articulant agilité et facilité d’utilisation au profit de la trésorerie notamment,
• L’optimisation des échanges en devises étrangères grâce à un dispositif alliant souplesse et réactivité, avec des belles économies à la clef. Travaillant aujourd’hui avec 15 organismes financiers différents, Réunion Financement est en capacité de prospecter et mettre en concurrence différents organismes prêteurs, pour apporter dans les 48 heures suivant la transmission du dossier, un éventail de solutions parfaitement adaptées au projet.
Une expertise fine appliquée à chaque dossier
Synonyme de taux négociés, de coûts modérés comme de gain de temps, l’accompagnement proposé par le cabinet de courtage en crédits professionnels, s’entend de la constitution du dossier jusqu’à l’obtention de l’offre
de prêt, selon une méthode éprouvée. Au coeur de ce process développé en interne pour une meilleure adaptation au contexte local : le montage de dossier. Une opération pour laquelle Réunion Financement mobilise son expertise financière mais pas uniquement.
N’étant pas issu de la banque, Stéphane REGIS ne concentre pas seulement son expertise sur les chiffres mais l’étend à l’ensemble des éléments constitutifs de la société : son manager, son organisation, sa concurrence, la qualification de ses employés, jusqu’à l’ambiance de travail ! “La synthèse de ces éléments est particulièrement appréciée par les organismes sollicités, au-delà des éléments financiers” confirme-t-il.
Force de négociation comme de conseil, Réunion Financement s’impose comme le partenaire idoine des entrepreneurs, professions médicales, industriels, artisans... qui apprécient externaliser cette étape, incontournable et récurrente dans la vie d’une société, tout en ayant la possibilité d’en suivre en temps réel les différentes étapes, et en tout état de cause, de conserver le dernier mot.
bien les sociétés que les personnes morales ou les entreprises individuelles, et le terme de don implique qu’il n’y a pas de contrepartie proportionnelle”, poursuit l’expert-comptable.
L’INTÉRÊT GÉNÉRAL. Ce qui veut dire que le mécénat n’a rien à voir avec le sponsoring ou le partenariat, mais surtout qu’il existe une dimension d’implication de la société. Les champs d’intervention sont ainsi variés, allant du social à l’humanitaire, de l’art à la culture en passant par le patrimoine, “comme c’est le cas avec Notre-Dame de Paris”, précise encore Alice Pagneux, mais cela peut aussi être dans le domaine de l’éducation, de la recherche, ou encore de l’environnement.
“Le mécénat, contrairement à ce que l’on pourrait croire, n’est pas que financier”, explique la spécialiste. Il peut l’être comme il peut aussi prendre la forme de compétences que l’on met au service de l’intérêt général ou se faire en nature. “Le mécénat permet des champs d’action et d’application importants, qui peuvent être combinés selon les valeurs de l’entreprise”.
ANCRAGE TERRITORIAL. Parce qu’avant tout, le mécénat permet d’affirmer le rôle sociétal d’une entreprise en contribuant à l’intérêt général. “Le mécénat est une démarche qui, en privilégiant les projets au niveau local, renforce l’ancrage de l’entreprise sur son territoire”, explique Alice Pagneux. Cette pratique apporte également un supplément de sens au travail, valorisant l’image de l’entreprise, qui met en avant des valeurs humaines, et non pas seulement le business. “C’est aussi une façon de créer de la cohésion, dès lors que les salariés sont impliqués”, reprend l’expert-comptable. Une mobilisation interne qui renforce la légitimité de l’engagement solidaire et responsable de l’entreprise. En outre, le mécénat permet également aux entreprises de réaliser des gains fiscaux.
AVANTAGE FISCAL. Ainsi, que l’entreprise relève de l’impôt sur le revenu ou de l’impôt sur les sociétés, elle peut bénéficier d’une réduction d’impôt significative à partir des dons effectués au profit de certains organismes. Là encore, le mécénat se distingue du sponsoring - puisque les dépenses de ce dernier, sous conditions, sont déductibles du résultat imposable de l’entreprise, contrairement au mécénat qui ouvre droit à un crédit d’impôt.
Pour que leurs dons ouvrent droit à l’avantage fiscal, les entreprises doivent en faire profiter une des catégories d’organismes limitativement énumérés par la loi. Parmi ceux-ci, on trouve notamment les oeuvres ou organismes d’intérêt général (suscités). L’avantage fiscal est égal à 60% du montant des versements ou de la valeur du don.
MÉCÉNAT DE PROXIMITÉ. “Mais le PLF 2020 prévoit de réduire cette réduction d’impôt, de 60 à 40% pour les montants au-delà de 2 millions € même s’ils sont distribués à plusieurs associations”, prévient Alice Pagneux. Par cette nouvelle législation, le gouvernement souhaite remettre à plat tout le système, mais surtout vise les grandes entreprises, qui exploitent cet avantage fiscal. L’objectif est donc pour l’État de se montrer moins généreux afin de récolter plus d’impôts.
En parallèle, le secrétaire d’État à la vie associative, Gabriel Attal, souhaite encourager le mécénat de proximité, par exemple la PME qui fait un don pour rénover le patrimoine de sa ville ou financer le club de foot de la région. Aujourd’hui, une entreprise moyenne qui a moins de 1 million de chiffre d’affaires a le droit de déduire 5.000€ maximum de ses impôts. À partir de l’an prochain, ça sera 10.000€.