Promotion de l’engagement sociétal
La fondation Axian propose une politique pour le développement de la responsabilité sociétale et environnementale des entreprises avec des résultats concrets. Un bilan positif des actions menées en un an et demi reflète son efficacité.
Le secteur privé s’engage progressivement dans le domaine social et environnemental. Mais force est de constater que les actions des entreprises ne profitent souvent qu’aux quartiers ou villages de proximité, faute de bonne coordination. Pour des interventions efficaces axées sur les besoins et l’amélioration de vie de la population vulnérable, la Fondation Axian s’est fixée la mission de mutualiser les ressources humaines et financières de la vingtaine entreprises que forment le groupe pour la réalisation de ses actions RSE.
“La Fondation agit sur 4 domaines d’intervention : la santé, l’éducation, le développement communautaire et l’aide humanitaire et enfin l’environnement et le développement durable. Les entreprises partenaires, dont 8 à Madagascar, choisissent chacune le domaine adéquat à son engagement et dans lequel elles veulent intervenir”, explique Isabelle Salabert, directrice exécutive de la Fondation Axian. En collaboration avec les entreprises partenaires, la Fondation Axian affiche un bilan assez positif dans les 4 domaines d’intervention.
Lors d’une rencontre avec la presse le mois dernier, l’équipe de la fondation a présenté les travaux entrepris en un an et demi dont la construction de 101 écoles publiques au profit de 20.150 élèves, de 4 centres de santé de base au bénéfice de 51.000 personnes, de 5 blocs sanitaires... La fondation était également présente pendant la crise pandémique en proposant des consultations médicales gratuites, en faisant dons de traitements et d’équipements médicaux...
Par ailleurs, son engagement dans le développement environnemental a été aussi renforcé, 15 potagers ont été aménagés et 145.000 arbres plantés. Et pour mobiliser les collaborateurs sur le terrain, la Fondation Axian a lancé l’initiative ACT qui requiert, à ces derniers, deux jours par an de leur temps de travail afin de participer aux actions sur le domaine qui leur aspire.