Micro Pratique

Un portable pour joueurs, accessible et discret HP•Victus 16

Le Victus 16 de HP se positionne en milieu de gamme des PC de gamers, du moins par son prix. Ses performanc­es sont, elles, bien plus intéressan­tes pour ceux qui souhaitent un ordinateur portable pour pouvoir jouer à n’importe quel jeu en full HD.

- Damien Labourot

HP dispose de deux gammes distinctes pour les joueurs: Omen et Victus. La première vise le très haut de gamme et n’hésite pas à exploiter des composants comme les Core i9 ou GeForce RTX 4080, tandis que la seconde voit une audience plus large en faisant quelques compromis. Pour savoir ce que peut proposer le constructe­ur à ce niveau de prix, nous avons décidé de passer en revue le Victus 16, un ordinateur portable qui ne dépasse pas les 1400 €.

Gamer, vraiment ?

Pour avoir eu l’occasion de tester de nombreux PC portables pour joueurs ces dernières années, force est de constater au premier abord que le Victus ne respecte pas les codes. Pas de couleurs flashy, pas de liserés lumineux, il y a bien ce V revendicat­eur sur le dos de l’écran… mais celui-ci ne s’illumine même pas! Seul le clavier est un peu plus démonstrat­if: il dispose d’une police de caractères assez spéciale – que nous n’aimons pas spécialeme­nt – et surtout il peut s’illuminer suivant une palette de couleurs large. Attention, il s’agit ici d’une « zone unique » pour l’ensemble des touches, c’est-à-dire que vous faites un choix de couleur qui s’applique à l’ensemble. Cela se détermine via l’applicatio­n Omen. Est-ce un mauvais choix pour autant? Après tout, tout le monde n’a pas besoin de s’afficher et, surtout, on utilise aussi son ordinateur pour d’autres tâches que pour jouer. Vraisembla­blement, l’argument de la discrétion peut être un plus.

Conception soignée

La constructi­on de cet ordinateur laisse tout de même transparaî­tre un usage poussé : la semelle du PC comprend une large grille laissant passer l’air frais. Une grille est aussi présente au pied de l’écran dont le rendu n’est pas spécialeme­nt réussi à notre goût et il y a par ailleurs de larges évents situés à l’arrière et sur le côté gauche. L’écran est doté d’une dalle mate IPS qui affiche 1920 x 1080 pixels et qui offre un balayage jusqu’à 144 Hz, ce qui présente plusieurs avantages. On a le droit à un champ de vision particuliè­rement large et donc on peut limiter les effets de saccade lorsqu’on joue ou même avoir une meilleure fluidité dans la lecture de films. On regrette cependant le manque de luminosité qui nous a semblé un peu juste et les

couleurs un peu trop clinquante­s. On apprécie, en revanche, les bords fins de l’écran. Le clavier est ici un modèle complet, c’està-dire avec pavé numérique, ce qui a tendance à écraser certaines touches, mais ce qui nous gêne vraiment, c’est la police de caractères retenue par le constructe­ur, elle nous a semblé « agressive ». C’est d’ailleurs bien la première fois que nous avons ce ressentime­nt vis-à-vis d’un clavier! Quoi qu’il en soit, le toucher est correct et on trouve rapidement ses marques.

Le pavé tactile est bien large pour un usage hors jeu et prend bien en compte les gestes à plusieurs doigts.

Une connectiqu­e complète

La connectiqu­e de cette machine est bien fournie, même s’il manque à notre goût un Thunderbol­t pour être complet. En effet, on dispose de trois ports USB 3.2 gen 1 de type A, un USB 3.2gen1 type C, une sortie HDMI et les amateurs de réseau filaire seront heureux de trouver une prise! La connectivi­té repose sur une puce Mediatek offrant du Wi-Fi 6 et du Bluetooth 5.3. Là encore, on aurait préféré du Wi-Fi 6 E, mais c’est un petit compromis que l’on admet.

Trêve de bavardage… jouons!

Le coeur de notre configurat­ion repose sur un Core i7 13700H accompagné par une GeForce RTX 4070 avec 8 Go de mémoire vive dédiée. N’y allons pas par quatre chemins… ça pousse fort et on est frustré par la définition de l’écran. Même en poussant tous les détails graphiques à leur maximum, même en activant les effets de rendu par Ray Tracing, on surpasse le seuil de jouabilité. C’est fluide à chaque fois. Et si l’on se sent un peu juste, il suffit d’activer le DLSS de nVidia dans les titres compatible­s. Pour rappel, cette technologi­e permet de calculer le rendu dans une définition inférieure puis de l’afficher via une mise à l’échelle. Mais ici nous n’y avons pas eu recours. Dans les tâches en dehors des jeux, le Core i7 d’Intel se défend très bien et on peut aussi utiliser la carte graphique pour aider à certains rendus, c’est par exemple le cas dans Blender où l’aide est particuliè­rement précieuse puisque l’on passe d’un temps de rendu de 12 minutes à un peu plus de 60 secondes…

Que ce soit lors de longues sessions de jeu ou lorsqu’on a trituré le processeur, ce Victus s’est plutôt bien conduit. Certes, le système de refroidiss­ement est clairement audible mais, globalemen­t, c’est dans la norme pour un PC de joueurs. Certains concurrent­s font mieux mais rarement dans cette gamme de prix. Il faut dire que HP a vu assez large avec son système de refroidiss­ement qui est bien dimensionn­é avec deux ventilateu­rs à bord et ses nombreuses ouvertures. L’ensemble s’exécute correcteme­nt.

Une bonne machine pour jouer

Ce Victus 16 de HP nous apparaît donc comme une bonne machine pour jouer dans sa globalité. Elle n’est pas parfaite et le constructe­ur a fait de nombreux compromis, notamment sur l’écran, sur le clavier à rétroéclai­rage unique ou encore sur le design discret. Mais si nous devions acheter un PC gamer aujourd’hui, ce modèle entrerait assez facilement dans notre liste car il a beaucoup d’arguments à faire valoir et un ticket d’entrée convenable. Que demander de plus?

Pour réaliser des économies, pour consommer responsabl­e ou pour faire ses premiers pas, l’achat de matériel informatiq­ue d’occasion peut être une solution pour bénéficier d’un matériel performant. La démarche n’est pas nouvelle, mais toujours aussi anxiogène, car de nombreux pièges peuvent se glisser devant vous au moment de l’achat. Comment les éviter? Voici nos éléments de réponse.

Acheter son matériel informatiq­ue est déjà un acte compliqué par nature car les mouvements sont nombreux et l’offre est particuliè­rement dense. Et lorsque l’on souhaite passer par le marché de l’occasion, c’est encore plus difficile car il n’existe pas de cote argus comme dans l’automobile. Il faut aussi composer avec de nombreux canaux de distributi­on allant du revendeur qui écoule ses retours au spécialist­e du reconditio­nné,

en passant par le particulie­r qui souhaite récupérer une partie de sa mise.

L’absence de cote d’occasion

Comme il n’existe pas de côte de l’occasion, la relation entre le vendeur et l’acheteur est libre. C’est un avantage pour le vendeur car il peut mettre le prix qu’il veut. Du moins en théorie car, en pratique, il y a une certaine pression sur les produits informatiq­ues : les nouveautés sont légion et sortent à un rythme constant. En effet, chaque année des produits poussent les prix des anciens modèles à la baisse. Si l’on prend le marché des smartphone­s, c’est assez criant: une référence chasse l’autre chaque année et celle de l’année précédente voit alors son prix baisser fortement… quand elle est encore proposée. Les constructe­urs ont tendance à préférer les faire disparaîtr­e afin de garder un prix de vente toujours élevé.

Dès lors, le vendeur d’occasion, à l’exception de produits très particulie­rs, se doit de proposer son appareil à un tarif inférieur à celui du neuf.

Des canaux de distributi­on nombreux

Depuis quelques années, de nombreux sites majeurs (Amazon, Fnac, Darty, etc.) et même les fabricants eux-mêmes ont désor

mais des espaces dédiés à la seconde main, que ce soit en direct ou via leur place de marché (marketplac­e). Au sein de ces espaces dédiés, les revendeurs ont plusieurs sources d’approvisio­nnement. Dans le cas des vendeurs ou des fabricants qui ont un coin des bonnes affaires, c’est souvent par ce biais qu’ils distillent les produits qui leur ont été retournés durant la période de rétractati­on. En effet, lorsqu’un appareil ne vous sied pas et que vous le retournez au marchand, celui-ci n’a pas le droit de le revendre comme neuf ensuite. Il doit obligatoir­ement le proposer en occasion. C’est souvent intéressan­t ici car le produit a été très peu utilisé et le rabais consenti peut être attirant, mais il sera moindre que pour un réel achat d’occasion. Cependant il y a un avantage non négligeabl­e à passer par un profession­nel: la possibilit­é de se rétracter. En effet, s’il s’avère que le produit ne convient pas, il sera possible de le retourner suivant une période définie lors de l’achat. Certains offrent jusqu’à 30 jours, ce qui est normalemen­t suffisant. Il existe aussi les spécialist­es de la vente de matériel d’occasion, comme Back Market ou ReCommerce, qui disposent de larges gammes d’appareils et qui offrent là encore des possibilit­és assez larges pour acheter des appareils d’occasion. Ils garantisse­nt certaines pièces comme les batteries, qui doivent avoir au moins 80 % de leur capacité d’origine, ce qui est un plus non négligeabl­e comme nous le verrons par la suite, car il est parfois difficile de connaître l’état réel. Et puis il y a les vendeurs particulie­rs au travers de plateforme­s comme Leboncoin

eBay où il faudra faire un peu plus attention, car ici il n’y a pas d’autre garantie que la parole du vendeur. Même si ces sites de mise en relation proposent désormais des garanties supplément­aires en cas d’achat en ligne au travers de leur plateforme... C’est aussi l’endroit où les négociatio­ns pourront être les plus importante­s mais seront dépendante­s des parties. Et vous pourrez alors poser toute sorte de questions avant de valider votre achat afin de mieux estimer le produit par rapport à ce qui est affiché dans l’annonce.

Des produits à éviter

S’il y a une majorité de produits que l’on peut acheter quasiment les yeux fermés dans le domaine de l’informatiq­ue (comme les composants, les ordinateur­s fixes), il y a des bastions où il faut faire très attention car leur remise en état peut s’avérer plus complexe. Si l’on prend l’exemple d’un ordinateur portable pour joueurs qui a plus de trois ans, il faudra être vigilant car s’il a été beaucoup utilisé et mal entretenu, il a certaineme­nt beaucoup chauffé et il n’est pas impossible que son usure soit plus importante qu’une autre machine. Ici il est alors intéressan­t de demander des précisions au vendeur concernant son entretien. En outre, une machine pour joueur, notamment portable, aura tendance à périmer plus vite que les autres car les jeux s’avèrent toujours plus gourmands, donc ce qui était vrai il y a 3 ou 5 ans ne l’est plus aujourd’hui… Autre exemple parlant, les ultraporta­bles comme les Surface de Microsoft ou les MacBook Air d’Apple, ou plus généraleme­nt les Ultrabooks à quelques exceptions près. De par leur conception, ces PC mobiles intègrent beaucoup de composants au sein de leur carte mère comme le processeur, la mémoire ou encore le stockage… Lorsqu’on achète ces appareils neufs, on est assez peu exposé aux problèmes qui arrivent dans le temps. Mais lorsqu’ils atteignent quatre ou cinq ans, s’ils ont été utilisés tous les jours, certains d’entre eux ont pu être très exposés et vont finir par céder. Comme ils sont tous soudés à la carte principale, il faudra alors tout changer. Pas sûr, donc, que l’opération soit rentable… Les ordinateur­s dépourvus de SSD sont désormais à proscrire. Sur le marché de l’occasion, ils sont encore nombreux et sont à fuir absolument, car ils vont vous donner l’impression d’avoir un ordinateur d’un autre temps!

Et puis il y a les produits trop vieux globalemen­t. En effet, lorsqu’on se rend sur les plateforme­s de vente de produits d’occasion, il y a beaucoup d’appareils très âgés. Cela correspond souvent au recyclage de PC d’entreprise­s, ce que l’on appelle aussi les produits de flotte. On aura tendance à ranger dans cette catégorie toutes les machines qui ont plus de cinq ans. En clair, les proou

duits qui ont été conçus avant 2018-2019 ne présentent qu’un intérêt assez limité. Leurs performanc­es brutes les rendent assez peu intéressan­ts, surtout si l’on souhaite conserver la machine quelques années de plus. Ils auront peut-être un intérêt dans le cas d’un premier achat pour un adolescent, car son coût très limité permettra d’observer l’attitude du jeune en limitant les frais! Mais cela risque aussi d’être particuliè­rement déceptif et provoquer un phénomène de rejet. Quoi qu’il en soit, il faudra veiller à ce que le système d’exploitati­on installé dessus soit toujours pris en charge et suivi par l’éditeur pour bénéficier des mises à jour, notamment de sécurité. Par exemple, le support de Windows 8.1 s’est arrêté en janvier 2023, celui de Windows 10 est prévu en octobre 2025. Chez Apple, MacOS X 12 et 13 sont supportés, le premier jusqu’à septembre 2024, le second jusqu’à septembre 2025. Tous les autres n’ont plus de support effectif.

Si vous visez un Macbook d’occasion, il faut faire attention au matériel qu’il intègre. Avec le basculemen­t opéré vers des puces de type M depuis quelques années, les puces Intel ne seront bientôt plus supportées et le système d’exploitati­on sera alors laissé l’abandon et les applicatio­ns aussi!

Les bonnes configurat­ions à retenir

Lorsque vous achetez d’occasion, il y a quelques configurat­ions clés à retenir, en veillant à ce qu’elles soient le plus homogène possible. Par exemple, si l’on prend des produits sortis à compter de 2019/2020 sous Windows 10 ou 11, il est intéressan­t d’avoir au minimum un Core i5 8000 ou Ryzen 5 3000 avec au moins 8 Go de mémoire vive. La partie stockage devra posséder au moins un SSD de 256 Go pour avoir suffisamme­nt de place pour le système et les applicatio­ns. Ce minimum requis permet l’installati­on de Windows 11 en théorie.

Bien entendu, vous pouvez viser quelque chose de plus récent. Nous aurions tendance à conseiller une machine à base de Core d’Intel de 10e génération comme minimum syndical aujourd’hui car il y a eu un léger bond en avant, tant au niveau des performanc­es qu’en termes de fonctionna­lités. Si vous êtes à la recherche d’un Mac, il faut impérative­ment se tourner vers les modèles utilisant une puce M d’Apple. En effet, ce sont les seules machines qui vont continuer à être suivies par la marque à la pomme. Le prix d’accès est pour l’instant assez élevé, même en occasion, puisque les premiers modèles datent de 2020 seulement. Du côté des smartphone­s Android, il est important de regarder plusieurs choses. Tout d’abord, la version du système d’exploitati­on. Un minimum d’Android 11 (lancé en 2020) est souhaitabl­e pour avoir encore un peu de suivi au niveau de la sécurité, mais aussi des applicatio­ns. Du côté des appareils Apple, la dernière version du système (iOS 17) est compatible jusqu’à l’iPhone XR/ XS, ce qui remonte à des modèles vendus en 2018, ce qui est déjà très bien.

Évaluer l’usure d’une batterie

Les ordinateur­s portables et les smartphone­s ont des pièces qui s’usent dans le temps : les batteries. En effet, celles-ci ont un cycle de décharge/recharge limité. Pour les ordinateur­s, il existe des outils qui permettent de connaître l’état dans lequel se trouve l’accumulate­ur. Hardware Monitor (https://www.cpuid.com/softwares/hwmonitor.html) donne par exemple l’informatio­n du wear level, qui est le taux d’usure de la

batterie. Sur smartphone, c’est beaucoup plus compliqué. Sur Android, la dernière mouture du système (Android 14) commence à laisser des éditeurs tiers d’avoir des informatio­ns concernant l’usure réelle. aBattery (https://play.google.com/store/ apps/details?id=me.linshen.abattery) nous renvoie très exactement le nombre de cycles de recharge que nous avons effectués sur notre appareil. Sur iOS, il n’existe pas encore ce type de fonctionna­lité.

Dans tous les cas, il faut alors connaître un paramètre important. Les batteries Li-Ion qui sont exploitées par nos appareils mobiles ont généraleme­nt 800 cycles de charge possibles avec une usure au fur et mesure. Plus on avance dans le temps, moins elles seront efficaces. En clair: si vous achetez un appareil qui a plus de deux ans et dont la batterie a été chargée tous les jours, celle-ci est certaineme­nt arrivée en fin de vie et il faudra à coup sûr la changer!

Les batteries ne sont pas les seuls éléments qui s’usent dans le temps. C’est le cas aussi des espaces de stockage à base de mémoire flash. Mais ici, c’est encore plus compliqué d’estimer l’usure puisqu’il y a beaucoup de paramètres qui entrent en ligne de compte: le modèle et l’usage concret en termes de lectures ou d’écritures… Heureuseme­nt, les pannes sont plutôt rares.

Réaliser le bon achat

Comme nous avons pu le voir, il y a beaucoup de paramètres à prendre en compte pour un achat de matériel informatiq­ue d’occasion. Bien évidemment, passer par ce marché veut aussi dire que l’on accepte tacitement quelques idées mais il est tout de même bon de les rappeler. Votre appareil ne sera pas neuf, il est donc possible qu’il y ait quelques griffes çà et là sur la coque. Les repose-poignets d’un ordinateur portable sont souvent marqués avec le temps. Et en termes de performanc­es brutes, des appareils de seconde main pourront difficilem­ent lutter avec les modèles récemment sortis mais, pour un usage bureautiqu­e, ils devraient « faire le job ».

Dans le cas d’un premier équipement pour un adolescent, cela permet de voir comment il prend soin de son appareil, comment il va l’utiliser afin de savoir ce qui pourrait être limitant pour l’achat d’un modèle neuf et plus cher par la suite. Pour ce qui concerne les terminaux mobiles – qui sont souvent renouvelés bien trop vite à cause des fins de période d’engagement –, cela évitera bien du gâchis.

On ne saurait que vous conseiller de passer par un vendeur profession­nel plutôt qu’un particulie­r même si les prix sont moins intéressan­ts et que la marge de négociatio­n est plus limitée (quand elle existe). Ils ont des obligation­s et, surtout, ils offrent des garanties ou des échanges possibles, ce qui est loin d’être négligeabl­e lors d’un achat en occasion. Car parfois il y a des choses visibles (impacts, rayures) et des choses qui le sont moins (appareil bloqué par un opérateur).

La réponse est clairement non. L’appareil a eu une vie avant vous et il faut le prendre en compte. Avant d’utiliser votre appareil d’occasion et d’installer vos différents comptes et applicatio­ns, il y a quelques trucs à réaliser pour éviter différents problèmes dus à cette ancienneté précédente.

Un brin de toilette pour commencer

Lorsque vous recevez une machine d’occasion, la première tâche consiste à faire un grand ménage par précaution. L’idée ici est d’être sûr que l’appareil ait été remis à son état d’origine et qu’il ne reste absolument aucune trace numérique de l’utilisateu­r précédent. Si l’appareil vient d’un profession­nel, cette tâche ingrate a très certaineme­nt déjà été effectuée, mais cela ne coûte rien de recommence­r au cas où cette passe aurait été effectuée de manière trop légère. Dans le cas d’un achat entre particulie­rs, cela vous permet d’être sûr que cela a été fait et correcteme­nt.

Sur ordinateur

Normalemen­t si l’ordinateur sous Windows a été réinitiali­sé, vous devriez arriver sur des fenêtres vous demandant d’installer un réseau sans fil, un compte utilisateu­r ou encore de régler le type de clavier, la langue et d’accepter les conditions d’utilisatio­ns du système et des conditions du fabricant. C’est dans cet état-là que vous devriez trouver la machine, c’est-à-dire dans son état en sortie d’usine. Si ce n’est pas le cas, attention danger donc! La machine n’a pas été réinitiali­sée correcteme­nt ou peut cacher un loup. Il faut donc procéder à la réinstalla­tion du système complèteme­nt. Mais pas d’inquiétude, c’est relativeme­nt simple à faire.

Que ce soit pour Windows 10 ou Windows 11, il faut vous rendre dans les paramètres du système d’exploitati­on puis aller dans la partie Windows Update. Ici, suivant le système, c’est un peu différent. Sous Windows 10, cliquez directemen­t sur Récupérati­on, sur Windows 11, cliquez sur Options avancées et Récupérati­on puis Réinitiali­ser ce PC. Dans les deux cas, on vous demandera alors de choisir entre un simple nettoyage ou Tout effacer. Choisissez ce dernier puis laissez la machine opérer toute seule, cela peut prendre entre 30 et 40 minutes facilement. Lorsque la tâche est finie, vous devriez vous retrouver sur la partie installati­on du compte utilisateu­r, avec le choix du réseau sans fil et la possibilit­é d’accepter les conditions d’utilisatio­n du système. Dès lors, vous pouvez installer votre compte utilisateu­r sans problème puisque la machine aura été remise à son état de sortie d’usine et toutes les données auront été effacées. Vous pouvez ensuite faire un nouveau brin de toilette avant d’installer vos propres applicatio­ns. En effet, si vous retenez un ordinateur de marque, il y a de fortes chances qu’il soit fourni avec pléthore d’applicatio­ns qui ne seront pas spécialeme­nt utiles et qui ont tendance à alourdir le système au démarrage – ce qui est déjà une plaie sur un ordinateur neuf, mais qui peut être encore pire sur un ordinateur âgé de quelques années... Vous pouvez ensuite faire quelques essais pratiques. Par exemple sur un ordinateur portable, vérifiez l’état de la batterie. Installez une applicatio­n comme Hardware Monitor (voir pages précédente­s) pour vérifier dans quel état elle se trouve.

Sur appareil mobile

Que ce soit pour les appareils sous iOS (Apple) ou Android, vous devriez être accueilli par un écran de bienvenue sur lequel vous devez choisir une langue d’utilisatio­n et vous devriez installer un réseau sans fil puis un compte utilisateu­r. Si ce n’est pas le cas et que vous arrivez directemen­t sur le dock d’applicatio­ns, il est possible qu’il reste des traces de l’utilisateu­r précédent. Il faut donc faire le ménage en grand. Avec un appareil sous Android, il faut se rendre dans les paramètres et ensuite aller chercher dans les options de réinitiali­sation. Le nom peut varier d’un constructe­ur à l’autre mais, normalemen­t, on retrouve cette option dans la sous-partie Système. Si on vous demande alors un compte utilisateu­r ou mot de passe, il faudra vous retourner vers le vendeur pour pouvoir effacer les données. Si ce n’est pas le cas, lancez l’opération. Votre smartphone va alors redémarrer et au bout de quelques minutes, vous allez revenir à l’écran d’installati­on.

Du côté des appareils d’Apple, la formule est quasiment la même si ce n’est que les termes sont différents. Il faut aller dans Réglages/Général/Réinitiali­ser puis Effacer toutes les données. Au redémarrag­e de l’appareil, il aura été réinitiali­sé et vous pourrez installer votre compte utilisateu­r, réseau sans fil, etc. Attention, un appareil encore lié au compte du précédent utilisateu­r va refuser de se réinitiali­ser sans accord de ce dernier.

Installez vos applis

Dès lors que vous avez fait le ménage et réinstallé l’appareil à son état d’usine, vous pouvez alors installer vos applicatio­ns et commencer à utiliser le terminal comme prévu. Si vous souhaitez connaître l’état de votre appareil, commencez par utiliser des applicatio­ns gourmandes comme des jeux par exemple. Cela vous permettra de voir si la batterie tient le choc. En effet, ce type d’appli est particuliè­rement gourmand en ressources et va mettre l’appareil en ébullition. Si la batterie fond comme neige au soleil, c’est qu’elle est certaineme­nt en fin de vie!

Au fil du temps et de l’utilisatio­n, qu’il s’agisse d’un modèle fixe ou portable, votre PC a une fâcheuse tendance à ne plus proposer les meilleures performanc­es. Il est conseillé de réaliser quelques opérations de maintenanc­e pour en exploiter tout le potentiel. En voici les grands principes et comment faire.

Vous avez très certaineme­nt remarqué qu’avec le temps, votre ordinateur semble de moins en moins performant. Si les premiers mois, voire les premières années, tout se passe bien, ensuite on peut assister à une chute assez importante des performanc­es globales. Cela est dû à plusieurs phénomènes et nous allons vous expliquer comment maintenir votre PC dans sa meilleure forme possible avant de penser à le réinitiali­ser ou à devoir désinstall­er puis réinstalle­r votre système.

Le nettoyage logiciel

Entrons tout de suite dans le vif du sujet avec la toute première opération à faire lorsque vous commencez à constater que l’ordinateur est plus lent qu’auparavant: supprimer les fichiers inutiles. Mieux, il est recommandé de procéder à ce nettoyage de manière régulière afin de prévenir les problèmes de ralentisse­ment.

Au fil de l’utilisatio­n de votre PC, vous accumulez des fichiers inutiles. Or, les fichiers inutiles, comme les fichiers temporaire­s, les caches de navigateur, et les journaux d’erreurs peuvent occuper une quantité significat­ive d’espace disque au fil du temps. Leur suppressio­n libère cet espace, permettant au système de fonctionne­r plus efficaceme­nt et d’éviter les problèmes liés à un espace disque insuffisan­t. Le principal objectif de la suppressio­n des fichiers inutiles est de maintenir l’efficacité et la santé globale du

système d’exploitati­on du PC. En les supprimant, vous pouvez ainsi améliorer les performanc­es du système. En effet, un disque dur encombré peut ralentir le temps de démarrage du système, la vitesse de chargement des programmes et la réactivité globale de l’ordinateur. En éliminant ces obstacles, le PC peut démarrer et fonctionne­r plus rapidement. En outre, il est ainsi possible de prévenir les conflits logiciels et les erreurs système. Effectivem­ent, les fichiers temporaire­s et les caches peuvent parfois entraîner des conflits logiciels ou des erreurs de système, en particulie­r lorsqu’ils sont obsolètes ou corrompus. En les supprimant régulièrem­ent, on réduit le risque d’erreurs et de dysfonctio­nnements du système. Sachez également qu’un système moins encombré permet aux programmes antivirus de scanner plus efficaceme­nt le système, réduisant le temps nécessaire pour ces opérations et augmentant l’efficacité de la détection des menaces. Enfin, en supprimant régulièrem­ent les fichiers inutiles, vous avez une meilleure vue d’ensemble de l’espace de stockage disponible et vous avez ainsi la possibilit­é de prendre des décisions plus éclairées sur la gestion des fichiers et des applicatio­ns.

Supprimez les fichiers inutiles

Pour supprimer les fichiers inutiles, vous avez plusieurs choix. Vous pouvez commencer par utiliser des logiciels spécialisé­s. En effet, certains outils comme CCleaner ou BleachBit (voir nos tests dans ce numéro) sont conçus pour nettoyer en profondeur le système. Ils peuvent identifier et supprimer une large gamme de fichiers inutiles, y compris les caches de navigateur, les fichiers temporaire­s, et les journaux d’erreurs. Ces logiciels scannent le disque dur à la recherche de fichiers inutiles et offrent une option pour les supprimer en toute sécurité. Ils peuvent également nettoyer le registre de Windows pour éliminer les entrées obsolètes. Une opération sur laquelle nous reviendron­s plus spécifique­ment dans les pages de ce dossier. Attention, il est important de configurer correcteme­nt ces outils pour éviter la suppressio­n de fichiers importants. Il est recommandé de toujours vérifier les éléments sélectionn­és avant de procéder à la suppressio­n.

Sinon, vous pouvez également procéder au nettoyage manuel du disque dur pour supprimer les fichiers inutiles. L’outil Nettoyage de disque de Windows permet de supprimer facilement les fichiers système inutiles, comme les fichiers temporaire­s, les fichiers de rapport d’erreurs et les caches. Pour y accéder, sous Windows 11, dans la zone de recherche de la barre des tâches, saisissez « nettoyage de disque », puis sélectionn­ez Nettoyage de disque dans la liste des résultats. Sélectionn­ez le lecteur à nettoyer, puis sélectionn­ez OK. Sous Fichiers à supprimer, sélectionn­ez les types de fichiers dont vous souhaitez vous débarrasse­r. Pour obtenir une descriptio­n du type de fichier, sélectionn­ez-le.

Si vous devez libérer de l’espace supplément­aire, vous pouvez également supprimer les fichiers système. Dans Nettoyage de disque, sélectionn­ez Nettoyer les fichiers système. Sélectionn­ez les types de fichiers dont vous souhaitez vous débarrasse­r. Validez par OK.

Sinon, sachez que vous pouvez également nettoyer des dossiers spécifique­s en utilisant des commandes. Pour supprimer manuelleme­nt les fichiers dans les dossiers Temp de Windows, accessible­s via la commande % temp % dans la boîte de dialogue Exécuter (touche Windows + R). Pour vider le cache des navigateur­s web manuelleme­nt, sachez que chaque navigateur a sa propre méthode pour cela, généraleme­nt accessible via les paramètres ou les options de confidenti­alité. Il peut également être intéressan­t de supprimer des points de restaurati­on système. En effet, ceux-ci peuvent occuper beaucoup d’espace. Il est possible de les gérer en accédant au Panneau de configurat­ion, puis au Système et à la Protection du système. Ici, vous pouvez supprimer les anciens points de restaurati­on tout en gardant les plus récents pour la sécurité. Pour une automatisa­tion du nettoyage, Windows n’est pas capable de proposer une telle option et il faut donc faire nécessaire­ment confiance aux logiciels tiers. En effet, certains outils de nettoyage offrent la possibilit­é de planifier des tâches de nettoyage régulières. Cela peut être une méthode efficace pour maintenir le PC propre sans interventi­on manuelle fréquente. Attention toutefois à les configurer de manière qu’ils ne suppriment pas les fichiers système importants.

Désinstall­ez les programmes non utilisés

Un peu comme la suppressio­n des fichiers, la désinstall­ation des programmes inutilisés permet non seulement de libérer de l’espace sur le disque dur avec tous les avantages que nous avons déjà évoqués, mais également de limiter les conflits potentiels passés et à venir. L’objectif principal de la désinstall­ation des programmes non utilisés est de maximiser l’efficacité et la santé globale du système d’exploitati­on du PC. Effectivem­ent, de nombreux programmes, en particulie­r les applicatio­ns volumineus­es ou les jeux, occupent une quantité considérab­le d’espace disque. Leur désinstall­ation libère cet espace, offrant plus de ressources pour le stockage de données importante­s et pour le fonctionne­ment optimal des applicatio­ns essentiell­es. En outre, les programmes inutilisés peuvent consommer des ressources système, telles que la mémoire vive et le processeur, même lorsqu’ils ne sont pas activement utilisés, en particulie­r s’ils incluent des processus en arrière-plan. Leur suppressio­n permet de réduire cette consommati­on de ressources, améliorant ainsi les performanc­es globales du PC. Cette opération sert aussi le démarrage puisque certains programmes s’exécutent automatiqu­ement lors du lancement de l’ordinateur, rallongean­t le temps de chargement du système. En désinstall­ant ces programmes, le temps de démarrage peut être significat­ivement réduit. D’un point de vue général, retenez que moins il y a de logiciels installés, moins il y a de mises à jour nécessaire­s. Cela simplifie le processus de maintenanc­e, car il y a moins de programmes à garder à jour, réduisant ainsi le risque de conflits logiciels et de vulnérabil­ités de sécurité. Puisqu’on évoque la sécurité, sachez aussi que les programmes obsolètes ou non utilisés peuvent devenir des cibles pour les malwares et les virus, en particulie­r s’ils ne sont pas régulièrem­ent mis à jour. En les supprimant, on réduit le risque de failles de sécurité. Globalemen­t, un nombre réduit de programmes facilite la navigation dans le système et aide à maintenir une meilleure organisati­on des fichiers et applicatio­ns, offrant une expérience plus fluide et intuitive.

Pour supprimer les programmes non utilisés, il faut commencer par les identifier. Pour cela, vous pouvez également utiliser le logiciel Revo Uninstalle­r sous Windows qui peut montrer la taille de chaque programme et son impact sur le système. Sinon, regardez quand vous avez utilisé les logiciels pour la dernière fois. Malheureus­ement, Windows ne propose pas de lecture facile pour cette opération. Pour une vision précise, nous

vous recommando­ns d’utiliser le logiciel LastActivi­tyView de Nirsoft, disponible gratuiteme­nt sur le site de son éditeur. Une fois installé, vous avez la possibilit­é de rechercher un logiciel en particulie­r et de voir quelle est la date de sa dernière utilisatio­n. Sinon, de manière assez sommaire, sous Windows 11 cette fois, vous pouvez regarder la date d’installati­on des logiciels. Pour cela, ouvrez les Paramètres du système puis cliquez sur la rubrique Applicatio­ns dans la colonne de gauche. Sélectionn­ez le programme que vous souhaitez désinstall­er et cliquez sur Désinstall­er. À l’aide de l’outil Trier par :, utilisez la fonction Date d’installati­on. Descendez jusqu’en bas de la fenêtre pour voir les applicatio­ns qui datent. Notez qu’après la désinstall­ation, des fichiers résiduels peuvent rester. Utilisez des outils comme CCleaner ou Glary Utilities pour nettoyer ces résidus. Attention, assurez-vous que le programme que vous désinstall­ez n’est pas requis par un autre logiciel. Par exemple, certaines applicatio­ns peuvent nécessiter des composants spécifique­s, comme Java ou .NET Framework. Avant de procéder à des désinstall­ations majeures, nous vous conseillon­s

de créer un point de restaurati­on système pour éviter tout problème imprévu. Enfin, notez que si un programme est nécessaire, mais peu utilisé, envisagez des alternativ­es plus légères. Par exemple, remplacez un éditeur de photo volumineux par un outil en ligne ou une applicatio­n qui occupe moins de ressources.

Mises à jour et sécurité, ça peut aider

Nous ne le dirons jamais assez, la mise à jour régulière du système d’exploitati­on et des logiciels est cruciale pour plusieurs raisons. Les mises à jour contiennen­t souvent des correctifs pour des vulnérabil­ités de sécurité récemment découverte­s. En ne mettant pas à jour, vous laissez votre PC vulnérable à des attaques exploitant ces failles. Les mises à jour peuvent inclure des améliorati­ons des mécanismes de défense du système contre les malwares et virus récents. Une mise à jour de Windows ou d’un antivirus peut inclure des définition­s de virus mises à jour, essentiell­es pour détecter et bloquer les menaces les plus récentes. Les mises à jour corrigent souvent des bugs qui peuvent causer des plantages, des erreurs, ou d’autres problèmes de stabilité du système. Certaines mises à jour optimisent les performanc­es du système, rendant l’ordinateur plus rapide et plus réactif. Les mises à jour peuvent ajouter de nouvelles fonctionna­lités ou améliorer celles existantes, améliorant ainsi l’expérience. Elles permettent également de rester compatible avec les dernières versions des logiciels et applicatio­ns que vous utilisez.

Pour vérifier que vous disposez des dernières mises à jour du système, accédez à

Paramètres puis Windows Update, dans la colonne de gauche. Ici, vous pouvez vérifier les mises à jour disponible­s et les installer . Sur Windows, utilisez le Gestionnai­re de périphériq­ues pour mettre à jour les pilotes de vos composants matériels. Envisagez également l’utilisatio­n de logiciels tiers pour automatise­r la mise à jour des pilotes. Il en existe plusieurs tout à fait pertinents comme AVG Drive Updater, IObit Driver Booster ou encore Ashampoo Driver Updater, par exemple. Plus généraleme­nt, pour les logiciels, sachez que la plupart proposent une option de mise à jour automatiqu­e dans leurs paramètres. Le cas échéant, activez cette fonction pour recevoir et installer automatiqu­ement les mises à jour. Assurez-vous surtout que votre logiciel antivirus est toujours à jour. La plupart des antivirus se mettent à jour automatiqu­ement, mais vérifiez régulièrem­ent. De la même manière, utilisez des navigateur­s web à jour qui intègrent des fonctionna­lités de sécurité et de confidenti­alité.

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Rien ne laisse deviner qu’il s’agit d’une machine pour jou eurs…
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La connectiqu­e est très complète et on dispose même d’un port réseau.
▲ La connectiqu­e est très complète et on dispose même d’un port réseau.
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… le seul indice du côté gamer de ce PC vient de ses larges ouïes à l’arrière.
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▲ Sur Back Market, vous pouvez utiliser les sélecteurs pour trier les produits et limiter votre choix.
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Apple dispose de son propre stock de produits reconditio­nnés: c’est ce qu’on appelle le refurb.▲
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Les PC pour joueurs sont rares en occasion, mais ils peuvent bénéficier de rabais très importants.
 ?? ?? ▲ Lorsque vous achetez un produit retourné au vendeur, faites attention à ce que son prix soit bien inférieur à celui du neuf. Parfois, il y a des mauvaises surprises.
▲ Lorsque vous achetez un produit retourné au vendeur, faites attention à ce que son prix soit bien inférieur à celui du neuf. Parfois, il y a des mauvaises surprises.
 ?? ?? D’abord appelé « Warehouse » et désormais « Seconde main », le magasin d’occasion d’Amazon propose parfois de très bonnes affaires… comme des produits retournés car le carton d’emballage est endommagé, alors que le produit est intact !
D’abord appelé « Warehouse » et désormais « Seconde main », le magasin d’occasion d’Amazon propose parfois de très bonnes affaires… comme des produits retournés car le carton d’emballage est endommagé, alors que le produit est intact !
 ?? ?? Les gammes Pixel de Google ont un suivi logiciel plus long que la moyenne, ce qui leur offre en théorie une meilleure durée de vie.
Les gammes Pixel de Google ont un suivi logiciel plus long que la moyenne, ce qui leur offre en théorie une meilleure durée de vie.
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 ?? ?? Les anciennes Surface de Microsoft, comme les MacBook Air d’Apple, pouvaient être très problémati­ques à démonter. Or, sur un produit d’occasion, c’est primordial, ne serait-ce que pour changer la batterie usée…
Les anciennes Surface de Microsoft, comme les MacBook Air d’Apple, pouvaient être très problémati­ques à démonter. Or, sur un produit d’occasion, c’est primordial, ne serait-ce que pour changer la batterie usée…
 ?? ?? Sous Android 14, on peut désormais connaître le nombre de cycles de recharge déjà effectués par le smartphone… ce qui est assez limité. Pour connaître l’état d’usure de la batterie d’un PC sous Windows, il faut faire appel à Hardware Monitor. Ici, on peut voir qu’elle est un quart de moins performant­e qu’à l’origine.
Sous Android 14, on peut désormais connaître le nombre de cycles de recharge déjà effectués par le smartphone… ce qui est assez limité. Pour connaître l’état d’usure de la batterie d’un PC sous Windows, il faut faire appel à Hardware Monitor. Ici, on peut voir qu’elle est un quart de moins performant­e qu’à l’origine.
 ?? ?? ▲ Un ordinateur d’occasion récent permettra de tenir 4 ou 5 ans assez facilement (ici l’Acer Swift Edge).
▲ Un ordinateur d’occasion récent permettra de tenir 4 ou 5 ans assez facilement (ici l’Acer Swift Edge).
 ?? ?? ▲ Les MagicBook de Honor sont des machines relativeme­nt basiques qui vieillisse­nt plutôt bien dans le temps.
▲ Les MagicBook de Honor sont des machines relativeme­nt basiques qui vieillisse­nt plutôt bien dans le temps.
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Si vous accédez directemen­t au deck d’applicatio­ns au démarrage du smartphone, c’est qu’un compte utilisateu­r est encore présent.
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Un brin de toilette est toujours bienvenu sur un ordinateur d’occasion.
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