En bref...
LE BÉRET EN HOMMAGE AUX RACINGMEN DE 1987
Le 11 janvier 1987, les rugbymen du Racing Club de France menés par Philippe Guillard, Jean-Baptiste Lafond, Eric Blanc ou encore Patrick Serrière avaient affronté Bayonne au stade Saint-Léon (aujourd’hui stade Jean-Dauger) avec un béret sur la tête. S’ils n’ont pas poussé la coquetterie jusqu’à garder le chapeau pendant leur propre finale de Champions Cup, les coéquipiers de Yannick Nyanga sont néanmoins entrés sur la pelouse de San Mamès coiffés d’un béret basque. Dimanche, Bernard Le Roux nous expliquait en ces termes le pourquoi du comment : « C’est un groupe de leader mené par Dimitri Szarzewski qui en a glissé un mot au président Lorenzetti. On trouvait le clin d’oeil sympa. »
DOUZE HEURES DE BUS
Plusieurs centaines de supporters du Racing ont fait douze heures de bus afin de rejoindre la capitale de la Biscaye, où se déroulait le week-end dernier la dernière finale de Champions Cup entre le club francilien et la province du Leinster. Certains supporters ciel et blanc sont donc partis de Colombes à 22 h 50 sonnantes et trébuchantes, quand les autres démarraient du Plessis-Robinson à la même heure. Ils sont finalement arrivés au Pays basque le samedi matin, aux abords de 10 heures. Pardon ? Il faut aimer le Racing. Ou les voyages en bus. Ou les deux, remarquez…
33 MILLIONS D’EUROS POUR LA VILLE DE BILBAO !
Les retombées économiques des deux finales de Coupe d’Europe entre Gloucester et Cardiff et le Racing et Leinster sont estimées à 33 millions d’euros pour la ville de Bilbao.
UNE BLONDE, TAVERNIER !
Les taverniers de la Biscaye n’ont pas vraiment chômé, le week-end dernier. Selon les estimations de nos confrères El Mundo, 120 000 litres de bière ont ainsi été écoulés de vendredi soir à dimanche matin.
MÉTRO, BOULOT, JAMAIS DODO
94 métros ont circulé à Bilbao, les nuits de vendredi à samedi et de samedi à dimanche. Jusqu’à 6 heures du matin, les rugbyphiles de toute l’Europe ont ainsi pu profiter des plaisirs de la nuit de Biscaye en toute quiétude. Ou presque…
L’IRLANDE AU SOUTIEN
Les Blues du Leinster n’étaient pas seuls, à Bilbao. S’ils étaient d’abord accompagnés de 8 000 supporters, ils étaient aussi supervisés à San Mamès par le duo Joe SchmidtSimon Easterby, qui préside aux destinées de l’équipe nationale d’Irlande.