Midi Olympique

« Nous avions pour

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volonté de finir dans le quatuor de tête mais nous sommes dans l’obligation de revoir notre copie et de viser plutôt une place dans les six premiers. Déjà, il faut absolument gagner contre Leucate à la maison et prendre le maximum de points face à La Salanque, mais aussi lors de la réception de Prades en fin de bloc », annonce le dirigeant catalan. Côté Audois, la pression sera moins palpable pour ce voyage du côté de l’ES Catalane. « La victoire acquise à Villefranc­he-de-Lauragais nous a fait du bien car elle gomme quelque peu la défaite à domicile contre La Salanque. Cette performanc­e nous apporte de la sérénité avant le déplacemen­t chez les Catalans. Nous sommes aussi particuliè­rement satisfaits de notre jeune garde qui a tenu la baraque dans le Lauragais dans les moments importants. Notre rajeunisse­ment se déroule dans les meilleures conditions et le club pourra compter sur la relève cette saison », conclut Joël Castany, président de Leucate.

Sans Bastien Pons

Pour affronter Belvès, les Aveyronnai­s sont handicapés par le quasi-forfait de leur talonneur ou troisième ligne Bastien Pons sorti sur blessure (hématome abdominal), à Négrepelis­se. Leur capitaine Loïc Rouquette, touché à la cuisse, postule à un retour tout comme leur trois-quarts centre Antoine Pisano (élongation cuisse).

Il sort de deux derniers voyages dont il est revenu les poches vides. Sans avoir pu trouver l’en-but de ses adversaire­s. Fanny de Cahors. Sans avoir pu gratter un bonus défensif. « On se créé des occasions d’essais, mais on n’est pas assez patient, pas assez tueur », glisse son technicien Cédric Leite. Au lendemain d’une semaine de relâche, le temps est venu pour Causse-Vézère de relancer sa mécanique. Comme il avait su lancer sa saison. De rester invaincu à Alexis-Jaubert malgré les suspension­s conjuguées de ses flankers Mathéo Espinasse et Yoann Amarzit. « J’attends de ce match important que l’on signe un match référence », se projette Cédric Leite. Cela autorisera­it les Corréziens à se glisser de nouveau dans le cercle des six de tête. Sauf que pour les Vert et Bleu la copie à rendre est loin d’être déjà écrite. Il est vrai que les

Auvergnats de Clermont-Cournon sortent eux aussi de deux revers de rang et, notamment, d’un dernier faux pas, à Couturier, face à Cahors. « On a trop subi, on a manqué de densité, de mouvement et l’on a fini par craquer n’a pas oublié Patrice Giry, on avait besoin de souffler. » Parallèlem­ent, ils viennent aussi d’encaisser onze essais en trois rencontres. « Face à Cahors, ce n’est pas notre organisati­on collective défensive qui a été défaillant­e (….); on s’est échappé sur des plaquages et l’on a commis trop d’erreurs individuel­les », pointe Patrice Giry. Deux semaines plus tard, Clermont-Cournon aspire donc aussi à rebondir au moment de se coltiner, avec ce troisième bloc, deux voyages de rang. À Nespouls puis, huit jours plus tard, à Montflanqu­in. Deux voyages compliqués. « Huit points sur nos deux prochains rendez-vous, ce serait génial s’amuse presque Patrice Giry, mais cinq points ce serait déjà un très bon résultat. De toutes les façons, on ne fait pas de calculs, on prend chaque match un par un. Ce qui est certain, c’est que l’on a envie de retrouver nos repères de jeu, de remettre notre collectif en route et d’y faire un gros match. »

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