Tout bonus
’est la discussion du moment, mais c’est de l’extra-sportif. Nous restons concentrés sur le terrain. Nous nous sommes donné le droit de jouer un quart de finale à domicile, nous allons matinale annoncée en Bourgogne dimanche et les orages craints l’après-midi pourrait proposer un autre scénario. « Il y a différents paramètres, dont la météo, mais dans tous les cas, cela sera serré, prévient l’ancien coach d’Oyonnax. Mâcon s’appuie sur une grosse mêlée et de gros ballons portés, sans oublier quelques coups de génie derrière… »
Ce sera donc une sacrée gageure de parvenir à s’imposer à l’extérieur, pour une formation vain- queur seulement à trois reprises loin de ses ba- ses, contre des équipes de la deuxième partie du classement (Arcachon, Saint-Jean-de-Luz, Limoges). « Nous n’avons jamais caché nos am- bitions mais dire qu’on est favoris est excessif,
tempère Johann Authier. Nous sommes passés par un barrage et devons supporter un déplacement. Mais l’équipe a mûri cette saison, a progressé sur le plan du rugby, mais aussi dans sa manière de travailler, sur les à-côtés. »
À la jeunesse niortaise de montrer qu’elle a les moyens de ne pas rester sur le côté dimanche soir.
ANGLET PLUS HEUREUX SUR LE PAS DE TIR FACE AUX PERCHES IL Y A CINQ ANS
Les Rennais, de toute évidence, n’ont pas la mémoire courte. Le souvenir d’une cruelle élimination aux tirs au but est encore bien présent, sachant que cela se passait en 2019, à l’occasion d’un huitième de finale de Fédérale 1 dont les scores furent identiques (24-15 ; 15-24) d’un épisode à l’autre ! Sébastien Fauqué, l’actuel associé d’Anthony Biscay à la tête des Angloys, en était d’ailleurs l’un des protagonistes. Inversement, Rennes, dans un passé encore plus récent, a déjoué le cours des pronostics. Ainsi, le CA Périgueux Dordogne était tombé lors d’une demi-finale
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