DEUX JOURNÉES À L’ATELIER

Le montage ne demande pas trop de travail, ni de collages très délicats. Un plan de travail protégé avec de la mousse ou une couverture évitera toute rayure ou marque indésirable sur l’entoilage et la structure. La notice propose de commencer par les ailes, ce que j’ai suivi à la lettre.

Après le collage des charnières fibre à la cyano fluide, on colle les guignols époxy. Puis il ne reste qu’à visser les charnières à axe décalé des volets. À ce sujet, bien mettre les petits morceaux de durite de sécurisation fournis dans le kit mais non illustrés dans la notice, sinon les charnières s’ouvrent, au risque de perdre un volet en vol.

Le montage du train, d’ailleurs surélevé par une sorte de cale peu esthétique, nécessite de repercer à 6 mm l’embase dans l’aile. Un petit contrôle des jambes alu est conseillé, bien que tout était bien serré sur mon kit. Les commandes sont montées et ajustées avec la radio en marche. Sur les volets, les servos sont positionnés en fin de course haute, pour que la totalité du débattement permette de les baisser complètement. Les ailes terminées seront mises de côté.

Il faut maintenant travailler sur le fuselage, avec la mise en croix pour vérifier que tout est bien droit. Le support de roulette avant est repercé avec un foret, car le montage d’origine frotte sévèrement. À noter que la notice décrit