UN TRÈS BEAU KIT
Le carton n’est pas énorme pour un avion de 3 m d’envergure, mais il est lourd. À l’intérieur, les éléments ne sont pas très bien protégés, juste emballés dans de fins sachets en plastique qui sont agrafés sur les côtés du carton. Pas de protections genre mousse entre les
Le fuselage, pourtant pas très gros, pèse 2,5 kg à lui seul… Le pare-brise et la vitre supérieure sont en place mais non collés, tandis que les vitres latérales sont livrées à part. Le fourreau de clé d’ailes est en carbone.
À l’avant, on trouve une disposition assez particulière : le couple moteur (verni d’origine) est amovible, fixé par quatre grosses vis. Dans l’accastillage, on trouve deux supports moteurs : un pour le thermique (qui inclut un support de réservoir), l’autre pour l’électrique. Pour la fixation du capot moteur, il y a déjà des écrous à griffes en place.
En dessous, l’emplacement du train et du support de haubans est peint en rouge et comporte des écrous à griffes. Une trappe, fixée par deux vis, permet d’accéder au logement pour les servos de profondeur et de dérive.
Il y a une porte latérale qui s’ouvre en deux parties, comme sur le grandeur. Un verrou à ressort pour les bloquer est en place, et elles sont déjà articulées par des charnières. L’intérieur du cockpit est intégralement peint en noir d’origine. Il y a un faux tableau de bord en autocollant.
L’emplacement pour le crochet de remorquage est prêt.
À l’arrière, les logements de stabilisateur et de dérive ont l’entoilage déjà découpé. Des écrous à griffes sont en place pour la roulette de queue.
Chaque aile ne pèse pas moins d’un kilo (sans servos, sans accessoires). Elles sont très imposantes puisqu’elles ont une corde de 454 mm. Le profil est un plat à 12,5 % d’épaisseur relative.
À l’intrados, on trouve l es trappes de servos (pour une fixation à plat) et des ficelles pour tirer les rallonges de fil. Les volets