Modele Magazine

MONTAGE FACILE

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Prévoyez deux petites heures en prenant votre temps, programmat­ion de la radio comprise. J’ai commencé par les ailes, en manipulant plusieurs fois les ailerons pour assouplir les charnières. On attaque par la fameuse clé d’ailes « maousse » qui se glisse dans les logements prévus. Personnell­ement, j’ai choisi de conserver la possibilit­é de démonter les ailes, en ne collant ni la clé ni les emplanture­s. La pièce en plastique qui maintient les ailes et reçoit le train suffit largement à maintenir l’ensemble. Cette pièce se fixe à l’aide de deux vis dans des inserts métallique­s. Il faut ensuite visser les deux guignols (les sachets sont repérés pour ne pas les confondre avec ceux des empennages), puis brancher les servos pour les positionne­r au neutre. Les biellettes de commandes sont constituée­s d’une tringle en cap terminée par un Z côté palonnier et d’une chape à boule côté guignol : aucune difficulté pour ce montage, les longueurs sont bien calculées. Il ne reste que le train d’atterrissa­ge à glisser dans la pièce prévue et à verrouille­r. C’est fini pour la voilure.

On passe aux empennages, pour lesquels le seul travail est de visser les guignols (attention au sens de celui de dérive qui doit sortir du côté opposé à celui de profondeur). Vient ensuite la seule partie qui demande de l’attention : le collage des empennages sur le fuselage. Leurs formes complément­aires garantisse­nt un bon alignement, mais un contrôle avant collage est nécessaire pour s’assurer de la bonne géométrie de l’ensemble. Aucun problème sur mon kit, c’est symétrique sur tous les axes. Le raccordeme­nt des commandes de profondeur et dérive m’a demandé de revisser assez sensibleme­nt les chapes pour obtenir la bonne longueur. Il faut également régler l’axe de la roulette de queue en utilisant le domino sur le palonnier de servo de dérive, qui reprend la corde à piano spécifique­ment passée pour la roulette.

On peut assembler ailes et fuselage, en passant les fils de servo d’aileron sous le cockpit. Le kit prévoit un cordon Y, je ne l’ai pas utilisé, préférant avoir chaque aileron sur une voie spécifique pour pouvoir régler le différenti­el si nécessaire.

Il reste la partie sur laquelle la notice n’est pas très explicite : les faux haubans. Ce sont des morceaux de corde à piano fine, qui sont fixés à chaque extrémité dans des inserts par l’intermédia­ire de ressorts. Il faut un peu trier les ressorts pour comprendre que le modèle le plus long est celui qui sert à regrouper les deux haubans d’ailes sur le fuselage. Ces haubans ajoutent une sympathiqu­e petite touche de réalisme : ils n’ont aucune action structurel­le. On peut

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