Un moustique
EN VOL
fraction de seconde plus tard, c’est par terre. Pas de crainte cependant à avoir concernant la résistance de la cellule après un retour au sol imprévu. Avec la faible inertie, on marquera un peu le Depron mais le Vector ne gardera aucune trace.
Les tonneaux sont très faciles et rapides, ils tournent en une fraction de seconde. Il est possible de voler sur le dos en poussant à peine sur le manche. Pour effectuer des boucles, c’est un coup à prendre : il faut tirer doucement afin de ne pas casser la « vitesse ».
En jouant à la profondeur et au moteur, on arrive à maintenir le modèle aux grands angles sans qu’il ne décroche. C’est la bonne méthode pour venir atterrir dans la main.
Le vol plané n’est vraiment pas terrible, la finesse est très réduite.
La portée radio doit être assez limitée mais elle suffit amplement car on perdra de vue le modèle bien avant. L’autonomie est de 5 bonnes minutes. Après, on sent que la batterie faiblit et il vaut mieux ne pas prolonger le vol sous peine de perdre la réception avec le moteur qui tourne au ralenti, car il n’y a pas de système BEC.
Quand on vole à l’extérieur, il y a pratiquement toujours quelques courants d’air qui perturbent les trajectoires. En salle, c’est bien plus précis… à condition que la ventilation ne soit pas trop puissante !
Une petite vidéo tournée en extérieur est visible en tapant ce lien : https://youtu.be/nDel3XL3DI4
Le vent était quasiment absent, mais on voit qu’un souffle suffit pour modifier la trajectoire…