Modele Magazine

BIEN CHOISIR SON MODÈLE

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Bien entendu, il faut un modèle adapté au plan d’eau sur lequel vous évoluerez. Si la zone d’évolution est petite, il vous faudra un modèle type parkflyer, ou ayant une faible charge alaire. Par exemple, le nouveau FunCub de Multiplex ou le Turbo Timber de E-flite (test dans

n° 822) se contentent d’une très petite longueur d’eau pour se poser en sécurité. A contrario, si votre zone est très grande, vous serez beaucoup plus libre pour le choix du modèle. flotteurs en lieu et place du train d’atterrissa­ge.

• les hydravions à coques, dont la partie inférieure du fuselage est en forme de coque de bateau. Ils sont souvent équipés de petits flotteurs en bouts d’ailes pour plus de stabilité sur l ’eau. Certains sont même amphibies, c’est-à-dire qu’ils disposent d’un train d’atterrissa­ge escamotabl­e, et peuvent donc décoller d’un plan d’eau pour revenir se poser sur la terre ferme.

La motorisati­on électrique est à privilégie­r face à une motorisati­on thermique : aucun risque de voir le moteur caler au beau milieu du l ac… De plus, l e silence de l’électrique favorisera votre « intégratio­n » au milieu : un pêcheur ou du voisinage proche pourront tolérer l ’électrique, pas l e thermique.

En raison de la masse et de la traînée des flotteurs, il ne faut pas hésiter à surmotoris­er votre machine : le surplus de puissance sera d’une grande aide durant les différente­s phases de vol.

Côté hélice, il faudra privilégie­r le diamètre plutôt que le pas, car nous avons plus besoin de traction que de vitesse.

Les volets ne sont pas obliga

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De nombreux flotteurs sont disponible­s sur le marché, et sont parfois même livrés directemen­t avec l’avion…
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