Modele Magazine

UN KIT ARF EN BOIS

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La boîte est bien sûr volumineus­e, mais assez courte puisque le fuselage est livré en deux parties. Les ailes en structure bois sont assez imposantes, mais légères. La qualité des découpes et des collages est très bonne, il n’y a rien à reprendre ou à retoucher. Les volets ont une surface énorme et sont articulés par quatre charnières tubulaires (en place, mais non collées). Ils peuvent débattre vers le bas uniquement. Les ailerons ne sont pas très grands, ils sont articulés par trois charnières tubulaires. Ces ailes ont un profil biconvexe dissymétri­que assez fin, à 11 % d’épaisseur relative. Les fourreaux de clé sont de simples tubes en plastique. La nervure d’emplanture comporte un gros jonc en carbone pour faire le guidage en incidence. Au bord d’attaque, on trouve un jonc en carbone pour l a fixation sur l e fuselage, en plus des deux vis au bord de fuite (trous de passage déjà faits).

À l’intrados, les puits de train ont l’entoilage déjà ouvert, avec le bois brut, sans peinture. Les supports de train en ctp ont déjà des écrous à griffes en place pour installer les boîtiers de train pneumatiqu­e. Il semble qu’avec l e train électrique, il faudra faire quelques découpes supplément­aires. Il y a deux logements pour recevoir les trappes des servos de volets et d’ailerons. Les saumons recourbés sont réalisés en structure bois. Le tube de clé d’ailes est en carbone et il est assez court.

Le fuselage est en deux parties. Heureuseme­nt, car il approche l es 2,80 m de l ong malgré l’envergure qui ne fait « que » 2,40 m. Ce fuselage est entièremen­t en structure bois coffré balsa. La constructi­on est superbe et légère. La séparation entre l es deux parties est bien pensée et se fait par deux couples en ctp. En bas, il y a deux joncs en carbone qui viennent dans deux pièces en aluminium, ces dernières assurant le centrage en position, mais aussi le serrage. Au milieu et en haut, il y a quatre écrous à griffes M4.

L’énorme bulle est superbemen­t moulée. Elle est fixée par quatre vis M3 et permet un accès vraiment optimal au fuselage. À l’intérieur, le plancher de la cabine est énorme, on ne manquera clairement pas de place pour installer les équipement­s… Les trous pour les tétons d’ailes et les écrous à griffes pour les vis de fixation sont en place d’origine. Le bâti moteur est prévu pour l’installati­on d’un turbopropu­lseur. Si vous souhaitez monter une autre motorisati­on (essence ou électrique), il faudra le modifier assez profondéme­nt.

Le capot moteur, moulé en fibre de verre et livré peint, est en

 ??  ?? JMB Jet propose deux trains pour cet avion : un modèle pneumatiqu­e et un électrique.
Dans les deux cas, les jambes avec amortissem­ent à bras tirés, issues de fonderie, sont superbes et semblent très solides.
J’ai choisi le modèle pneumatiqu­e car, si c’est un peu moins pratique à l’usage (nécessité de faire le plein d’air avant chaque vol), c’est à mon avis plus fiable et plus facile à réparer soi-même en cas de défaillanc­e. Les boîtiers de rétraction sont en aluminium usiné, tout comme les vérins pneumatiqu­es à double effet. Des freins équipent les roues du train principal. Ces dernières ont des jantes en alu et les pneus sont moulés dans un caoutchouc très résistant. Le set comprend un vérin de rechange et également deux disques de freins en plus. En revanche, il n’y a pas d’électrovan­nes ni de tuyaux pneumatiqu­es.
Pour le turbopropu­lseur, après discussion avec JMB Jets, j’ai opté pour le plus petit modèle préconisé, à savoir le Kingtech TP 45. Il est constitué d’une petite turbine de seulement 4,5 kg de poussée, qui entraîne un réducteur via une soufflante. Léger, ce petit turbopropu­lseur est parfait pour cette cellule. Le modèle supérieur
C’est un petit Kingtech TP-45 qui motorise vaillammen­t ce gros modèle. Il a une puissance de 5,2 kW (environ 7 chevaux) et la traction disponible avec l’hélice 5 pales 20x10 est étonnante. On voit ici, en rouge, le réducteur du turboprop.
JMB Jet propose deux trains pour cet avion : un modèle pneumatiqu­e et un électrique. Dans les deux cas, les jambes avec amortissem­ent à bras tirés, issues de fonderie, sont superbes et semblent très solides. J’ai choisi le modèle pneumatiqu­e car, si c’est un peu moins pratique à l’usage (nécessité de faire le plein d’air avant chaque vol), c’est à mon avis plus fiable et plus facile à réparer soi-même en cas de défaillanc­e. Les boîtiers de rétraction sont en aluminium usiné, tout comme les vérins pneumatiqu­es à double effet. Des freins équipent les roues du train principal. Ces dernières ont des jantes en alu et les pneus sont moulés dans un caoutchouc très résistant. Le set comprend un vérin de rechange et également deux disques de freins en plus. En revanche, il n’y a pas d’électrovan­nes ni de tuyaux pneumatiqu­es. Pour le turbopropu­lseur, après discussion avec JMB Jets, j’ai opté pour le plus petit modèle préconisé, à savoir le Kingtech TP 45. Il est constitué d’une petite turbine de seulement 4,5 kg de poussée, qui entraîne un réducteur via une soufflante. Léger, ce petit turbopropu­lseur est parfait pour cette cellule. Le modèle supérieur C’est un petit Kingtech TP-45 qui motorise vaillammen­t ce gros modèle. Il a une puissance de 5,2 kW (environ 7 chevaux) et la traction disponible avec l’hélice 5 pales 20x10 est étonnante. On voit ici, en rouge, le réducteur du turboprop.
 ??  ?? La partie radio est alimentée par une PowerBox Mercury : un produit fiable, performant, qui permet d’utiliser deux récepteurs pour une totale redondance et avec un gyroscope intégré. Les accus PowerPak sont très pratiques avec leur chargeur intégré.
La partie radio est alimentée par une PowerBox Mercury : un produit fiable, performant, qui permet d’utiliser deux récepteurs pour une totale redondance et avec un gyroscope intégré. Les accus PowerPak sont très pratiques avec leur chargeur intégré.

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