BAYLINER E7 Le maxi bow-rider
Place au plaisir ! C’est clairement le programme visé par ce Bayliner E7, le plus grand de la gamme Element. Sans oublier la surface disponible à bord, qui est considérable pour une unité de cette taille.
Avec son profil de canot automobile, l’E7 se destine davantage aux rives de la Méditerranée plutôt qu’aux côtes de l a Manche. Ce bow-rider nous était présenté dans sa version sans pare-brise ou, plutôt, il en recevait un mais minimaliste. L’unité pourra néanmoins être équipée d’un pare-brise rigide avec pourtour en aluminium, dans l’esprit des modèles trouvés à bord des VR5 ou VR6, mais il reste à savoir si le montant supérieur ne gênera pas la vision des petits gabarits. Un passage central isolera la partie bow-rider du cockpit et des consoles, et une planche et un dossier permettront de clore l’ensemble et de le transformer, grâce à une rallonge centrale, en un bain de soleil aux dimensions honorables pour une unité de 7 mètres. Il sera même possible de se tenir à trois personnes à l’avant. Deux banquettes latérales se font face dans la partie arrière, qui peut également se transformer en bain de soleil. Celui-ci est alors gigan- tesque, avec une surface de presque 3 mètres carrés ! Comparé à son faux jumeau, le CC6, le E7 offre beaucoup plus d’espace à l’intérieur. Le sol du prototype de notre essai était couvert de moquette amovible mais, sur les modèles de série, il s’agira d’un Sisal Design (sorte de jonc de mer déjà utilisé sur les autres unités de la marque).
Des coffres sous chaque assise
Chaque assise dissimule un coffre, à l’exception de celles destinées au copilote et au pilote. Ce dernier, placé à tribord, ne dispose que d’une seule position de conduite, mais un dossier amovible lui permet d’être bien calé. La poignée des gaz tombe naturellement sous la main, en dépit d’une commande assez longue ; les puristes auraient apprécié un repose-coude. Quelques équipements facilitent la vie à bord, à l’instar d’une prise allume-cigare ou de vide-poches et équipets. ■