Moteur Boat Magazine

« L’A9 est le bateau que j’attendais »

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Jeune retraité de la marine nationale, Jean-Luc Tual a toujours navigué. D’abord avec ses parents, puis pour son métier et bien sûr pour le plaisir, à bord de deux White Shark 205, suivis d’une Antarès 750 motorisée par un Suzuki DF 150. Ce bateau, Jean-Luc l’a découvert au Salon de Paris de 2008 et c’est en 2009 qu’il le commande avec comme projet de partir un été sur deux en croisière, au-delà du golfe du Morbihan ou d’Arradon, où le bateau est sur bouée pendant la saison. Depuis l’été 2010, ce sont quelque 7 049 milles que Jean-Luc a parcourus pour 1 011 heures moteur. Bien que très satisfait de son Antarès 750, il a toujours suivi de près la gamme Antarès et surtout le lancement de nouveaux modèles, telle l’Antarès 7.80 ou l’A8. « Je n’ai pas été convaincu par l’A8, lors de sa sortie. Ce bateau offrait moins de rangements que le mien, en particulie­r dans le cockpit où je ne pouvais plus loger mon seau de 10 litres et les gilets ». Jean-Luc a donc conservé son Antarès et continué à naviguer en attendant… l’A9. Deux cabines fermées, un cabinet de toilette suffisamme­nt grand et des rangements... Sur le papier, l’Antarès 9 répondait exactement à ses attentes. Et, quand il l’a découverte au dernier Nautic, il a été totalement séduit. Fidèle aux marques Bénéteau et Suzuki, grâce au profession­nalisme de son concession­naire d’Auray Armorique Diffusion en qui il a toute confiance, Jean-Luc a décidé de changer de bateau en 2019 pour une livraison en 2020. Son Antarès 9 sera équipée de deux Suzuki de 200 chevaux, mais aussi du niveau de finition Confort sans le plancher de timonerie en chêne brun. Elle comprendra également le carré de cockpit en L convertibl­e en bain de soleil, la table de cockpit, le revêtement en Flexitek sur les plages de bain et dans le cockpit, et le taud de camping complet. « Grâce à ce taud, c’est comme si on avait une quatrième pièce », nous dit le futur propriétai­re. Côté électroniq­ue, son bateau sera doté d’un écran Lowrance de 12 pouces, d’un radar Lowrance, d’une VHF Icom330etd’ un émetteurré­cepteur AIS. Jean-Luc naviguant souvent seul, il a également choisi d’équiper son bateau du propulseur d’étrave et des flaps. Finalement, il table sur un budget d’environ 140 000 €. « Ce bateau sera le plus gros que j’aurais jamais, alors j’ai décidé de me faire plaisir et j’ai bien l’intention d’en profiter ! » conclut notre lecteur conquis.

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