3 QUESTIONS À

Excellent promoteur du Grand Prix de France

Claude, existe-t-il une possibilité d’organiser un deuxième Grand Prix en France cette année, au cas où certaines courses viendraient à être annulées, notamment celles devant se dérouler en Asie en fin d’année ?

Ce que je peux dire, c’est que si Dorna a un besoin quelconque, nous, nous sommes prêts, même si nous ne souhaitons bien évidemment pas que d’autres courses soient annulées. C’est juste ça. Organiser un Grand Prix, c’est bien entendu quelque chose que nous savons faire mais il n’y a rien de plus pour le moment. Si nous pouvons rendre service et avoir, en plus, un petit peu de public à cette occasion afin de permettre de voir les pilotes français au meilleur niveau, même si nous savons déjà que nous n’allons pas avoir une jauge phénoménale non plus, nous n’allons pas nous priver...

Pour l’instant, c’est donc simplement une éventualité ?

Absolument. Et puis cela ne dépend pas de moi. C’est Dorna, le promoteur du championnat, qui gère tout ça. Mais vu mes relations avec Carmelo Ezpeleta, le patron, il sait très bien que je suis prêt (rires) !

Si deuxième Grand Prix de France il y a, ce serait bien entendu toujours au Mans ?

Oui. Il n’y a pas à avoir de discussions avec d’autres circuits. Nous sommes très bien ici. Et puis, si jamais nous étions amenés à faire un second GP, cela serait aussi un peu en mission commando, donc nous n’allons pas réinventer le monde. Après, sur cette éventualité de deuxième GP, je ne peux pas en dire plus tout simplement car je n’en sais pas davantage. Mais si l’opportunité se présente, je ne vois pas pourquoi...