La GTL compte pas pour des prunes

Fidèle lecteur de votre revue depuis quarante ans, c’est la première fois que je vous écris. Vous faites l’essai de deux routières grand tourisme, la BMW R1250 RT et la Goldwing, vous dites dans votre édito qu’il n’y a plus que deux grandes routières, vous oubliez la K1600 GTL. Moi, j’ai depuis 2015 une K1600 GTL exclusive avec tout l’équipement électronique, suspensions ESA, régulateur etc., je trouve que c’est une machine à rouler et je ne m’en prive pas, que ce soit sur de petites routes pyrénéennes, des nationales ou bien des autoroutes. Certes, le moteur 6-cylindres monte très vite dans les tours (je conduis toujours en Dynamic) mais quel régal, il reprend à 1500 tours en 6e et monte allègrement jusqu’au rupteur à 8500 tours, et il consomme peu, je fais facilement 400 km avec un plein. Je précise que je suis avec ma compagne avec armes et bagages! Au chapitre des défauts, bien sûr, le poids. Avec 350 kg, faut faire attention en la maniant à l’arrêt, et quand on s’arrête, il faut penser au redémarrage. Mais dès que l’on roule, c’est la magie de cette machine, on ne sent plus son poids et elle se conduit très facilement. Je précise que c’est ma première BMW, elle a 43000 km et je compte bien doubler la mise quand ce foutu Covid nous laissera tranquilles. Amitiés motardes.

Jean

Xavier répond En effet, la K1600 manquait dans l’énumération des GT encore disponibles sur le marché. L’idée, c’était de dire que seuls BMW et Honda, hormis Harley et Indian dans un registre un peu différent, croyaient encore aux GT actuellement.