Flat-track replica
Après lecture de votre éditorial du n° 100, je suis complétement d’accord avec vous. Vivant en Allemagne, je mesure à chaque séjour dans mon pays d’origine, la France, le plaisir de musarder sur notre réseau de départementales ! Je partage l’avis de Guy Coulon : « La moto idéale, c’est 150 kg et 50 chevaux. » Je suis convaincu depuis des dizaines d’années de l’intérêt des street-trackers. Je me réjouis donc de l’arrivée de la Morini 1200 Scrambler ou de l’indian 1200 FTR, même si elles ont un poids rédhibitoire et une puissance inutile, comme vous le faites remarquer à propos de la Ducati... En matière de motos non plus, il n’est pas bon d’avoir raison trop tôt : j’ai rêvé pendant des années des Honda VT 500 et FT 500 Ascot, qui ont eu au milieu des années 1980 peu de succès. Je suis propriétaire depuis plus de dix ans d’une FT 500 (photo) dans un excellent état. Chaque kilomètre parcouru sur les petites routes du Bugey est un bonheur.
Jacques Ziebel (jackzieb@yahoo.com)
Bien avant la mode récente pour le flat-track, Honda a proposé dès les années 1980 des motos flat-track replica. Comme la 500 SR, la FT 500 est animée par un monocylindre quatre-temps, une architecture qui permet de dessiner des machines lègères et suffisamment puissantes.