Moto Revue

Rassemblez le mot et sa définition

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: string fait pour les pieds qui passe entre l’hallux (le gros orteil) et le secundus. Sexy comme une corde de pendu.

: savates en plastique, portées autrefois par les surveillan­ts de piscine et par m’sieur Ramirez dans les vestiaires de boxe. Le plus tendance ? Les porter avec des bas de contention du PSG. Sexy comme des merdes de chien.

: endroit où l’on a accumulé du sable pour y perdre ses clés, sa monnaie, ses lunettes, ses gosses, etc. Question pique-nique, les grains de sable sont l’équivalent des fourmis à la campagne. Évitez le bain au bord de l’eau où s’échouent les vagues, c’est là où tout le monde fait pipi en faisant semblant d’habituer son corps à la températur­e de l’eau...

: les rondes qui se déplient toutes seules sont impossible­s sur une moto. Vous font ressembler à un avion radar Awacs, sans vous éviter les prunes...

: les vieilles sont à éviter quand ce sont des oncles. Sinon, elles peuvent être une étape en province pour rejoindre votre point de chute. Peuvent se fendre d’un petit billet de 50 euros si elles s’entendent bien avec votre mère...

: au mieux, elle vous laissera celle du réservoir pour vos affaires. Soyez catégoriqu­e sur les poches de votre blouson.

: sur l’axe Paris-Côte d’Azur, située à 460 km de Paris. Recueille les compagnes des motards qui en ont plein le dos de la « supersport » et qui viennent de subir 75 km de pluie sur l’autoroute depuis Mâcon. Seraient prêtes à coucher avec le contrôleur du TGV pour une place direction Marseille au sec et au chaud...

: c’est un vrai boulet à trimbaler dès qu’on descend de sa moto. Vous aurez de la peine à faire croire que vous roulez en Aston Martin. En Martin, c’est déjà pas mal mais ça, c’est pour les connaisseu­ses.

: si on n’y supporte pas les motos toute l’année, on y supporte un pull même les mois d’été... : ne supporte que des choses transparen­tes, quand ce n’est pas rien...

: font chier grave. Votre copine n’a qu’une envie, aller se noyer et revenir enroulée comme une bouée autour de lui. Pour la noyade, vous n’êtes pas loin d’être d’accord...

: se retrouvent sur la route en même temps que nous. Certains, plus talibans suicidaire­s que les autres, y vont de bon coeur pour s’écraser sur votre visière. À se demander parfois ce qu’ils ont bien pu bouffer...

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