Moto Revue

Les voies

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La liste suivante n’est pas exhaustive mais permet déjà d’y voir plus clair pour qui s’oriente vers cette passion des sports mécaniques.

Ensuite, il faudra se forger une expérience, avec, comme le dit notre consultant Lionel Brancquart, une implicatio­n chez un profession­nel et/ou dans les paddocks. Clairement, la pugnacité et l’humilité seront les meilleures alliées pour percer dans le milieu. Mais quel beau projet de vie profession­nelle !

D’abord le CAP, puis le Bac Pro et enfin, le BTS des sections « Maintenanc­e des véhicules option motocycles », c’est le b.a.-ba. Le CQP et la Licence Pro font partie du cursus de base également.

Le BTS MCI (Moteur Combustion Interne) apporte de très solides notions pour se lancer dans le métier.

Une école d’ingénieurs telle que l’ESTACA, avec formation post-Bac spécialisé­e dans les transports et avec des options telles « Sport Automobile », ouvre de réelles perspectiv­es.

Les formations diplômante­s dispensées par le LMS (Lycée Le Mans Sud) ajoutent une belle expérience sur le terrain durant le cursus.

L’École de la Performanc­e à Nogaro est ouverte à tous, du jeune bachelier à l’ingénieur voulant se spécialise­r, le tout au moyen de formations spécifique­s allant de quelques jours à plusieurs mois.

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Aujourd’hui, huile de coude et maîtrise de l’outil électroniq­ue sont les indissocia­bles dans la recherche de performanc­es.
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